Cannes 2014 : Timbuktu
Pour sa première participation à la compétition cannoise, Abderrahmane Sissako était très attendu. Le résultat est à la hauteur de la longue attente de son premier long-métrage depuis Bamako en 2006.
Berlinale 2019 : The Shadow Play
Ça y est, nous avons désormais dépassé le point de non retour de notre couverture du Festival de Berlin. La fatigue s'accumule. Les films se confondent dans notre mémoire cinématographique. Et encore, nous n'en sommes pas aux vingt, trente, voire quarante films consommés en quelques jours à peine par certains confrères.
Venise 2017 : Lions d’honneur à Fonda & Redford
Le Festival de Venise reste en mode américain cette année, puisque après l'annonce au début du mois de la présidente du jury, l'actrice américaine Annette Bening, et celle du film d'ouverture il y a deux jours, Downsizing de Alexander Payne avec Matt Damon et Christoph Waltz, la direction de la Biennale a communiqué ce jour les noms des lauréats des deux Lions d'or d'honneur.
Cannes 2016 : Dog eat dog – Quinzaine
Paul Schrader a beau avoir écrit quelques chef-d’œuvres du septième art, derrière la caméra, il peine à conquérir le cœur des spectateurs depuis une vingtaine d'années. En 2014, son film La sentinelle, avec Nicolas Cage, avait été renié par les deux hommes et était sorti directement en vidéo, même aux Etats-Unis. Cependant, son nouveau film a été présenté en clôture de la Quinzaine des Réalisateurs vendredi dernier : on nous promettait un film de genre avec Nicolas Cage encore et Willem Dafoe. Quid du résultat final ?
Cannes 70 : la nouvelle vague coréenne
70 ans, 70 textes, 70 instantanés comme autant de fragments épars, sans chronologie mais pas au hasard, pour fêter les noces de platine des...
A Girl walks home alone at night : entretien avec Ana Lily Amirpour
Entretien avec Ana Lily Armirpour, la réalisatrice de A Girl walks home alone at night sorti en salles le 14 janvier et en DVD...
Berlinale 2017 : Django (Etienne Comar)
Le film d’ouverture d’un grand festival est chargé d’un capital de prestige conséquent, en théorie pour assurer son avenir commercial, ainsi que celui forcément plus subjectif de la dizaine de jours de festivités cinématographiques qui suivront. Il fait en quelque sorte office d’indicateur de la capacité des grandes messes à Berlin, Cannes ou Venise d’attirer les vedettes les plus en vogue du moment.
Berlinale 2017 : Casting
Aussi riche et intense l’œuvre de Rainer Werner Fassbinder soit-il, il ne nous viendrait jamais à l’esprit de le louer pour sa prédisposition à nous faire rire aux éclats. Ses films, restés d’une grande pertinence culturelle en Allemagne et à l’étranger, témoignent au contraire d’un penchant presque pathologique pour la souffrance, à subir et à donner.
Berlinale 2017 : L’Autre côté de l’espoir
Par les temps mouvementés qui courent, où la problématique des réfugiés provoque souvent de l’indignation bien intentionnée, mais rarement des actions concrètes pour en venir à bout, est-il convenable d’avoir un grand sourire aux lèvres en regardant un film qui traite frontalement le sujet ?
Festival de Cannes 2015 : prix Vulcain pour Le Fils de Saul
Le Prix Vulcain de l’artiste-Technicien a été remis à l'ingénieur du son Tamas Zanyi pour Le Fils de Saul «pour la contribution exceptionnelle du...
De Rome à Paris 2017, festival de cinéma italien
À partir de ce jeudi 19 janvier et jusqu'à dimanche prochain au cinéma l’Arlequin, nouvelle édition de «De Rome à Paris», rendez-vous annuel autour...
Wim Wenders, Prix Lumière 2023
Si au début de l'année, on nous avait dit que 2023 sera celle de la renaissance de Wim Wenders, on aurait eu du mal à y croire. En effet, cela fait bien une petite décennie que le réalisateur allemand est en perte de vitesse, enchaînant à la fois des films de fiction et des documentaires qui ne déplacent guère les foules, voire qui ne sortent même pas au cinéma en France.