Festival de Cannes 2015 : Macbeth

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Deuxième long-métrage, deuxième sélection au Festival de Cannes. Après Les Crimes de Snowtown en 2011 à la Semaine de la Critique, l'australien Justin Kurzel est invité à concourir pour la Palme d'or. L'adaptation d'une œuvre majeure de la littérature, un pilier de la culture moderne en guise de deuxième film, on admire l'audace après un premier film qui se complaisait dans la violence de son sujet.
Marilyn Monroe sur l'affiche du Festival du Cannes 2012

Marilyn Monroe sur l’affiche du festival de Cannes 2012

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L'affiche du prochain Festival de Cannes vient d'être dévoilée. C'est Marilyn Monroe qui sera représentée à l'occasion des 50 ans de sa mort. En effet l'actrice mythique est décédé le 5 août 1962.

La Roche-sur-Yon 2018 : Museo

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Même s'il n'en a pas forcément l'air, Gael Garcia Bernal n'est plus qu'à quelques jours de son quarantième anniversaire. Découvert par le public français au début des années 2000 dans des films tels que Amours chiennes de Alejandro Gonzalez Iñarritu et Et ta mère aussi de Alfonso Cuaron, l'acteur endosse donc depuis près de vingt ans la lourde responsabilité d'être l'un des visages internationaux du cinéma mexicain.

Berlinale 2022 : la sélection Berlinale Classics

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En cette semaine très chargée pour le Festival de Berlin, raccourci de quelques jours mais toujours vent debout contre l'épidémie du coronavirus, les annonces des différentes sections se bousculent. Ainsi, avant celle du Panorama ce jour et celle de la compétition demain matin, ce fut le tour avant-hier de Berlinale Classics.

Cannes 70 : Annecy comes from Cannes

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70 ans, 70 textes, 70 instantanés comme autant de fragments épars, sans chronologie mais pas au hasard, pour fêter les noces de platine des...

Festival de Cannes 2017 : suivez-nous en direct

Découvrez toutes les critiques des films (compétition et hors compétition) de la 70ème édition du festival de Cannes : 1er jour - Le musée des merveilles (Wonderstruck) =>...

Berlinale 2021 : la sélection du Panorama

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Vu de loin, depuis Paris où chaque section de la sélection officielle du Festival de Cannes est passée au crible d'une cinéphilie pointue, celui de Berlin pourrait se résumer à la compétition, aux Ours d'honneur et à la composition du jury. Pourtant, à l'image de son pendant français, le Festival de Berlin offre au fil de ses différentes programmations une multitude de propositions de cinéma venues du monde entier.

Locarno 2024 : rétrospective centenaire de la Columbia

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Au mois d'août, en plein cœur de l'été, il ne se passe pas grand-chose au cinéma, vous dites ? Certes, le rythme des sorties hebdomadaires tourne au ralenti et pour se rafraichir, une salle de cinéma n'est qu'une option parmi d'autres, concurrencée pendant une semaine encore par l'euphorie olympique.

Cannes 2019 : Dogs Don’t Wear Pants (Quinzaine)

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Magnifique, tragique, repoussant et drôle, Dogs don't wear pants est assurément l'une de ces petites pépites cinématographiques de l'année. Les chiens ont beau ne pas porter de pantalon, Jukka-Pekka Valkeapää, lui, est culotté.

Festival de Cannes 2013 : bilan du cinéphile

À Cannes, l'accréditation « cinéphile » ne donne pas droit aux paillettes et à la montée des marches de ce que les cannois appellent le bunker, mais elle permet, moyennant des queues le plus souvent très longues et, cette année, parfois très arrosées, de voir une cinquantaine de films en 10 jours. Pour quel bilan ? Osons dire que l'année 2013 ne fera pas partie pour moi des grands crus, avec trop de films au scénario quasiment inexistant ou mal travaillé, d'où plein de scènes de remplissage pour arriver au bout, trop de films au sujet fort intéressant mais gâchés par un montage calamiteux. Le bilan est particulièrement désolant en ce qui concerne la Sélection Officielle, probablement la plus médiocre de l'histoire du Festival. Personnellement, je l'avais pressenti dès l'annonce de cette sélection : malheureusement, mon inquiétude s'est trouvée confirmée par les faits. Certes, il m'a manqué 4 films sur les 20 en compétition mais je ne pense pas que ces 4 films, dont un seul est au palmarès, aurait pu inverser cette triste tendance.
Djeca

Djeca

Djeca Bosnie : 2012 Titre original : Djeca Réalisateur : Aida Begic Scénario : Aida Begic Acteurs : Inconnue Distribution : Inconnue Durée : Inconnue Genre : Inconnue Date de sortie : Inconnue Globale...

Compte-rendu Brive 2015 chapitre premier

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Départ de la gare d'Austerlitz pour Brive en ce vendredi 17 avril à 6h38 en mode warrior (c'est vraiment trop tôt pour un grand...

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Test Blu-ray 4K Ultra HD : Nobody 2

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Dans Nobody 2, la thématique centrale reste celle du poids du passé : Hutch pensait avoir rangé ses armes, mais son passé lui colle à la peau. Le film explore cette idée avec une ironie mordante : on ne se débarrasse jamais vraiment de ses démons, et ici on les recycle en scènes d’action.

Décès du réalisateur Rob Reiner

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Le réalisateur, producteur et acteur américain Rob Reiner est décédé avant-hier à Los Angeles. Il était âgé de 78 ans. Le corps de Reiner, ainsi que celui de son épouse Michele Singer, ont été retrouvés, poignardés, dans leur maison dans le quartier de Brentwood. Hier, leur fils Nick a été inculpé pour ce double meurtre. Connu initialement comme acteur, notamment dans la série à succès « All in the Family », Reiner s’était imposé dès les années ‘80 comme réalisateur.

Test Blu-ray 4K Ultra HD : Vampires – Édition Limitée Cult’Edition

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Vampires n’a pas besoin de se cacher derrière des capes gothiques ou des châteaux poussiéreux pour exister. Ici, le vampire sort du placard et se retrouve projeté en plein désert américain, sous un soleil qui brûle les yeux autant que les peaux.

Berlinale 2026 : Wim Wenders président

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En ces premières semaines de la saison des prix de cinéma pour l’année 2025, il était grand temps qu’on sache qui présidera le jury du prochain Festival de Berlin. Fin du suspense vendredi dernier, le 12 décembre, avec l’annonce par la directrice de la Berlinale Tricia Tuttle du nom du réalisateur allemand Wim Wenders.

Critique Express : L’amour qu’il nous reste (Deuxième avis)

Hlynur Pálmason a choisi, pour son 4ème long métrage, de nous faire partager avec beaucoup de tendresse la vie d'une famille, une femme, un homme, 3 enfants, une chienne, qui, d'une façon plutôt paisible, est en train de se décomposer.