Cannes, jour 3 : dansons la Carioca
Retrouvez tous les jours nos compte-rendus et nos critiques en cliquant ici.
Dansons la Carioca (culte/5)
L'idée a été lancée par deux internautes, puis signée...
Cannes 2019 : Alain Delon Palme d’or d’honneur
Quelques heures à peine avant la présentation de la sélection officielle, demain matin dès 11h00, le délégué général du Festival de Cannes Thierry Frémaux a annoncé que la Palme d'or d'honneur de cette 72ème édition a été attribuée à l'acteur français Alain Delon. Le festival aura lieu du mardi 14 au samedi 25 mai.
Cannes 2019 : l’agenda des séances
La 72e édition du Festival de Cannes s'est ouverte hier avec la présentation en compétition de The Dead don't die de Jim Jarmusch...
Cannes 2019 : The lighthouse (Quinzaine)
Alors que l’on déplorait l’autre jour l’utilisation excessive des jumpscares dans Wounds de Babak Anvari, son compatriote américain, lui, fait tout le contraire et semble déjà avoir une patte dans le genre du cinéma d’horreur. Robert Eggers instaure, dans The Lighthouse, une ambiance infiniment pesante qui ne passe jamais par des plans dans lesquels des figures terrifiantes vous sautent brusquement au visage. On se sent à l’étroit pendant les 110 minutes qui composent le film et devant cette image carrée, le réalisateur ayant choisi un format assez particulier pour son nouveau film. Le sublime noir et blanc choisi par le cinéaste de 35 ans joue sur les perspectives et participe à la perte de notion d’espace-temps que nous procure le film. Le son, lui aussi très travaillé, exacerbe nos peurs. Ces dernières sont d’ailleurs primitives : peur de l’autre, peur du noir, peur de l’isolement, peur de l’oiseau, superstition etc. Robert Eggers les met parfaitement en scène et dresse, à partir d’une intrigue extrêmement simple, un somptueux et effroyable tableau
Cannes 2019, jour 2 : Le Daim, Carpenter, et Bacurau
Le Daim - 4/5
Premier véritable jour à Cannes, et premier coup de cœur. Non pas pour un film de la compétition, mais pour l'ouverture...
Cannes 2019 : Too Old to Die Young (séance spéciale)
Nicolas Winding Refn présentait, en séance spéciale, deux épisodes de sa future série, Too old to die young. En tenant compte de son affirmation d’avoir réalisé « un film de 13 heures », c’est donc un long extrait de 2h18 que nous avons eu la chance de voir. Pourtant, le premier des deux épisodes (le 4, donc), ressemble bel et bien à un épisode de série : on est plongé au milieu d’une intrigue à multiples personnages, bien qu’on arrive à comprendre assez vite leurs places dans le récit. Difficile de juger cet épisode d’un peu moins d’une heure : heureusement, l’épisode suivant mettra tous les aficionados de NWR d’accord.
Cannes 2019 : le jury de L’Œil d’Or
Cinquième
édition déjà pour le Prix du meilleur documentaire du Festival de
Cannes, remis à un des films présentés dans les sections cannoises
suivantes : la sélection...
Le Daim ouvre la Quinzaine des Réalisateurs 2019
Le nouveau film de Quentin Dupieux, qui sortira officiellement en salles le 19 juin, sera présenté en première mondiale à Cannes lors de...
Cannes 2019 : Yves (Quinzaine)
Prenez le Her de Spike Jonze. Ajoutez-y une touche de 2001, l'Odysée de l'espace ainsi qu'un zeste d'épisode de la série britannique Black Mirror. Puis, mélangez le tout avec une forte dose d'humour et vos obtiendrez Yves. La recette fait rêver.
Cannes 2019 : Alejandro Gonzalez Iñarritu président
Le réalisateur mexicain Alejandro Gonzalez Iñarritu sera le président du jury du prochain Festival de Cannes. C'est ce que le président du festival Pierre Lescure et son délégué général Thierry Frémaux ont annoncé hier. Il succède à l'actrice Cate Blanchett, dont le jury avait couronné Une affaire de famille de la Palme d'or en mai dernier.
Cannes, jour 4 : de Loach à Refn, le grand écart
Retrouvez tous les jours nos compte-rendus et nos critiques, notamment concernant la Quinzaine des Réalisateurs, en cliquant ici.
Sorry We Missed You -...
Cannes 2019 : Et puis nous danserons (Quinzaine)
And then we danced n'est pas un film de danse. Pourtant, le film du suédois Levan Akin accumule tous les clichés du genre. Des vociférations d'un professeur tyrannique à l'arrivée d'un nouveau danseur rival en passant par l'annonce impromptue d'auditions, presque toutes les ficelles narratives des films de danse sont exploitées.