Cannes, jour 9 : quelques déceptions
Once upon a time ... in Hollywood - 3.5/5
"Once upon a time … in Hollywood est en effet étrangement statique. Il ne se passe...
Cannes 2019 : palmarès de la Cinéfondation
Le jury présidé par Claire Denis a annoncé ce soir le Palmarès de la 22e édition de la Cinéfondation. La réalisatrice du récent...
Cannes 2019 à Paris, demandez le programme
De ce vendredi 24 mai jusqu'au dimanche 26, nouvelle édition de ce programme de reprises des films de Cannes destiné à démocratiser l'accès...
Cannes 2019 : palmarès de la Semaine de la Critique
Grande première à Cannes, toutes sections confondues : un film d'animation reçoit un premier prix sur la Croisette. Comme l'indique le titre, dans J'ai...
Cannes, jour 8 : Tarantino et Bong Joon-ho acclamés
De Tarantino à Rodriguez
Du jamais vu. Dès la veille, des dizaines de Tarantinophiles déambulaient autour du palais du festival à la recherche de places...
Cannes 2019 : Dogs Don’t Wear Pants (Quinzaine)
Magnifique, tragique, repoussant et drôle, Dogs don't wear pants est assurément l'une de ces petites pépites cinématographiques de l'année. Les chiens ont beau ne pas porter de pantalon, Jukka-Pekka Valkeapää, lui, est culotté.
Cannes 2019 : Wounds (Quinzaine)
Adapté du livre The Visible Flith de Nathan Ballingrud, Wounds raconte l'histoire de Will, un type sympa et réglo incarné par la star montante Armie Hammer, qui se retrouve, du jour au lendemain, impliqué, à cause d'un portable, dans une étrange et maléfique machination lui faisant peu à peu perdre la notion de réalité et le mettant à l'épreuve de situations surnaturelles et cauchemardesques.
Cannes 2019 : Once upon a time … in Hollywood
Le film commence : après un faux reportage sur le plateau d'une série western, on se retrouve plongé en plein dans le Hollywood de 1969. Léonardo DiCaprio, Brad Pitt, Margot Robbie, et dans des plus petits rôles, Al Pacino et Kurt Russell. On s'attendait à une fresque flamboyante sur le monde du cinéma, au tournant d'une époque ; c'est dire si nous avons été surpris.
Cannes 2019 : Parasite (compétition)
Parasite est avant tout une histoire de famille(s) : celle des protagonistes, qui doivent vivre dans un entre-sol et celle des Park, socialement à l'opposé des précédents. Comme d'habitude chez Bong Joon-ho, quelques plans suffisent pour nous faire ressentir une empathie immense envers les personnages. Ici, tous sont attachants, même (et surtout) lorsque les évènements prennent un tournant inattendu. Car s'il y a une chose dont le cinéaste semble s'être fait la spécialité, c'est le changement de ton.
Cannes, jour 7 : Une vie cachée & Frankie
Une vie cachée... Franz est un objecteur de conscience, ce qui n'est pas conseillé quand on est Autrichien en 1940. Lorsqu'il est appelé à servir sous les oripeaux du IIIème Reich, quitte à laisser de côté sa vie paisible, et sa famille avec elle, il préfère devenir prisonnier politique que d'aller tuer des innocents.
Cannes 2019 : Une fille facile (Quinzaine)
Autant le dire tout de suite, Une fille facile sent l'été à plein nez. Tourné en grande partie à Cannes, les scènes de plages ou de yachts, les bikinis et les chaudes nuits se finissant en boites de nuit donnent une odeur particulièrement estivale au film de la réalisatrice française de 39 ans.
Cannes 2019 : Alice et le maire (Quinzaine)
Quatre ans après Le Grand Jeu, Nicolas Pariser renoue avec le monde politique en signant Alice et le maire, une réflexion sur la pratique du pouvoir.