Cannes 2017 : You were never really here

Lynne Ramsay est la cinéaste derrière le remarqué We need to talk about Kevin, et on peut dire que son dernier film a fait sensation lors de sa présentation à la presse. Tout comme Wonderstruck (Le musée des merveilles), il est produit par Amazon Studios, qui contrairement à Netflix n'est pas opposé à une sortie en salles.

L’affiche du Festival de Cannes 2017 avec Claudia Cardinale

L'actrice italienne Claudia Cardinale est la star de l'affiche officielle du prochain Festival de Cannes qui aura lieu de 17 au 28 mai prochain. L'affiche a...

Cannes 2017 : la sélection de la Semaine de la Critique

Les annonces des sélections cannoises se bousculent ces jours-ci, avec celle aujourd'hui des films retenus pour la 56ème Semaine de la Critique, se déroulant du 18 au 26 mai prochains et mettant à l'honneur les premiers et deuxièmes films. Elle a eu lieu, comme les années précédentes, par le biais d'une vidéo du délégué général Charles Tesson, même si le dispositif a été quelque peu allégé cette fois grâce à l'intervention de la journaliste Charlotte Lipinska.

Cannes 2017 : The Meyerowitz Stories

The Meyerowitz Stories USA - 2017 Titre original : The Meyerowitz Stories Réalisateur : Noah Baumbach Scénario : Noah Baumbach Acteurs : Adam Sandler, Ben Stiller, Dustin Hoffman Distribution : Netflix France Durée...

Cannes 2017 : Mise à Mort du Cerf Sacré

L’arrivée de Yorgos Lanthimos dans la compétition était très attendue à Cannes. On sait que le réalisateur et son univers particulier propose des films clairement barrés. Mise à Mort du Cerf Sacré, contrairement à son titre, est son film le plus conventionnel, le cinéaste s’est assagie pour cette oeuvre mais à de bonnes fins puisqu’il s’agit là d’un thriller qui tend clairement vers l’horrifique.

Cannes 2017 : Happy end

Après deux Palmes d'Or d'affilée ( Le ruban Blanc en 2009, Amour en 2012), Michael Haneke est de retour en compétition à Cannes pour son film, Happy End. Comme dans son précédent long-métrage, il dresse le portrait de membres d'une famille bourgeoise et de ses névroses, mais ici, si on retrouve aussi Isabelle Huppert et Jean-Louis Trintignant, c'est une famille plus large qui est mise en scène.

Cannes 2017 : Jupiter’s Moon

White God… à l'évocation de ces deux mots qui forment le titre du précédent long-métrage de Kornel Mundruczo, un souvenir intense et pénétrant nous revient sur ce qui fut l'un des grands chocs cinématographiques de Cannes en 2014. Ce très mérité lauréat du Prix Un Certain regard a fait naître de grandes attentes sur la suite, trop grandes peut-être ?

Cannes 2017 : Good Time

Les frères Safdie, réalisateurs indépendants new-yorkais, signent avec Good Time leur quatrième long-métrage. Les précédents, peu distribués en France, avaient cependant bénéficié d'un certain succès d'estime. Leurs deux premiers films, The Pleasure of Being Robbed et Lenny and the kids avaient été sélectionnés à la Quinzaine des Réalisateurs, en 2008 et en 2009, tandis que Mad love in New York a été présenté à la Mostra de Venise il y a trois ans.

Critique : In the fade

Bien que, dans ce film qui se divise en trois chapitres distincts, le ton soit forcément différent d'un volet à l'autre, c'est toujours passionnant, c'est toujours très bien mis en scène, c'est toujours remarquablement interprété.

Cannes 2017 : 120 battements par minute

Premier coup de coeur au Festival de Cannes 2017 pour 120 battements par minute qui lance la compétition pour les films français. Une oeuvre bouleversante qui traite d’un sujet lourd, l’arrivée du sida en France au début des années 90. On y découvre le combat d’Act Up, une association homosexuelle dont le but est de sensibiliser les minorités des dangers du virus.

Cannes 2017 : Okja

Les films coréens, ou du moins beaucoup de ceux qui sont distribués en France, nous ont habitué à mettre en scène des satires sociales, surtout concernant la société coréenne elle-même. Pour rester chez Bong Joon-ho, on peut ainsi se rappeler des policiers violents de Memories of murder ou du gouvernement réprimant les manifestations à la fin de The Host ; plus récemment, Tunnel de Kim Seong-hoon (blockbuster de l'été 2016 au pays du matin calme) nous montrait à quel point la (sur)vie d'un homme pouvait se retrouver liée à l'image que voulait se donner un gouvernement et aux intérêts d'entreprises privées.

Cannes 2017 : Le bilan de Jean-Jacques

Impression générale : un Festival très moyen, de nombreux films qui auraient beaucoup gagné à être raccourcis, remarque qui vaut d'ailleurs, malgré toutes leurs qualités, à la Palme d'Or, au Grand Prix du Jury et, surtout, au Prix du Jury.

Derniers articles

Test Blu-ray 4K Ultra HD : Vampires – Édition Limitée Cult’Edition

0
Vampires n’a pas besoin de se cacher derrière des capes gothiques ou des châteaux poussiéreux pour exister. Ici, le vampire sort du placard et se retrouve projeté en plein désert américain, sous un soleil qui brûle les yeux autant que les peaux.

Berlinale 2026 : Wim Wenders président

0
En ces premières semaines de la saison des prix de cinéma pour l’année 2025, il était grand temps qu’on sache qui présidera le jury du prochain Festival de Berlin. Fin du suspense vendredi dernier, le 12 décembre, avec l’annonce par la directrice de la Berlinale Tricia Tuttle du nom du réalisateur allemand Wim Wenders.

Critique Express : L’amour qu’il nous reste (Deuxième avis)

Hlynur Pálmason a choisi, pour son 4ème long métrage, de nous faire partager avec beaucoup de tendresse la vie d'une famille, une femme, un homme, 3 enfants, une chienne, qui, d'une façon plutôt paisible, est en train de se décomposer.

Test Blu-ray 4K Ultra HD : À toute épreuve – Édition Collector Limitée

0
Pour son arrivée au format Blu-ray 4K Ultra HD, À toute épreuve s’offre une édition collector limitée absolument magnifique, sous les couleurs de HK Vidéo. Le packaging du coffret impressionne : un Digipack élégant avec étui rigide, accompagné d’un livret de 20 pages, de cinq photos et d’une affiche.

Test Blu-ray : Les Bad Guys 2

0
Dans Les Bad Guys 2, les personnages, à la croisée des chemins entre animaux et caricatures sociales, se débattent avec leurs propres contradictions. Le loup, figure centrale, incarne cette lutte intérieure : héros malgré lui, il se retrouve coincé entre la tentation du frisson criminel et l’appel d’une vie rangée.