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Chili, 1988. Lorsque le dictateur chilien Augusto Pinochet, face à la pression internationale, consent à organiser un référendum sur sa présidence, les dirigeants de l’opposition persuadent un jeune et brillant publicitaire, René Saavedra, de concevoir leur campagne. Avec peu de moyens, mais des méthodes innovantes, Saavedra et son équipe construisent un plan audacieux pour libérer le pays de l’oppression, malgré la surveillance constante des hommes de Pinochet.
Catherine Deneuve en ouverture du 68ème Festival de Cannes
Surprise, c'est La Tête haute, nouveau long-métrage d'Emmanuelle Bercot, qui a été choisi pour être le film d'ouverture de la 68e édition du Festival...
Albi 2024 : Se souvenir des tournesols
Venez vivre à la campagne, c'est merveilleux ! S'il disposait de moins de qualités cinématographiques indéniables, ce documentaire pourrait passer pour de la publicité à peine larvée en faveur d'un style de vie bucolique. Or, c'est au contraire la grande liberté de ton qui rend Se souvenir des tournesols si frais et désarmant.
Critique : Vers la lumière
Un très beau film, oublié par le Jury du Festival de Cannes 2017 mais couronné à juste titre par le Jury Œcuménique.
La Roche-sur-Yon 2018 : Silvio et les autres
Ce n'est pas un règlement de compte baroque comme l'a été le magistral Il divo et ce n'est pas non plus un pamphlet provocateur. En tout cas dans sa version internationale quelque peu tronquée, Silvio et les autres nous a laissés passablement perplexes quant à son positionnement par rapport à cette figure mythique des temps modernes que Silvio Berlusconi reste en Italie, voire en Europe.
Festival du Cinéma de Brive 2018 : Jour 1
7h40. Gare d’Austerlitz. Train pour Brive-la-Gaillarde. 4h30 de trajet en train Intercité en pleine grève SNCF. La raison ? S’abreuver de moyens-métrages dans un...
Berlinale 2023 : Almamula
L'homosexualité et la religion ne font pratiquement jamais bon ménage. Entre la chair et l'esprit, le profane et le sacré, il y a un gouffre que peu d'hommes et de femmes osent franchir. Cette nature irréconciliable est mise de façon astucieuse au cœur de Almamula, présenté dans la section Generation 14plus et hélas déjà notre dernier film en cette 73ème Festival de Berlin.
Ray Liotta et Jessica Chastain à Deauville
La liste des invités du prochain Festival de Deauville s'allonge : Ray Liotta et Jessica Chastain seront présents aux côtés de James Cameron, John...
Format Court, deuxième édition !
Malgré le confinement, les festivals de cinéma n'ont pas encore abandonné la partie. La deuxième édition du Festival Format Court, créé par le site...
Arras 2018 : Ma mère est folle
Nous savons bien sûr parfaitement que la vedette de Ma mère est folle est Fanny Ardant, une actrice que nous apprécions habituellement, grâce à son charme irrésistible qui passe à la fois par son grand sourire et par une profondeur de jeu qui ne trouve hélas pas toujours les rôles qu'elle mériterait.
Cannes 2015 : le regard certain d’Isabella Rossellini
Après le visage éclatant d'Ingrid Bergman sur l'affiche officielle, c'est un autre membre de l'une des familles magiques du 7ème Art qui tiendra un rôle important dans cette édition 2015 du Festival de Cannes. IsaBELLA (oui, en majuscules) Rossellini «a accepté de présider le Jury Un Certain Regard»
Cannes Classics 2017 : Le Songe de la lumière
Un des seuls films espagnols présents à la Croisette en 2017 est un film présenté en compétition en 1993. El Sol del membrillo (Le Songe de la lumière) de Victor Erice est un des gestes de cinéma les plus intenses de l’histoire du cinéma. Erice suit le peintre hyperréaliste Antonio Lopez alors qu’il est en train de peindre les fruits d’un cognassier, baignés dans la lumière d’un soleil intime et merveilleusement éloquent en même temps. Comment capturer une image en éternel mouvement ? Le temps serait pareil sans une lumière projetée sur lui qui nous indiquerait sa présence ? Le temps peut vraiment être reflété par une quantité précise ? S’agirait-il d’une simple métaphore ? En somme, comment saisir ce qui échappe à notre entente ?