La Rochelle 2023 : rétrospectives Bette Davis, Adilkhan Yerzhanov et Nicole Kidman
Alors que tous les yeux festivaliers sont d'ores et déjà rivés sur celui de Cannes, le Festival de La Rochelle ne se laisse nullement intimider par son grand cousin, situé à un millier de kilomètres au sud-est. Ainsi, la programmation de la 51ème édition du festival, qui aura lieu du vendredi 30 juin au dimanche 9 juillet prochains, continue à prendre forme, un communiqué de presse à la fois.
Wes Craven, toujours d’actualité…
L'année 2016 sera l'année Wes Craven, disparu le août 2015, ou ne sera pas. On commence dès cette semaine avec les hommages conjoints du...
Ma vie avec Liberace
Avant Elvis, Elton John et Madonna, il y a eu Liberace : pianiste virtuose, artiste exubérant, bête de scène et des plateaux télévisés. Liberace affectionnait la démesure et cultivait l'excès, sur scène et hors scène. Un jour de l'été 1977, le bel et jeune Scott Thorson pénétra dans sa loge et, malgré la différence d'âge et de milieu social, les deux hommes entamèrent une liaison secrète qui allait durer cinq ans. 'Ma Vie avec Liberace' narre les coulisses de cette relation orageuse, de leur rencontre au Las Vegas Hilton à leur douloureuse rupture publique.
Chéries Chéris 2018 : la sélection officielle
Pour nos couvertures de festivals, on a beau parcourir la France entière, il y en a aussi énormément en région parisienne, auxquels on aimerait tant assister, si on était plus discipliné et moins vagabond. L'un des plus anciens parmi eux est le Festival Chéries chéris, consacré aux films issus de et consacrés à la communauté lesbienne, gaie, bi, trans, queer et ++++.
Venise 2022 : la compétition
Le jury sous la présidence de l'actrice américaine Julianne Moore aura fort à faire à Venise à la fin du mois prochain. En effet, alors que d'habitude un maximum de 21 longs-métrages compose la compétition du Festival de Venise, ce sont pas moins de 23 titres qui ont été annoncés avant-hier par le directeur du plus ancien des grands festivals européens Alberto Barbera.
Cannes 2023 : la sélection de la Quinzaine des cinéastes
A moins de deux semaines de l'ouverture de la 76ème édition du Festival de Cannes, les nouvelles pré-cannoises se succèdent à un tel rythme qu'on risque d'y perdre le fil. En guise de rattrapage et à l'occasion de l'annonce de la grille de programmation ce jour, voici la sélection officielle de la 55ème Quinzaine des cinéastes, initialement communiquée le 13 avril dernier.
Lawless
Lawless
USA : 2012
Titre original : Lawless
Réalisateur : John Hillcoat
Scénario : John Hillcoat
Acteurs : Guy Pearce, Tom Hardy, Jessica Chastain
Distribution : Metropolitan FilmExport
Durée : 1h55
Genre...
Albi 2018 : Deux fils
Est-ce que les films en général et les premières œuvres en particulier reflètent la personnalité de leur créateur ? C'est une question qu'on s'est toujours posée, tellement le cinéma, dans son versant pas exclusivement commercial, constitue une forme d'expression personnelle. Supposons donc que ce soit le cas et que Deux fils, présenté en avant-première au Festival d'Albi, soit en quelque sorte un prolongement de l'impression que son réalisateur débutant Félix Moati nous a laissée à travers ses interprétations dans un nombre conséquent de films français récents.
Berlinale 2016 : Tempestad
En route pour l’aventure avec ce documentaire, présenté au 66ème Festival de Berlin dans le cadre du Forum, que nous avons découvert par hasard, grâce à un changement à la dernière minute de notre emploi du temps personnel. Tempestad est un film qui demande beaucoup au spectateur, à commencer par l’abandon de certaines règles immuables du cinéma comme une relation au moins approximative entre le son et l’image.
Cannes 2021 : la compétition
La 74ème édition du Festival de Cannes aura bel et bien lieu. Enfin, on n'est jamais tout à fait à l'abri d'un revirement pandémique de dernière minute. Mais tout porte désormais à croire que le monde du cinéma pourra se retrouver comme prévu du côté de la Croisette, en mode canicule d'été, entre le mardi 6 et le samedi 17 juillet prochains.
Critique : Solo – A Star Wars Story
Star Wars (1977) : assis à la table d’un bouge, La Cantina de Mos Esley, sur une planète aux confins de la galaxie, un homme se présente comme le capitaine du vaisseau le plus rapide de la galaxie. Quelques minutes plus tard, il élimine un homme de main un peu trop insistant. En quelques phrases, avec sa dégaine et ses expressions, Han Solo s’impose comme un charismatique contrebandier, avec une « gueule » et du bagout, qui en l’espace d’une trilogie (puis d’un baroud d’honneur trente ans plus tard) devient un des plus célèbres personnages du grand écran, indissociable de son acteur. Drôle d’idée donc, en 2018, de vouloir expliquer les origines de ce simili cow-boy, dans un film sans Harrison Ford. Si les épisodes I, II et III de Star Wars émanaient de la volonté du papa de la trilogie d’étendre son univers en en expliquant les origines, connaître celles de Solo était loin d’être nécessaire. Si seulement c'était son seul défaut ...
No
Chili, 1988. Lorsque le dictateur chilien Augusto Pinochet, face à la pression internationale, consent à organiser un référendum sur sa présidence, les dirigeants de l’opposition persuadent un jeune et brillant publicitaire, René Saavedra, de concevoir leur campagne. Avec peu de moyens, mais des méthodes innovantes, Saavedra et son équipe construisent un plan audacieux pour libérer le pays de l’oppression, malgré la surveillance constante des hommes de Pinochet.