Cannes 2022 : Réservation en progrès

Mieux, mais pas parfait ! Le Festival de scans a pu commencer ! Après les gros problèmes rencontrés en début de Festival pour réserver ses billets,...

Critique : La Femme de Tchaïkovski

Kirill Serebrennikov, un habitué de la Croisette donc, était le seul réalisateur Russe dans la Sélection Officielle cette année. La question de la légitimité de la culture russe au moment de l’agression criminelle de l’Ukraine par la Russie – une guerre qui a déjà emporté des milliers de vies – s’est posée plusieurs fois.

Critique : La Fièvre de Petrov

Le Nouvel An approche - symbole du passage à une nouvelle ère - et la famille de Petrov a la fièvre. Pendant presque deux heures et demie - qu’on ne voit pas passer - Kirill Serebrennikov nous lance dans un espace-temps complexe. En ce temps de magie (contrairement au Noël largement célébré en Europe, la grande fête annuelle en Russie est le Nouvel An) les personnages du passé surgissent dans le présent ; le rêve et la réalité s’entremêlent ; les esprits se brouillent sous l’influence de la fièvre et de l’alcool, et même un mort revient à la vie !

Cannes 2022 : reprise de l’ACID au Louxor à Paris

La 75ème édition du Festival de Cannes paraît loin derrière nous. Pourtant, en parallèle des films de la sélection officielle qui sortent en salles au fur et à mesure, dont la Palme d'or Sans filtre de Ruben Östlund la semaine prochaine, il y a toujours des reprises de sections parallèles.

Cannes 2022 : Coup de gueule

Des heures pour avoir un billet !

Critique express : Decision to leave

Park Chan-Wook , le réalisateur d’Old boy (2003), est de retour cette année sur la Croisette avec Decision to leave, un thriller en compétition aussi saisissant que comique.

Interview : Christophe Gans pour Le Pacte des loups

Après une projection au Cinéma de Plage lors du Festival de Cannes 2022, la version restaurée 4K du Pacte des Loups (2001) arrive enfin sur les écrans le vendredi 10 juin. Pour l’occasion, nous nous sommes entretenus avec le réalisateur Christophe Gans, qui revient avec passion sur la restauration de son magnum opus, véritable cathédrale du cinéma de genre français.

Cannes 2022 : Forest Whitaker Palme d’or d’honneur

Alors que le rideau se lèvera dans une bonne semaine sur la 75ème édition du Festival de Cannes, les nouvelles autour de ce rendez-vous incontournable du cinéma mondial tombent à une telle vitesse que nous avons du mal à suivre.

Cannes 2022 : reprise partielle au Louxor à Paris

On pensait en avoir fini du programme abondant de rattrapage cannois qui ravit chaque année – ou presque – les spectateurs parisiens pas assez chanceux ou fortunés pour se rendre sur la Croisette au mois de mai.

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Test Blu-ray : I Love Peru

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I Love Peru est un docufiction burlesque dans lequel Raphaël Quenard joue son propre rôle avec une sacrée dose d’auto-dérision. Co-réalisé avec Hugo David, le film s’impose comme un curieux objet filmique, à mi-chemin entre l’autoportrait déglingué, le trip mystique et le journal intime d’un acteur en pleine crise d’ego...

Sarlat 2025 : Les Enfants vont bien

A en croire les bruits de couloir pendant le Festival de Sarlat, le thème récurrent de cette 34ème édition était la recherche d’un nouveau foyer de la part d’enfants délaissés. Apparemment, Love Me Tender de Anna Cazenave Cambet et On vous croit de Charlotte Devillers et Arnaud Dufeys en traitaient, ainsi que – sans trop vouloir élargir l’échantillon d’œuvres concernées – Promis le ciel de Erige Sehiri.

Test Blu-ray : Sinners

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Sinners, c’est un peu comme si le cinéma américain avait décidé de se souvenir qu’il avait une âme. Pas une âme propre, bien sûr — ce serait trop simple — mais une âme cabossée, pleine de blues, de sang, de jumeaux hantés et de plans-séquences qui feraient passer Alfonso Cuarón pour un stagiaire en école de cinéma.

Sarlat 2025 : Animal totem

Comme le disait l’éminent Fritz Lang, le format d’écran large est fait pour les serpents et les enterrements. Dans Animal totem, il aurait pu y avoir légitimement les premiers et, on le craint, il y a au moins métaphoriquement le deuxième. Car en optant pour un format extrêmement large, du 3:55 pour les puristes, le réalisateur Benoît Delépine bouscule nos habitudes de visionnage.

Sarlat 2025 : Promis le ciel

En règle générale, le parcours d’immigration n’est linéaire pour personne. A plus forte raison lorsqu’il se faufile dans la clandestinité, à l’écart des canaux officiels, sursaturés depuis longtemps. Ainsi, il y a des moments de précipitation au risque de sa propre vie d’un côté et des pauses lénifiantes de l’autre, qui coïncident avec une situation bloquée dont on peine à percevoir une issue favorable.