Cannes 2022 : Réservation en progrès

Mieux, mais pas parfait ! Le Festival de scans a pu commencer ! Après les gros problèmes rencontrés en début de Festival pour réserver ses billets,...

Cannes 2022 : le palmarès

La 75ème édition du Festival de Cannes s'est terminée hier soir avec l'annonce de son palmarès. Après deux années chamboulées par la crise sanitaire, ce rendez-vous incontournable du cinéma mondial avait peu ou prou retrouvé son lustre du monde d'avant.

Cannes 2022 : reprise de l’ACID au Louxor à Paris

La 75ème édition du Festival de Cannes paraît loin derrière nous. Pourtant, en parallèle des films de la sélection officielle qui sortent en salles au fur et à mesure, dont la Palme d'or Sans filtre de Ruben Östlund la semaine prochaine, il y a toujours des reprises de sections parallèles.

Cannes 2022 : Coup de gueule

Des heures pour avoir un billet !

Cannes 2022 : Forest Whitaker Palme d’or d’honneur

Alors que le rideau se lèvera dans une bonne semaine sur la 75ème édition du Festival de Cannes, les nouvelles autour de ce rendez-vous incontournable du cinéma mondial tombent à une telle vitesse que nous avons du mal à suivre.

Critique : La Femme de Tchaïkovski

Kirill Serebrennikov, un habitué de la Croisette donc, était le seul réalisateur Russe dans la Sélection Officielle cette année. La question de la légitimité de la culture russe au moment de l’agression criminelle de l’Ukraine par la Russie – une guerre qui a déjà emporté des milliers de vies – s’est posée plusieurs fois.

Cannes 2022 : reprise partielle au Louxor à Paris

On pensait en avoir fini du programme abondant de rattrapage cannois qui ravit chaque année – ou presque – les spectateurs parisiens pas assez chanceux ou fortunés pour se rendre sur la Croisette au mois de mai.

Critique : La Fièvre de Petrov

Le Nouvel An approche - symbole du passage à une nouvelle ère - et la famille de Petrov a la fièvre. Pendant presque deux heures et demie - qu’on ne voit pas passer - Kirill Serebrennikov nous lance dans un espace-temps complexe. En ce temps de magie (contrairement au Noël largement célébré en Europe, la grande fête annuelle en Russie est le Nouvel An) les personnages du passé surgissent dans le présent ; le rêve et la réalité s’entremêlent ; les esprits se brouillent sous l’influence de la fièvre et de l’alcool, et même un mort revient à la vie !

Critique express : Decision to leave

Park Chan-Wook , le réalisateur d’Old boy (2003), est de retour cette année sur la Croisette avec Decision to leave, un thriller en compétition aussi saisissant que comique.

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Critique Express : Howard Zinn, une histoire populaire américaine 2

"Tant que les lapins n'auront pas d'historiens, l'histoire sera racontée par les chasseurs". Dans ce deuxième volet de la trilogie consacrée à l'œuvre majeure de Howard Zinn, la mise en image de son travail insiste beaucoup sur son rôle d'historien des lapins.

Test Blu-ray : La Nuit des Clowns

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Dans La Nuit des Clowns, Eli Craig transforme la mascotte locale d'une petite ville rurale américaine en un miroir grotesque des rancunes et des ressentiments de ses habitants. En Blu-ray chez M6 Vidéo.

Critique : La Vie s’écoule silencieusement

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En dépit de son titre joliment poétique, la vie n’est guère un long fleuve tranquille ni au sein du récit de ce film bulgare, ni au niveau de son parcours de distribution pour le moins tortueux. En effet, La Vie s’écoule silencieusement fait partie de ces œuvres cinématographiques issues du bloc de l’Est qui ont dû attendre le dégel géopolitique à la fin des années 1980 avant de pouvoir enfin être projetées publiquement.

Test Blu-ray 4K Ultra HD : Y a-t-il un flic pour sauver le monde

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Dans Y a-t-il un flic pour sauver le monde, l’absurde est traité comme une matière première, une sorte de pétrole comique qu’on raffine pour en tirer des gags visuels, des dialogues improbables et des situations qui défient la logique.

Test Blu-ray 4K Ultra HD : Nobody 2

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Dans Nobody 2, la thématique centrale reste celle du poids du passé : Hutch pensait avoir rangé ses armes, mais son passé lui colle à la peau. Le film explore cette idée avec une ironie mordante : on ne se débarrasse jamais vraiment de ses démons, et ici on les recycle en scènes d’action.