La 6ème édition du Festival des Arcs, c’est parti !

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La sixième édition de ce festival consacré au cinéma européen a lieu cette année du samedi 13 au samedi 20 décembre avec en ouverture...

Critique : L’Apollonide – souvenirs de la maison close

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Dans le cadre de la troisième édition du festival du cinéma d’Arte, L’Apollonide - souvenirs d’une maison close de Bertrand Bonello a été projeté au Luminor Hôtel de Ville le dimanche 25 novembre. Une belle occasion, quelques mois après Saint Laurent (lien vers la critique), de (re)voir le cinquième long-métrage d’un réalisateur qui, manifestement, s’impose dans le cinéma français. Après la projection, Bonello a pris le micro dans la salle pour un débat avec les spectateurs.

3è édition du Salon de l’édition DVD indépendante

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Le cinéma La Clef (34, rue Daubenton, Métro Censier-Daubenton, Ligne 7) propose les 6 et 7 décembre de 14h00 à 20h00 la troisième édition...

12ème Carrefour de l’animation 2014

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Le cinéma d'animation est à l'honneur pour la douzième année au Forum des Images pour la nouvelle édition du Carrefour de l'animation qui s'ouvre...

Cinessonne 2014 : le palmarès

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Voici le palmarès complet du festival Cinessonne 2014, dédié au cinéma européen, qui a eu lieu cette année du 11 au 23 novembre. Le jury...

29èmes EntreVues de Belfort 2014

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Lancement ce samedi 22 novembre des Entrevues Belfort, festival international de cinéma indépendant et novateur, qui se tient jusqu'au dimanche 30 novembre. Le jury international...

Arte fait son Festival au Luminor Hôtel de Ville

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L'ex Nouveau Latina (20 rue du Temple, métro Hôtel de Ville) accueille son deuxième festival d'affilée, celui d'Arte succédant au 1er Marais Film Festival...

PIFFF 2014 : le programme complet

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Horreur, fantastique, anticipation, rêves et cauchemars, humour et tragédie, visions du futur, du passé, du présent ou indéfini, le fantastique au sens large s'installe...

Palmarès du 15e Arras Film Festival

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Le film tchèque Fair Play de Andrea Sedlackova, avec une jeune athlète confrontée au dopage, remporte l'Atlas d’or alias le Grand prix du jury...

Cinessonne 2014 du 11 au 23 novembre

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Le cinéma européen est une nouvelle fois à l'honneur de la 16ème édition de Cinessonne dans une quinzaine de salles art et essai de...

1ères Rencontres de l’Edition Vidéo Indépendante

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Bientôt Noël : de bonnes idées de cadeaux à trouver lors de la première édition des Rencontres de l’Edition Vidéo Indépendante (REVI) qui ont...

1er Marais Film Festival 2014 du 11 au 17 novembre

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Lancement du 1er Marais Film Festival au Nouveau Latina dont la programmation tourne autour de la thématique LGBT (Lesbiennes Gays Bisexuelles et Transsexuelles) avec...

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Critique : A normal family

Jin-Ho Hur n'est pas le plus connu parmi les réalisateurs coréens. Habituellement intéressé par ce qu'on a coutume d'appeler les bons sentiments, l'amitié, l'amour ou la fraternité, il fait ici ses premiers pas dans un registre beaucoup plus noir et c'est une belle réussite cinématographique.

Test Blu-ray : Revenge – Réédition 2025

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Déjà sorti en Blu-ray en 2018, Revenge a bénéficié d’une petite remise en avant avec le succès de The Substance, le deuxième long-métrage de Coralie Fargeat. Le film est donc réédité aujourd’hui sous les couleurs d’ESC Éditions.

Critique Express : Le rendez-vous de l’été

C'est un film de fiction se déroulant dans le contexte des Jeux Olympiques de Paris que Valentine Cadic, qui souhaitait vouloir comprendre puis montrer comment un tel évènement sportif pouvait influencer la vie de personnes n'étant pas directement concernées, a choisi de réaliser pour son premier long métrage.

Test Blu-ray : May

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Véritable petit « classique » de l’horreur du début des années 2000, May a contribué à mettre sur le devant de la scène cinéphile Lucky McKee, scénariste / réalisateur ayant profondément marqué de son empreinte le cinéma fantastique du début du vingt-et-unième siècle.

Critique : Affreux sales et méchants

A peu d'années près un contemporain des géants du cinéma italien que seront pour toujours Federico Fellini et Michelangelo Antonioni, le réalisateur Ettore Scola ne peut guère se prévaloir d'une filmographie aussi touffue que ses illustres confrères. Certes, il a été un chroniqueur hors pair de la société italienne du siècle dernier, quoique sans le regard acéré d'un Elio Petri ou d'un Francesco Rosi.