Cannes 2018 : L’Œil d’or remis à Samouni road

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Le Jury présidé par le réalisateur Emmanuel Finkiel a primé Samouni Road de Stefano Savona, un documentaire qui mêle prises de vues réelles et...

Cannes 2018, carnet de bord, huitième partie et fin

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Dernier petit tour d'horizon quasi quotidien des quelques films visionnés à Cannes, avec un film de la compétition (le dernier), une curiosité de...

Cannes 2018 : palmarès Un Certain Regard

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Le jury de Benicio Del Toro, accompagné de l'actrice Virginie Ledoyen, des réalisateurs Annemarie Jacir (Le Sel de la mer) et Kantemir Balagov...

Cannes 2018, carnet de bord, septième partie

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Nouveau très gros coup de coeur en compétition officielle, et il s'agit à nouveau d'un long-métrage issu du continent asiatique. Burning est un...

Quinzaine 50 – un florilège de 49 années de cinéma en liberté, partie 2...

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Héritière directe de ceux qui voulaient affranchir le cinéma de ses chaînes en 1968, la Quinzaine célèbre cette année sa 50e édition. L'occasion d'une...

Cannes 2018 : La tendre indifférence du monde

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Deux films en provenance du Kazakhstan sont à l’honneur cette année à Cannes : Ayka de Sergey Dvortevoy en Compétition, et La Tendre indifférence du monde de Adilkhan Yerzhanov à Un Certain Regard. Ce dernier défini l'industrie cinématographique de son pays par sa "tendre indifférence à l’art du cinéma", et son film semble d'ailleurs être un peu passé sous les radars cannois. . C’est par hasard qu’on s’y est rendu, faute de pouvoir voir Un couteau dans le cœur le jeudi soir : le hasard fait (très) bien les choses. Embarquons ensemble pour l’Asie centrale.

Cannes 2018 : palmarès de la Quinzaine des Réalisateurs

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De tradition, la section parallèle de la Quinzaine des réalisateurs est non compétitive. Pourtant, quelques prix sont remis lors de la soirée de...

Quinzaine 50 : entretien avec Pierre-Henri Deleau – épisode 8, à propos de la...

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Héritière directe de ceux qui voulaient affranchir le cinéma de ses chaînes en 1968, la Quinzaine célèbre cette année sa 50e édition. L'occasion d'une...

Cannes 2018 : The house that Jack built

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Le cinéaste danois fait son grand retour à Cannes après avoir été ostracisé pendant sept ans. Un retour hors compétition, qui dit tout ce qu'il pense de l'humanité avec, entres autres réjouissances, mutilations et infanticides. "Avertissement : certaines scènes ou images violentes peuvent choquer les spectateurs" indiquait le programme quotidien du Festival de Cannes. De la part de Lars Von Trier, on n'en attendait pas moins !

Critique : Solo – A Star Wars Story

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Star Wars (1977) : assis à la table d’un bouge, La Cantina de Mos Esley, sur une planète aux confins de la galaxie, un homme se présente comme le capitaine du vaisseau le plus rapide de la galaxie. Quelques minutes plus tard, il élimine un homme de main un peu trop insistant. En quelques phrases, avec sa dégaine et ses expressions, Han Solo s’impose comme un charismatique contrebandier, avec une « gueule » et du bagout, qui en l’espace d’une trilogie (puis d’un baroud d’honneur trente ans plus tard) devient un des plus célèbres personnages du grand écran, indissociable de son acteur. Drôle d’idée donc, en 2018, de vouloir expliquer les origines de ce simili cow-boy, dans un film sans Harrison Ford. Si les épisodes I, II et III de Star Wars émanaient de la volonté du papa de la trilogie d’étendre son univers en en expliquant les origines, connaître celles de Solo était loin d’être nécessaire. Si seulement c'était son seul défaut ...

Cannes 2018 : palmarès de la Cinéfondation

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Bertrand Bonello a remis la Palme d'or du court-métrage hier soir à l'Australien Charles Williams pour Toutes ces créatures. Son jury, composé des...

Quinzaine 50 – un florilège de 49 années de cinéma en liberté, partie 1...

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Plus d'un millier de longs-métrages ont été programmés en quarante-neuf éditions de la Quinzaine. Nous avons invité divers rédacteurs, critiques et autres amoureux du cinéma à évoquer en quelques lignes des films qui ont marqué l’Histoire de la Quinzaine ou qui les touchent, qui sont devenus de grands classiques du cinéma ou simplement de leur histoire personnelle. Des œuvres qui ont su émouvoir, faire frémir et réfléchir, nous ont poussé à nous interroger sur le sens de la vie et du monde, sur notre rapport aux autres et à nous-mêmes en apportant leur pierre à un renouveau de la grammaire cinématographique ou avec des ambitions formelles plus modestes. Multiplicité de formes et d’expressions, de styles et de propos, pour un voyage purement subjectif dans les 49 premières sélections de la Quinzaine.

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Critique Express : Chronique des années de braise

"Chronique des années de braise" est une somptueuse fresque de près de 3 heures, mélange assumé de conte à caractère intimiste avec le côté parfois un peu naïf que cela peut impliquer et de film à grand spectacle digne des plus grandes productions américaines ou soviétiques.

Test Blu-ray : La Queue du scorpion

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Prenant la forme d’un whodunit des plus classiques, La Queue du scorpion fait preuve d’une finesse absolument remarquable, trompant le spectateur en lui offrant des points d'intrigue supposés « importants » qui s'avèrent en réalité être des fausses pistes destinées à détourner son attention du véritable sujet du film.

Test Blu-ray : Le Tueur à l’orchidée

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Le premier sentiment nous étant venu à l’esprit à la revoyure de ce Tueur à l’orchidée réside dans le sérieux avec lequel Umberto Lenzi y avait fait le choix d’aborder le genre. Le cinéaste prend ici très au sérieux l’enquête concernant l’identité du tueur...

Critique Express : Last stop : Yuma County

Un film qui n'a pas à rougir de la comparaison avec les films de Quentin Tarantino et ceux des frères Coen.

Test Blu-ray : La Maison au fond du parc

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La Maison au fond du parc a été tourné juste après Cannibal Holocaust : les deux films partagent non seulement le même réalisateur, mais aussi le même producteur (Franco Palaggi) et la même équipe technique (Sergio D'Offizi à la photographie, Vincenzo Tomassi au montage et Riz Ortolani à la bande originale).