Berlinale 2016 : Fukushima mon amour
Plutôt méconnue en France, la réalisatrice Doris Dörrie est pourtant depuis plus de trente ans une formidable chroniqueuse de l’Allemagne. Elle est également une invitée fidèle du Festival de Berlin, où elle vient de présenter son dernier film au Panorama avant sa sortie allemande le mois prochain.
Berlinale 2016 : Ours d’or d’honneur à Michael Ballhaus
Le chef opérateur allemand Michael Ballhaus recevra un Ours d’or honorifique lors du prochain festival de Berlin. C’est ce que le directeur du festival Dieter Kosslick a annoncé avant-hier. La cérémonie de remise de l’Ours d’or d’honneur aura lieu le 18 février 2016 au Berlinale Palast.
Berlinale 2016 : Genius
Au secours, ce film nous a complètement bloqués dans notre élan d’écriture ! Est-ce que nos textes sont trop longs ou trop courts ? Faisons-nous trop attention aux tournures de phrase fleuries ou bien rabâchons-nous sans verve des évidences sans aucun intérêt pour le lecteur ?
Berlinale 2016 : le palmarès
Nous l'espérions en annonçant le palmarès 2015, nous l'avons bel et bien fait ce déplacement à Berlin pour couvrir cette 66ème édition et ce...
Berlinale 2016 : les Teddy Awards
Quelques heures avant le palmarès du jury de la compétition officielle présidé par Meryl Streep, nous connaissons déjà celui des Teddy Awards qui fêtait...
Critique : Hedi, un vent de liberté
"Hedi, un vent de liberté", premier long métrage du réalisateur tunisien Mohamed Ben Attia, est une réussite très prometteuse, tant au niveau de la forme que du fond.
Berlinale 2016 : Midnight Special
Jeff Nichols s'est imposé comme l'un des plus grands jeunes cinéastes américains contemporains comme l'ont établi ces trois grands moments de cinéma que furent Shotgun Stories (déjà révélé à Berlin), Mud et surtout Take shelter dont le OK final a durablement marqué les esprits. Il dirige à nouveau son acteur fétiche Michael Shannon et pendant une bonne partie de son nouveau film (l'un des plus attendus de la Berlinale 2016), l'on espère retrouver son talent indéfectible. Hélas, si c'est le cas en terme de mise en scène, sa première incursion dans la science-fiction est une déception.
Berlinale 2016 : Ave César
Quoi de mieux pour démarrer un des plus prestigieux festivals du monde sur les chapeaux de roue qu’un film qui célèbre toutes les facettes du Septième art sous un jour irrévérencieux ? Le nouveau film des frères Coen – qui vient de faire l’ouverture de la 66ème édition de la Berlinale – répond parfaitement à la tâche ardue de ravir les cinéphiles nostalgiques de la grande époque des studios hollywoodiens au début des années 1950, tout en mettant le doigt là où ça fait mal, à savoir dans la nature profondément artificielle et hypocrite de l’usine à rêves.
Berlinale 2016 : Quand on a 17 ans
Téchiné restera toujours Téchiné. Le nouveau film du réalisateur, présenté en compétition au 66ème Festival de Berlin, s’apparente à un magnifique retour en arrière, à un déjà-vu cinématographique dont l’aspect a changé alors que l’essence est restée identique.
Berlinale 2016 : Miles ahead
Il n’existe pas de genre plus usé et ennuyeusement prévisible que la biographie filmique. Le personnage central est né, a accompli des choses exceptionnelles dans le domaine pour lequel il est plus ou moins connu, puis est mort, au choix de façon tragique, ignorée par ses contemporains ou honorable, à la hauteur de la réputation qui lui a valu qu’une production d’envergure lui soit consacrée.
Berlinale 2016 : While the women are sleeping
Gros coup de fatigue à mi-chemin de notre présence au 66ème Festival de Berlin ! Le film qui a fait les frais de cette lutte acharnée contre le sommeil aurait sans doute mérité mieux qu’un degré de concentration amoindri. En même temps, nous ne sommes pas sûrs qu’il y avait beaucoup à comprendre ou à saisir dans ce conte japonais sur une obsession qui tourne rapidement en rond.
Berlinale 2016 : La Route d’Istanbul
Visiblement, Rachid Bouchareb n’aime pas coller trop près à l’actualité. Bien que plusieurs de ses films traitent d’un sujet brûlant, le réalisateur trouve régulièrement une façon indirecte de se l’approprier. Nous pensons notamment à London River, où les séquelles des attentats terroristes dans la capitale anglaise étaient évoquées par le biais d’une mère en deuil.



















