Critique : The last tree
Grâce, en particulier, à la beauté des images et à la tension qui se dégage tout au long du film, "The last tree" arrive à surprendre le spectateur alors que l'histoire racontée n'est pas vraiment une nouveauté dans l'histoire du cinéma. A coup sûr, Shola Amoo est un réalisateur à suivre dans le futur.
Critique : Sous les jupes des filles
La nouvelle plaie du cinéma français ? Ces comédies de femmes faussement décalées mais qui se révèlent aussi bêtes que leurs équivalents au masculin. Pourquoi sont-elles autorisées à encombrer nos écrans qui n’ont pourtant rien fait de mal ?
Critique : Le défi du champion
"Le défi du champion" a tout pour devenir la bonne surprise cinématographique de l'été !
Seul contre tous, Gaspard Noé
Seul contre tous est le premier film de Gaspar Noé, sorti en salle en 1998. Un film coup de poing qui a énormément divisé la critique. A tel point que bon nombre de magazines tels que Première ou Studio ont publié l’opinion de 2 critiques afin d’être plus justes, un procédé extrêmement rare dans le monde des critiques de cinéma. Seul contre tous a reçu le prix de la semaine de la critique au festival de Cannes en 1998. Un film à part qui reste encore aujourd’hui une œuvre dérangeante et très sombre.
Critique : Cent mille dollars au soleil
Ah, les films du tandem Michel Audiard / Henri Verneuil, l’un au scénario, l’autre à la mise en scène, c’est toute une époque ! C’est également tout un état d’esprit, qui se caractérise par des écarts du politiquement correct comme le sexisme, le racisme et l’homophobie, qui ne passeraient plus aussi impunément aujourd’hui.
Albi 2021 : Illusions perdues
Petite séance de rattrapage pour nous au Festival d'Albi, qui s'attache autant à présenter le meilleur du cinéma francophone en avant-première qu'à donner l'opportunité à son public nombreux de combler ses lacunes en termes de films récemment distribués.
Critique Express : Hit the road
c'est un euphémisme d'affirmer que le "Hit the road" de Panah Panahi est loin, très loin d'avoir les qualités des films de Jafar Panahi, son père.
Critique : Local Hero
Mis en musique par Mark Knopfler, réalisé par l'humaniste Bill Forsyth et avec Burt Lancaster en tête de proue d'un casting atypique, « Local Hero », film de 1983, respire l’Écosse. Contant l'histoire simple d'un américain au patronyme scots (en réalité descendant d'immigrés hongrois) envoyé par une compagnie pétrolière auprès d'une communauté reculée du nord de l'Alba, ce long-métrage distille un discours à la fois écologiste et naïf, d'une honnêteté précieuse.
Critique : Si le vent tombe
Même si le film souffre parfois de quelques longueurs, "Si le vent tombe" n'en a pas moins une importance de type historique en étant le reflet réaliste d'une situation qui a cessé d'exister peu après qu'il ait été tourné.
A mort l’arbitre
L'arbitre Maurice Bruno siffle un penalty faisant perdre l'équipe locale. Consternation des supporters du cru. De chantages en traque effrénée, l'embrasement collectif et aveugle déferle sur la ville.
Le Sang des Templiers
Pour son troisième film, le réalisateur Jonathan English (Nailing Vienna et Minotaur) revient à l'écran avec un film historique (qui prend pas mal de liberté sur l'histoire d'ailleurs). Le Sang des Templiers souffre d'un budget très limité : 25 millions de dollars seulement mais dispose d'une bonne dose d'action et d'idées à revendre. Cela suffira-t-il à faire du Sang des Templiers un bon film ?
Critique : Fargo
Les frères Coen sont des maîtres de la création d’univers décalés. A chaque nouveau film, ils excellent dans l’esprit de dérision, cumulant des éléments à première vue bénins jusqu’à ce qu’il ne reste plus qu’un humour très noir. Leurs œuvres les plus abouties sont soit celles qui poussent la surenchère des gags au comble de l’absurdité, soit celles qui savent garder les pieds sur terre, en aménageant justement un arrière-plan tragique, propre à la vie courante, au spectacle au ton mordant dont ils détiennent le secret.



















