Critique : Lost River (pour)
Ryan Gosling est de retour à Cannes ! Mais cette fois, les fans hystériques risquent d'être déçus car la belle gueule du cinéma US ne vient pas présenter un film dans lequel il apparaît à l'écran mais bien sa première réalisation dans le cadre de la sélection "Un Certain Regard".
Madagascar
Quand DreamWorks fait échapper quatre improbables animaux du Zoo de Central Park, ça n’est pas pour une balade de santé… Bienvenue à Madagascar !
Critique : A Horrible Way to Die
A même pas tente ans, le réalisateur nord-américain Adam Wingard a déjà la réputation d’innover le cinéma de genre horreur (Homme Sick, Pop Skull). A horrible way to die le prouve.
Critique Express : Saint Omer
Film sur notre rapport à la maternité et sur les rapports mère-fille, "Saint Omer" continue également, dans l'esprit de la réalisatrice, de creuser la veine de ses films précédents, tous des documentaires : "Offrir au corps noir la possibilité de dire l'universel"
Critique : Les voleurs de chevaux
Ce western contemplatif possède une grâce indéfinissable et, presque tout du long, il distille une grande tension en se servant d'un atout très rare : l'absence presque totale de musique.
Critique : Patients
Sur un sujet difficile, Grand Corps Malade et Mehdi Idir proposent un film très réussi, un film qui montre l'inextinguible soif de vivre de jeunes individus aux corps abimés, la patience et le courage qu'il faut à ces êtres pour arriver à renaître petit à petit.
Berlinale 2019 : L’Adieu à la nuit
Et si André Téchiné était venu sauver avec panache une sélection berlinoise plutôt mitigée cette année … ? Mauvaise blague à part, on aurait tant aimé que ce réalisateur à l'immense sensibilité nous subjugue à nouveau, comme il avait su le faire avec son film précédent présenté au Festival de Berlin, Quand on a 17 ans en compétition il y a deux ans.
Critique : Cowboys & Envahisseurs
Plutôt que de rempiler pour Iron Man 3 et de perdre encore un peu plus de liberté que dans le volet précédant, Jon Favreau (Iron Man 1 & 2...) a choisi de s'engager pour Cowboys & Envahisseurs, une adaptation d'un roman graphique à succès de Scott Mitchell Rosenberg.
Critique : Free fire
L'influence de Quentin Tarantino plane sans l'ombre d'un doute sur le sixième film de Ben Wheatley. Ce qui n'est en soi ni un reproche, ni un lien de filiation insurmontable. En effet, le réalisateur américain le plus emblématique de ces vingt dernières années se voit d'abord lui-même comme un passeur, comme le plus grand fan du cinéma de genre d'une époque révolue, qui s'emploie avant tout à transmettre cette cinéphilie de niche, devenue populaire grâce à lui.
Vu sur OCS : Les Galettes de Pont-Aven
Que faire quand les cinémas sont fermés dans tout le pays à cause du confinement et quand on a néanmoins envie de préserver un semblant de pratique cinématographique ? Eh bien, faute de choix, on se rabat sur les services de vidéo en ligne.
Critique : En fanfare
Un film très réussi dans lequel on a parfaitement le droit de passer du rire aux larmes et vice-versa
God Bless America
Seul, sans boulot, gravement malade, Frank sombre dans la spirale infernale d’une Amérique déshumanisée et cruelle. N’ayant plus rien à perdre, il prend son flingue et assassine les personnes les plus viles et stupides qui croisent son chemin. Bientôt rejoint par Roxy, lycéenne révoltée et complice des plus improbables, c’est le début d’une équipée sauvage, sanglante et grandguignolesque sur les routes de la bêtise made in USA.



















