Conviction
Conviction est un film de Tony Goldwyn (à qui l'on doit les 2 premières saisons de Dexter) réalisé en 2010. Le film raconte une fois de plus une histoire vraie qui s'est déroulée en 1983. Notons qu'à l'origine, c'est Naomi Watts qui devait tenir le rôle principal, mais pour des questions de planning elle a cédé sa place à Hilary Swank.
Critique : Tragedy Girls – Festival de Gérardmer 2018
Deux adolescentes fascinées par la mort décident de kidnapper un tueur en série pour qu’il leur enseigne les « ficelles du métier ». Le début d’une vague de crimes qui va transformer ce duo de lycéennes mal dans leur peau en véritables stars des réseaux sociaux...
Critique : Vers la bataille
On se plaint et on se plaint encore, au fur et à mesure que le frein qui nous prive de certaines de nos libertés tarde à être relâché, un modeste allègement de confinement à la fois. Pourtant, en dépit de comparaisons historiques absolument ahurissantes qui voudraient nous faire croire le contraire, ce n'est quand même pas la guerre !
Critique : Mon héros (court-métrage)
Avec Mon héros, Sylvain Desclous change de registre après le plus mélancolique Le Monde à l’envers avec Myriam Boyer et Vincent Macaigne et signe une comédie rafraîchissante et fraternelle.
Incendiary
Après Le Journal de Bridget Jones, Sharon Maguire s'attaque à un long-métrage dramatique : Incendiary. Réalisé en 2008, le film possède de bons éléments (bon casting, bonne intrigue) pour frôler le succès, malheureusement la sauce ne prend pas.
Critique : The Disaster Artist
Quand on pense au terme « film culte », on peut penser à des succès adoubés dès leur sortie par les critiques et le public – Chantons sous la pluie par exemple. Le plus souvent cependant, le terme « culte » est associé à ces films qui sont passés presque inaperçus à leur sortie, et qui se sont construits une réputation au fil des années: Blade Runner par exemple, dont l’aura n’a cessé de grandir depuis sa sortie (et ses multiples versions). The Room, de Tommy Wiseau, ne partage rien de ces films « respectables » hormis le statut, justement, de film culte. Considéré comme un turbo-nanar dès sa sortie, il est devenu un de ces objets filmiques non identifiés, allant jusqu’à acquérir le titre, abusif bien entendu, de « pire film de tous les temps ». Un titre qu’il dispute avec un autre nanar culte, Plan 9 from outer space, lui aussi érigé en « pire film de tous les temps », et issu d’un personnage tout aussi haut en couleur que le papa de The Room : Ed Wood. Et comme ce dernier, Tommy Wiseau a maintenant droit à son propre film, érigé à sa gloire : The Disaster Artist.
Little Miss Sunshine
Little Miss Sunshine est le premier long-métrage du couple Jonathan Dayton/Valerie Faris, sorti en 2006. Le film a été achevé un peu plus tard que prévu, puisqu’il a fallut 5 ans à la production pour obtenir de budget nécessaire, bien que celle-ci fut emballée dès le départ par le scénario. Elle avait vu juste, puisque Little Miss Sunshine rencontra en effet un immense succès auprès des critiques et du public.
La Roche-sur-Yon 2018 : Silvio et les autres
Ce n'est pas un règlement de compte baroque comme l'a été le magistral Il divo et ce n'est pas non plus un pamphlet provocateur. En tout cas dans sa version internationale quelque peu tronquée, Silvio et les autres nous a laissés passablement perplexes quant à son positionnement par rapport à cette figure mythique des temps modernes que Silvio Berlusconi reste en Italie, voire en Europe.
FourmiZ
Deuxième film d’animation entièrement réalisé en images de synthèse et premier d’une longue liste produit par DreamWorks, FourmiZ possède ce que l’on attendait depuis des lustres dans le genre : de l’intelligence. Une œuvre majeure encore aujourd’hui référentielle.
Anna Karenine
Malgré tous ses efforts pour résister, Anna Karenine va succomber a la passion que lui voue le futur époux de sa sœur, l'officier Alexei Vronski. Le mari d'Anna s’aperçoit de sa liaison et menace de divorcer. Anna rompt, mais ne peut supporter la vie sans son amant. Ils partent a Venise, mais vite nostalgique de leur pays ils retournent a Moscou et Anna se rend compte que Vronski se détache d'elle.
Vu sur OCS : Je vais mieux
Une maladie comme signe révélateur d'un malaise plus profond, le thème de Je vais mieux résonne particulièrement en ces temps d'épidémie et de confinement, où l'âme d'un peuple, voire celle de l'humanité tout entière se révèle à elle-même.
Ondine
Ondine est un long-métrage de Neil Jordan (Entretien avec un vampire, La Compagnie des loups) sorti en 2010. Le réalisateur irlandais souhaitait à nouveau tourner un film dans son pays natal et a choisi Colin Farrell, irlandais d'origine également, pour interpréter le rôle principal. L'acteur a d'ailleurs remporté le Prix du Meilleur Acteur aux Irish Film and Television Awards.


















