Critique : Youssef Salem a du succès
Ce film n'est que le deuxième long métrage de Baya Kasmi en tant que réalisatrice mais on la connait bien pour ses activités de scénariste que ce soit sur des films de Thomas Litli et, surtout de Michel Leclerc, son compagnon dans la vie et coscénariste de "Youssef Salem a du succès". On ne peut donc pas s'étonner de retrouver dans ce film l'intelligence comique dont faisait preuve "Le nom des gens" !
Triple Alliance
Nick Cassavetes passe à la comédie avec ce récit d'une vengeance au féminin, avec Cameron Diaz et Leslie Mann folles de rage contre le Casanova de pacotille qui s'est moqué d'elles...
All she can
Présenté en compétition au Festival de Deauville 2011, All she can est le premier film produit et réalisé par Amy Wendel (et son mari). Une histoire sportive peu banale sur un sujet de fond pourtant traité maintes fois font de ce film une belle représentation du nouveau rêve américain...
Critique Express : Soutien de famille
Lorsqu'on aborde le film, on est en droit de se demander ce qu'on va bien y trouver, quels éléments vont nous permettre de maintenir à flot notre intérêt pour ce qui s'apparente à un pari stupide lancé par deux hurluberlus. La vérité est que, très vite, on s'attache à l'histoire qu'on nous raconte.
Critique : Ibrahim
Malgré le fait qu'on avait failli l'écraser en vélo un jour du côté de Ménilmontant, nous avons toujours éprouvé une certaine affection pour Samir Guesmi. Depuis près de trente ans, cet acteur trop discret enrichit le cinéma français de ses personnages à la silhouette élancée, au regard un peu hagard et à la voix grave et douce.
Tout ce qui brille
Tout ce qui brille est le premier film de Géraldine Nakache et Hervé Mimran, deux novices en la matière. Une comédie française légère sur une amitié fusionnelle déchirée par des rêves de gloire. En effet, deux amies issues de la banlieue parisienne recherchent à tout prix à changer de vie.
Viva la libertà
Enrico Oliveri, secrétaire général du parti de l’opposition est inquiet : les sondages le donnent perdant. Un soir, il disparaît brusquement laissant une note laconique. C’est la panique au sein du parti, tout le monde s’interroge pour essayer de comprendre les raisons de sa fuite pendant que son conseiller Andrea Bottini et sa femme Anna se creusent la tête pour trouver une solution. C’est Anna qui évoque en premier le nom du frère jumeau du secrétaire général, Giovanni Ernani, un philosophe de génie, atteint de dépression bipolaire. Andrea décide de le rencontrer et élabore un plan dangereux…
Critique : Le Monde de Dory
Le Monde de Nemo est sorti en 2003. 13 ans déjà donc. Pour toute une génération, devenue adulte aujourd’hui, Nemo est un souvenir fort de leur enfance. Quel plus grand plaisir que de retrouver treize ans après les mêmes personnages ? C’est sans doute avec cet argument stratégique que Pixar offre aux spectateurs une suite dans l’optique de réaliser les mêmes bénéfices, Le Monde de Nemo ayant réuni, rien qu’en France, quelques 9 311 689 entrées…Cette fois-ci, c’est moins Nemo et son papa Marin que nous suivons que Dory et son «monde» à elle…
Stake Land
Les États-Unis sont devenus des terres de désolation. Une infestation massive de vampires putrides a plongé le pays dans un fondamentalisme sectaire tout aussi ravageur. Ce triple danger qui guette en permanence les protagonistes de Stake Land dépeint le traditionnel triptyque du film post apocalyptique : une poignée de survivants évoluant dans le chaos de la civilisation, en proie à l’extinction de l’espèce humaine et à la folie des hommes.
Critique : Les Chevaliers du Zodiaque La Légende du Sanctuaire
De l’animation japonaise, c’est de préférence le versant poétique, marque de fabrique des studios Ghibli, qui nous intéresse. Tout ce qui touche aux contes fantastiques de héros invincibles nous laisse par contre la plupart du temps de marbre, à moins que ce soit un réalisateur visionnaire de la trempe d’un Mamoru Oshii qui s’y colle. Dans ces univers clos sur eux-mêmes, les problèmes récurrents du pendant hollywoodien des films de super-héros sont invariablement accentués, à savoir un modèle de conflits mythiques et manichéens qui sont résolus sans exception de la même façon. Ce n’est certainement pas un film comme Les Chevaliers du Zodiaque La Légende du Sanctuaire – nous nous engageons à ne plus citer ce titre français à dormir debout, promis juré ! – qui nous fera changer d’avis, faute d’une approche susceptible de viser plus haut qu’un enchaînement tonitruant, mais atrocement vain, de combats spectaculaires.
Critique : Cette sacrée vérité
S'il y a bien un genre qui définit à la perfection le cinéma hollywoodien des années 1930, c'est la comédie de mœurs pétillante, appelée en version originale « screwball comedy » par nos cousins d'outre-Atlantique. Tout n'y est que divertissement léger, truffé de vannes cinglantes et de rebondissements compromettants.
Critique : Victoria
On retrouve dans "Victoria" beaucoup de points communs avec" La Bataille de Solférino", bien que le contexte soit très différent. Toutefois, la réalisatrice a bénéficié cette fois ci de davantage de moyens et, malheureusement, cela se voit : moins de fraîcheur, moins de spontanéité.