Critique Express : My name is Gulpilil
Le 29 novembre 2021, un grand Monsieur du cinéma nous a quittés mais dire que l'information à ce sujet dans notre pays a été faible est un euphémisme. Heureusement, il y a ce film !
Critique : Inception
Inception est le film le plus attendu de l’été 2010. Il s'agit d'une grosse machine surfant sur le succès de Christopher Nolan, nouvelle coqueluche d’Hollywood, qui endosse le rôle de réalisateur, producteur et scénariste.
Critique : Prisoners
Dans la banlieue de Boston, deux fillettes de 6 ans, Anna et Joy, ont disparu. Le détective Loki privilégie la thèse du kidnapping suite au témoignage de Keller, le père d’Anna. Le suspect numéro 1 est rapidement arrêté mais est relâché quelques jours plus tard faute de preuve, entrainant la fureur de Keller. Aveuglé par sa douleur, le père dévasté se lance alors dans une course contre la montre pour retrouver les enfants disparus. De son côté, Loki essaie de trouver des indices pour arrêter le coupable avant que Keller ne commette l’irréparable… Les jours passent et les chances de retrouver les fillettes s’amenuisent…
Critique : Moi Capitaine
Voilà un film, "Moi Capitaine", qui réussit l'exploit d'être à la fois important et décevant.
L’Ange des maudits
Bien sur c’est un western, et un western des années 50 qui plus est, avec ses shérifs, ses chevaux, ses saloons et son ranch, un genre définitivement passé de mode aujourd’hui – malgré quelques tentatives – et qui me lasse moi-même profondément depuis longtemps. Bien sur c'est une histoire de haine, de vengeance et de meurtre telle que les affectionnait Fritz Lang.
Critique : Tant que le soleil frappe
"Tant que le soleil frappe" dresse un beau portrait d'un homme qui veut aller jusqu'au bout de son idée, qui ne renonce pas quel que soit le prix à payer.
4h44 Dernier jour sur Terre (contre)
Il y a des films qui n'auraient jamais du être réalisés. Le dernier d'Abel Ferrara, le metteur en scène déjà habitué à la controverse et au rejet de ses longs métrages de la part du public et de la critique, en fait partie. Courage, fuyons...
Critique : Hunger Games – La Révolte : partie 2
Autant être direct, l’épisode censé clôturer la saga Hunger Games n’a pas vraiment atteint sa cible. Le film peine à nous convaincre pour de multiples raisons et finit par un climax très anecdotique. Mais pourquoi le Geai moqueur est-il devenu un Geai moqué ? Avec beaucoup de mauvais jeux de mots, je vous propose mon avis sur la question. Veuillez noter que mon avis ne s’attache qu’aux films de la série et non aux livres.
Critique : Cheval de guerre
À la veille de la Première Guerre mondiale, le jeune Albert mène une existence paisible dans une ferme anglaise avec son cheval, Joey, qu'il adore. Mais le père d'Albert décide de vendre Joey à la cavalerie britannique, et le cheval se retrouve bientôt sur le front français. L'animal entame alors une extraordinaire aventure en plein conflit. En dépit des obstacles qu'il rencontre à chaque pas, Joey va changer la vie de ceux dont il croise la route. Incapable d'oublier son ami, Albert quitte la ferme et rejoint à son tour le champ de bataille dans l'espoir de retrouver son cheval et de le ramener chez lui.
Critique : United States of Love
Loin des regards du grand public, le cinéma polonais se porte plutôt bien ces derniers temps. Avant le film testament de Andrzej Wajda, passé au Festival de Toronto et distribué en France il y a un mois, et la nouvelle œuvre de Agnieszka Holland, qui a été récompensée en février dernier au Festival de Berlin par un prix assez étonnant pour son innovation formelle, United States of Love avait déjà conquis le jury de la Berlinale en 2016, ayant remporté alors le prix du Meilleur scénario.
Critique : R.M.N.
A partir d'une histoire qui se déroule dans une région isolée de la Roumanie, Cristian Mungiu embrasse un sujet malheureusement universel, le rejet de l'autre, le rejet de celui que l'on ne connait pas, le rejet de celui qui vient d'ailleurs.
Critique : Ma vie Ma gueule
On retrouve dans ce film le goût pour l'autodérision et le côté décalé, à la fois drôle, instable et hypersensible, deux des
facettes qui ont toujours été la marque de fabrique de Sophie Fillières.



















