Critique : Top Gun 3D

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Peu de films définissent autant l’état d’esprit et l’esthétique cinématographique des années 1980 que Top Gun. Sorti en plein milieu d’une décennie perçue depuis un point de vue rétrospectif comme creuse et ringarde, cette propagande nullement voilée pour l’armée américaine cumule les aspects excessifs de l’époque sans jamais les maîtriser.
Battleship combat Transformers Rihanna

Battleship

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Océan Pacifique… Au large d’Hawaï, l’US Navy déploie toute sa puissance. Mais bientôt, une forme étrange et menaçante émerge à la surface des eaux, suivie par des dizaines d’autres dotées d’une puissance de destruction inimaginable. Qui sont-ils ? Que faisaient-ils, cachés depuis si longtemps au fond de l’océan ? A bord de l’USS John Paul Jones, le jeune officier Hopper, l’Amiral Shane, le sous-officier Raikes vont découvrir que l’océan n’est pas toujours aussi pacifique qu’il y paraît. La bataille pour sauver notre planète débute en mer

La Roche-sur-Yon 2018 : Time Trial

Que se passera-t-il, une fois qu'on aura accompli ses rêves ? Au cinéma, la réponse à cette question existentielle par excellence est invariablement le générique de fin. Mais dans la vraie vie ? Le rêve du cycliste David Millar a été de concourir ne serait-ce qu'une seule fois au Tour de France. En 2014, sa carrière professionnelle s'est achevée sans qu'il ait été retenu pour le treizième Tour de sa carrière.

Critique : Infectés

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Dans le cadre du cycle Contamination, le Forum des Images propose de revoir ce mercredi 17 décembre ce film d'horreur un brin nihiliste, angoissant, avec un scénario redoutablement efficace.

Vu sur le Vidéo Club Carlotta : L’Homme aux cent visages

Comme on dit dans le milieu des acteurs, rien n'est plus difficile que la comédie. Et quel exploit plus ardu encore que d'interpréter un mauvais comique ! C'est pourtant dans cet exercice hautement acrobatique que Vittorio Gassman excelle dans L'Homme aux cent visages.

Berlinale 2018 : Paranoïa

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Le cinéma commercial de ce siècle est dominé par les épopées de super-héros, les films d'horreur et autres thrillers, ainsi que dans une moindre mesure, puisque plus tributaires des spécificités locales, de comédies. En gros, pour faire fructifier au mieux l'argent investi dans la production cinématographique, il convient de se tourner vers ces genres désormais tellement balisés, que la probabilité de l'échec cuisant s'amenuise d'année en année.
Cornouaille

Cornouaille

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Odile quitte Paris pour aller s’occuper de vendre une maison dont elle vient d’hériter en Bretagne. Arrivé sur place, les démons du passé resurgissent, se mêlant insidieusement à ceux du présent qu’incarne son amant dont elle apprend qu’elle est enceinte.

Critique : Les 2 Alfred

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De quoi l'avenir sera-t-il fait ? Nul ne le sait, bien évidemment. Cependant, l'impression peu agréable ne nous quitte plus en ces temps de crise sanitaire qu'on perd de vue les enjeux à long terme, que la parenthèse du coronavirus suspend toutes les autres évolutions, en bien ou en mal, de notre société.

House of Last Things

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Alan, un critique de musique classique à succès, et son épouse Sarah, une femme encore secouée par un traumatisme passé, décident de quitter leur spacieuse demeure de Portland pour passer des vacances en Italie. Alan fait garder leur maison par Kelly, bientôt rejointe par son frère cadet Tim et son petit ami Jesse. Un jour, Jesse kidnappe Adam, un enfant de huit ans, dans un supermarché. Mais Adam n’est pas celui qu’il semble être. Personne n’est à sa recherche, et il semble exercer un étrange pouvoir sur les occupants de la maison.

Critique : Gaz de France

Il y avait la place pour quelque chose de plus déjanté, pour un film s'inspirant, par exemple, du "nonsense" britannique à la Monty Python. Dommage : on est passé à côté et le film n'arrive que rarement à décoller !

Critique : Le Secret de la momie

L'autre film de la séance cinéma bis du 17 avril 2015, Le Secret de la Momie (O Segredo da mumia), est le premier long-métrage de Ivan Cardoso, le réalisateur à l'honneur lors de cette nouvelle soirée déviante. Cette autre expérience de terrir (terreur + rire selon l'appellation de son auteur) se révèle encore moins convaincante que ses Sept Vampires, un chiffre trompeur au passage, un fait important non dénoncé dans ma critique à découvrir ici, si le cœur (saignant) vous en dit.

Critique : Rêves de jeunesse

A la vision de "Rêves de jeunesse", on se prend à espérer que Alain Raoust n'aura pas à attendre 12 ans pour tourner son prochain film !

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Critique : Première affaire

Une belle réussite pour un premier long métrage.

Critique : Ici et là-bas (Ludovic Bernard)

D'un point de vue politique, la Françafrique peut être considérée comme moribonde. A moins que cette construction post-coloniale n'existe plus que dans la tête de politiciens et autres décideurs français, atteints du syndrome pernicieux de la nostalgie d'une époque clairement révolue. Au cinéma, elle risque d'avoir encore de beaux jours devant elle, si l'on se réfère à des films en apparence aussi inoffensifs que Ici et là-bas.

Test Blu-ray : Winter Break

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Techniquement au taquet, le Blu-ray de Winter Break édité par Universal Pictures rend pleinement justice à la sensibilité aigre-douce du film d'Alexander Payne autant qu’à sa très belle photo, signée Eigil Bryld.

Cannes 2024 : compléments de sélection

Même si sa stratégie de communication ne s'étire pas aussi vicieusement en longueur que celle de la concurrence berlinoise, le Festival de Cannes aime bien annoncer sa sélection officielle en plusieurs étapes. Ainsi, ce ne sont pas moins de treize titres qui y ont été ajoutés ce jour par voie de communiqué de presse, après la présentation principale d'il y a une dizaine de jours à l'UGC Normandie à Paris.

Critique : Le Mal n’existe pas

Le Mal n'existe pas JAPON, 2024Réalisateur: Ryuzuke HamaguchiScénario : Ryuzuke HamaguchiActeurs: Hitoshi Homika, Ryo Nishikawa, Ryuji KosakaDistributeur : Diaphana distributionGenre : DrameDurée : 1h46Date de...