Impardonnables de André Téchiné, photos du film

Impardonnables

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Impardonnable, André Téchiné l’aurait été de ne pas nous offrir ce nouveau film.

Critique : Mon XXe siècle

Lauréat de la Caméra d'or à Cannes en 1989, Mon XXe siècle est un de ces films qu'on avait pu oublier, alors qu'il est considéré par les spécialistes du cinéma hongrois comme un des meilleurs de la cinématographie du pays. La ressortie en salle, version restaurée à l'appui, de ce premier film de Ildikó Enyedi, réalisatrice du récent Corps et âme, est l'occasion de découvrir un long-métrage surprenant, à la fois comédie burlesque et poème visuel empreint de liberté.
Image de Main basse sur la ville de Francesco Rosi

Critique : Main basse sur la ville (autre avis)

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Le film de Francesco Rosi s'inscrit dans la lignée du cinéma politique italien engagé des années 60-70.

Critique : Le collier rouge

"Le collier rouge" ne révolutionnera pas l'histoire du cinéma mais ce film a le mérite de mettre l'accent sur des scènes de fraternisation entre soldats ennemis durant la guerre de 14 et de dénoncer les puissants et les profiteurs à l'origine de cette guerre.

Critique : Kóblic

Avec Kóblic, Sebastián Borensztein apporte la preuve qu'il peut se montrer tout aussi à l'aise dans le drame que dans la comédie douce-amère.

Critique : Taken 3

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Le der des ders nous promet l'affiche de ce troisième volet d'une franchise qui fit de Liam Neeson une star de films d'action improbable a priori mais devenu comme une évidence dans ce registre depuis...

Critique : Les Temps modernes

« Le génie éternel », c'est ainsi que le distributeur de l'énième ressortie des films de Charles Chaplin qualifie ce dernier. Et au delà de toute intention publicitaire, il y a quelque chose de profondément vrai dans ce nom dithyrambique. Car on a beau avoir vu et revu des dizaines de fois les chefs-d'œuvre de Charlot, on ne s'en lasse pas !

Critique : Yao

Face à un certain nombre de qualités indéniables, on ne peut que regretter la réalisation trop souvent amorphe de ce road-movie tourné de façon chronologique.
Le Prince d'Egypte de Steve Hickner, Simon Wells, Brenda Chapman

Le Prince d’Egypte

Un gros film d’animation hollywoodien sérieux traitant de la Bible, c’est audacieux. En fait une merveille, c’est autre chose. Pari à moitié réussi pour le premier dessin animé de DreamWorks…

Critique : Life – Origine Inconnue

C’était un peu sur la réserve que l’on se préparait à aller voir ce nouveau métrage de Daniel Espinosa, cinéaste suédois guère réputé pour sa subtilité. Après deux longs inédits en France, nous l’avions découvert en 2011 avec Easy money, énième resucée d’un genre (le polar du nord à la Pusher) qui a ses défenseurs, mais a fini par tourner en rond à force de ne prendre aucun risque. Depuis, il n’avait pas eu l’occasion de se racheter une conduite, oscillant entre aimable série B décomplexée mais sans génie avec Sécurité rapprochée et grand ratage avec Enfant 44. Avec la sortie prochaine de Alien : Covenant, ce film semblait en plus bien mal parti pour rencontrer un quelconque succès, sa bande annonce donnant l’impression d’une série B de SF horrifique comme on en a vu des dizaines, ne se démarquant en rien des plagiats de la saga initiée par Sir Ridley Scott. Comme il n’y a rien de meilleur que de se laisser agréablement surprendre par un film dont on n’attendait rien, reconnaissons avec grand plaisir la belle surprise que constitue ce film qui, contre toute attente, place la barre haut pour le prochain Alien …

Critique : L’Idiot

La Russie va mal. Il n’y en a pas à douter, si l’on se fie exclusivement à l’information émise depuis le point de vue occidental, qui voit depuis toujours en l’empire de l’Est un ennemi potentiel. Et encore, dans le mitraillage de reportages sur les frasques du président Poutine et ses élans belliqueux à l’étranger, le sort de la population ordinaire passe souvent à l’arrière-plan, où les stéréotypes sur les mémés nostalgiques de l’époque soviétique et les nouveaux riches sans scrupules ont bon dos.

Critique : Winter’s bone

C’est ainsi que tout a commencé … Il y a cinq ans, l’actrice Jennifer Lawrence était encore largement inconnue. Elle avait certes tenu un second rôle dans Loin de la terre brûlée de Guillermo Arriaga en 2009, mais rien ne laissait alors présager qu’elle allait devenir dans si peu de temps la reine du box-office, grâce aux univers de Hunger games et des X-men, ainsi que la reine des Oscars à travers sa collaboration avec le réalisateur David O. Russell.

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Critique : La Vie s’écoule silencieusement

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En dépit de son titre joliment poétique, la vie n’est guère un long fleuve tranquille ni au sein du récit de ce film bulgare, ni au niveau de son parcours de distribution pour le moins tortueux. En effet, La Vie s’écoule silencieusement fait partie de ces œuvres cinématographiques issues du bloc de l’Est qui ont dû attendre le dégel géopolitique à la fin des années 1980 avant de pouvoir enfin être projetées publiquement.

Test Blu-ray 4K Ultra HD : Y a-t-il un flic pour sauver le monde

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Dans Y a-t-il un flic pour sauver le monde, l’absurde est traité comme une matière première, une sorte de pétrole comique qu’on raffine pour en tirer des gags visuels, des dialogues improbables et des situations qui défient la logique.

Test Blu-ray 4K Ultra HD : Nobody 2

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Dans Nobody 2, la thématique centrale reste celle du poids du passé : Hutch pensait avoir rangé ses armes, mais son passé lui colle à la peau. Le film explore cette idée avec une ironie mordante : on ne se débarrasse jamais vraiment de ses démons, et ici on les recycle en scènes d’action.

Décès du réalisateur Rob Reiner

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Le réalisateur, producteur et acteur américain Rob Reiner est décédé avant-hier à Los Angeles. Il était âgé de 78 ans. Le corps de Reiner, ainsi que celui de son épouse Michele Singer, ont été retrouvés, poignardés, dans leur maison dans le quartier de Brentwood. Hier, leur fils Nick a été inculpé pour ce double meurtre. Connu initialement comme acteur, notamment dans la série à succès « All in the Family », Reiner s’était imposé dès les années ‘80 comme réalisateur.

Test Blu-ray 4K Ultra HD : Vampires – Édition Limitée Cult’Edition

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Vampires n’a pas besoin de se cacher derrière des capes gothiques ou des châteaux poussiéreux pour exister. Ici, le vampire sort du placard et se retrouve projeté en plein désert américain, sous un soleil qui brûle les yeux autant que les peaux.