Conviction
Conviction est un film de Tony Goldwyn (à qui l'on doit les 2 premières saisons de Dexter) réalisé en 2010. Le film raconte une fois de plus une histoire vraie qui s'est déroulée en 1983. Notons qu'à l'origine, c'est Naomi Watts qui devait tenir le rôle principal, mais pour des questions de planning elle a cédé sa place à Hilary Swank.
Critique : The Visit
Le processus de réhabilitation cinématographique n’en est qu’à ses débuts pour M. Night Shyamalan. Après avoir terrifié le monde entier au tournant du siècle, le réalisateur a en effet progressivement dilapidé son capital de sympathie, en enchaînant les bides commerciaux et artistiques.
Kung Fu Nanny
Quand Jackie Chan cachetonne avec Brian Levant, le spectateur peut sortir son oreiller. Après Baby-Sittor, après Maxi Papa, voici une toute nouvelle comédie d’action familiale à déconseiller de toute urgence !
Critique : Sonate pour Roos
Un film qui parle avec beaucoup de dignité d'un sujet difficile.
Albi 2018 : Cornélius Le Meunier hurlant
Une comédie bucolique, un conte pour adultes, un trip chamanique, un western, une tragédie romantique, une énième occasion d'admirer à petites doses le génie fou de Denis Lavant : Cornélius Le Meunier hurlant est tout cela à la fois. Projeté au Festival d'Albi dans le cadre de divers dispositifs pédagogiques, le premier long-métrage de Yann Le Quellec peine malheureusement à s'approprier pleinement ces influences complémentaires, à en faire une œuvre cohérente et unique, plutôt que l'enchaînement cabossé de variations de ton aiguës.
Critique : Un jour dans la vie de Billy Lynn
Si vous voulez voir le nouveau film d'Ang Lee tel qu'il a été tourné et tel qu'il devrait être vu, il vous faudra aller soit jusqu'aux Etats-Unis, soit jusqu'en Chine. En effet, seuls cinq cinémas projettent Un jour dans la vie de Billy Lynn à la fois en 3D, 4k et surtout 120 images par secondes. En France, il faut se résigner à un format classique, 2D et 24 images par seconde, et encore faut-il avoir accès à une des courageuses 22 salles qui le diffuse !
Critique : Envole-moi (Christophe Barratier)
Les bons sentiments coulent à flots dans cette comédie qu'on pourrait croire directement, quoique tardivement, inspirée du phénomène Intouchables. Or, tout comme le succès mondial, réalisé en 2011 par Eric Tolédano et Olivier Nakache, avait vu des adaptations locales apparaître dans divers pays, Envole-moi est en fait le remake français d'un film allemand.
Des vents contraires
A l’instar de Mélanie Laurent ou de Matthieu Kassovitz, Jalil Lespert décide une fois n’est pas coutume de passer derrière la caméra pour réaliser Des vents contraires dont il est également le scénariste.
Critique : Gagarine
Il est rare que le cinéma français quitte un réalisme pur et dur pour partir vers un réalisme magique, mélange de poésie et d'onirisme, digne de ce qui se fait beaucoup plus couramment dans les divers cinémas sud-américains. Fanny Liatard et Jérémy Trouilh ont osé procéder à ce pas de côté et on ne peut que s'en féliciter tant la réussite s'est invitée tout au long de ce chemin.
Critique : A bras ouverts
Pourquoi changer une formule qui marche ? Après tout, le public français cherche à se divertir sans trop d'effet de nouveauté, comme le démontre l'audience de plus de six millions de téléspectateurs le week-end dernier lors de l'énième diffusion de La Grande vadrouille de Gérard Oury.
L’Ecume des jours
L’histoire surréelle et poétique d’un jeune homme idéaliste et inventif, Colin, qui rencontre Chloé, une jeune femme semblant être l’incarnation d’un blues de Duke Ellington. Leur mariage idyllique tourne à l’amertume quand Chloé tombe malade d’un nénuphar qui grandit dans son poumon. Pour payer ses soins, dans un Paris fantasmatique, Colin doit travailler dans des conditions de plus en plus absurdes, pendant qu’autour d’eux leur appartement se dégrade et que leur groupe d’amis, dont le talentueux Nicolas, et Chick, fanatique du philosophe Jean-Sol Partre, se délite.
Critique : Tel Aviv on fire
"Tel Aviv on fire" s'avère être une comédie sympathique, basée sur un excellent scénario mais dont la réalisation manque souvent de vitalité