Welcome in Vienna – Partie 3 : Welcome in Vienna
Troisième et dernier volet des films de la trilogie Welcome in Vienna, cet opus d'Alex Corti nous fait vivre le retour en Autriche de Freddy Wolff, autrichien réfugié aux États-Unis et désormais soldat. Retour espéré, retour attendu, retour rêvé, retour du vainqueur dans un pays quitté pour fuir le nazisme.
Critique : La Fin de l’agent W4C par l’intermédiaire du chien de Monsieur Foustka
Alors que la comédie délirante Qui veut tuer Jessie?, un double parfait du Batman des années 60, ressort en salles en version restaurée, le cinéma parisien le Reflet Medicis propose de redécouvrir trois autres films du réalisateur tchécoslovaque Václav Vorlícek, Comment nettoyer le docteur Mracek, Monsieur, vous êtes veuve et ce joyeux pastiche de cinéma d'espionnage qu'est La Fin de l'agent W4C par l'intermédiaire du chien de Monsieur Foustka.
Critique : Le cœur en braille
"Le cœur en braille" donne une peinture très attachante du sentiment amoureux chez les pré-adolescents ainsi qu'une description très émouvante de l'état de désarroi dans lequel se trouve un homme qui n'arrive pas à se consoler de la perte de son épouse.
Critique : Indiana Jones et le cadran de la destinée
Pour certains spectateurs, Indiana Jones et le royaume du crâne de cristal avait d'ores et déjà été l'Indiana Jones de trop. Sorties une vingtaine d'années après la conclusion de la trilogie initiale, ces aventures-là avaient néanmoins su nous séduire par leur extravagance spectaculaire et leur surenchère pleinement assumée.
Les Infidèles
Film à sketches autour de l'infidélité et de l'adultère. Les segments sont signés, entre autres, par Guillaume Canet, Jean Dujardin ou Fred Cavayé.
Critique : Nope
En désormais trois films en tant que réalisateur, Jordan Peele a réussi à se forger une réputation à l'écart de ses origines artistiques de comique potache. L'humour n'est certes pas complètement absent de Get Out, Us et Nope. Mais dans le meilleur des cas, on pourrait interpréter ces histoires effrayantes comme des commentaires satiriques sur la conscience collective des Américains à un moment donné.
Albi 2024 : La Pampa
En fonction de votre degré d'assiduité dans les salles obscures et devant les services de vidéo en ligne, votre parcours personnel de découverte du talent indéniable de l'acteur Sayyid El Alami va forcément varier. Peut-être l'avez-vous remarqué une première fois à partir de mai 2022 dans la mini-série « Oussekine » sur Disney+.
Faust
Au 19ème siècle, dans quelque principauté, nettement avant l’unification allemande, toujours entre deux guerres. Heinrich Faust est médecin comme son père, mais il consacre sa vie à l’étude dans la compagnie de son élève le très exalté Wagner, et non à la pratique. Misérable et famélique, il fait la connaissance de Mauricius, un prêteur sur gages hors d’âge, qui s’avère être une des incarnations du diable. Il entame alors avec lui un mystérieux parcours : philosophique, initiatique ?... Son impuissance à séduire la jeune Margarete que Mauricius a placée sur son chemin le conduira bientôt à conclure un pacte périlleux avec lui.
Critique : Next Door
En réalisant "Next Door", Daniel Brühl poursuivait manifestement trois objectifs : arriver à casser avec délicatesse son image d'éternel gentil, montrer que la réunification de 1990 n'était pas encore complètement digérée, renseigner les spectateurs, sans porter de véritable jugement, sur le phénomène de gentrification qui se déroule dans la capitale allemande.
La Couleur des sentiments
Pour son deuxième long-métrage, Tate Taylor choisit d’aborder au cinéma un thème encore douloureux pour tous les afro-américains : la ségrégation. Pour cela, il choisit d’adapter le best-seller The Help écrit par sa meilleure amie d’enfance, Kathryn Stockett.
La Roche-sur-Yon 2020 : Notturno
Combien de cycles médiatiques sont passés depuis que l'attention mondiale s'est détournée de la situation conflictuelle sur le sol syrien ? Des dizaines, voire des centaines ? Toujours est-il que tellement de choses se sont passées depuis la victoire supposée sur l'état islamique qu'on aurait facilement tendance à oublier que, pour les gens sur place, la guerre continue par d'autres moyens.
Critique : Guibord s’en va-t-en guerre
La politique et ses exécutants, des politiciens sans envergure morale, ni charisme médiatique, ont mauvaise réputation par les temps qui courent. A moins qu’il ne s’agisse d’un souci majeur de la conception même de l’appareil démocratique, qui se base en quelque sorte sur le mécontentement permanent des électeurs avec leurs élus, afin d’assurer à terme une alternance cyclique qui ne mettra jamais sérieusement en question le statu quo.



















