Critique : The Old Oak
Si "The Old Oak" est vraiment le dernier film de Ken Loach, le moment est venu de lui dire un grand merci pour toute son œuvre et qu'il va beaucoup nous manquer !
Critique : Je vais bien ne t’en fais pas
Je vais bien ne t'en fais pas, adapté du roman éponyme d'Olivier Adam, révèle Mélanie Laurent, jeune actrice française qui se fait remarquer grâce à ce premier rôle, lui valant une récompense aux César comme meilleure espoir féminin.
Critique : Primadonna
"Primadonna" est un premier long métrage particulièrement réussi, et la finesse et la délicatesse dont fait preuve la réalisatrice n'empêche pas ce film de dégager une grande force, du début jusqu'à la fin.
Critique : La Loi du marché
Grâce au prix d'interprétation de Vincent Lindon reçu à Cannes, La Loi du Marché a bénéficié d'un important coup de publicité. Une chance, pour le sixième film de Stéphane Brizé, tant il est aux antipodes du film commercial. Dans ma critique, je ferai plusieurs fois références aux frères Dardenne en raison des similitudes entre leur cinéma et le film de Brizé, une comparaison inévitable.
Critique : Revenir
Après "Petit paysan" et "Au nom de la terre", voici un 3ème film de fiction français qui nous parle des problèmes du monde paysan. Même s'il s'agit là d'un sujet parmi d'autres, c'est, des trois, celui qui en parle le mieux.
Flying Fish
Dans Flying fish, les seuls poissons apparents sont en lambeaux, écrasés à coups de pierres au détour d’un chemin, quand ils ne sont pas dépecés au marché. Pas de poisson volant ici, mais des personnages prisonniers de leur destin à travers trois histoires qui s’entremêlent, au point, parfois, de se confondre.
Critique : Nadia, Butterfly
On vous l'a bien caché : les Jeux Olympiques 2020 se sont déroulés tout à fait normalement à Tokyo, à la date prévue. Même que l'équipe du Canada du relais 4 fois 100 mètres 4 nages féminin y a obtenu une médaille de bronze très disputée.
Critique : Police frontière
L'immigration clandestine par la frontière sud avec le Mexique est un éternel casse-tête pour les États-Unis. Comme le montre ce film plutôt poignant du début des années 1980, cette problématique à la fois économique, politique, sociale, voire morale ne date pas d'hier.
Critique Express : Sorry Baby
Une entrée remarquée et remarquable dans la réalisation cinématographique.
Critique : L’Économie du couple
Dans ce quasi huis-clos, grâce à la fluidité des plans séquences et au jeu très naturel des comédien(ne)s, on ne ressent quasiment jamais l'impression d'assister à du théâtre filmé.
Critique : Bébé tigre
Derrière les chiffres froids et impersonnels de l’immigration se cachent souvent des destins personnels bouleversants. Il appartient alors au cinéma de fiction d’en témoigner, de préférence sans misérabilisme, ni chantage émotionnel. Pari réussi pour cette histoire au fond plutôt banale, qui sait néanmoins convaincre par son optimisme mesuré. La face angélique de l’acteur principal, amplement mise en valeur sur l’affiche de Bébé tigre et dans le film lui-même, y est un leurre astucieux pour nous rendre plus accessible le parcours d’un jeune homme, en plusieurs points emblématique de la forme actuelle de l’immigration pour raisons économiques.
Critique : La Verónica
Leonardo Medel arrive à transformer, par des partis pris cinématographiques judicieux, une histoire somme toute banale en œuvre d'une grande originalité, particulièrement réussie. Quant à Mariana Di Girólamo, son interprète principale, elle fait preuve d'un talent exceptionnel tout au long du film.



















