Critique Express : Le royaume
Comment se fait il que ce film, parti sous de si beaux auspices, n'arrive que rarement à réellement convaincre ?
La Roche-sur-Yon 2019 : Martin Eden
L'ascenseur social est assez astucieusement bloqué dans Martin Eden, présenté initialement au Festival de Venise, d'où il est reparti avec la Coupe Volpi du Meilleur acteur pour Luca Marinelli, puis en avant-première immédiate avant sa sortie nationale au Festival de La Roche-sur-Yon.
Critique : Tengo sueños eléctricos
C'est un premier long métrage très prometteur que nous propose Valentina Maurel.
Critique : Un métier sérieux
Pour le fréquenter de manière semi-régulière lors de nos activités associatives, le personnel de l'éducation nationale mérite amplement notre respect, voire notre admiration. Malgré un salaire de misère et le grand écart entre les intérêts divergents des parents et des directives gouvernementales, les profs s'efforcent jour après jour à transmettre un mélange instable de savoir faire et de savoir être aux jeunes générations.
Critique : La femme qui en savait trop
Nader Saeivar tenait à faire ce film en soutien du mouvement "Femme, Vie, Liberté". Il l'a tourné clandestinement avant de quitter l'Iran pour aller s'établir à Berlin.
Critique : Inside Llewyn Davis (Contre)
Inside Llewyn Davis raconte une semaine de la vie d'un jeune chanteur de folk dans l'univers musical de Greenwich Village en 1961. Llewyn Davis est à la croisée des chemins. Alors qu'un hiver rigoureux sévit sur New York, le jeune homme, sa guitare à la main, lutte pour gagner sa vie comme musicien et affronte des obstacles qui semblent insurmontables, à commencer par ceux qu'il se crée lui-même. Il ne survit que grâce à l'aide que lui apportent des amis ou des inconnus, en acceptant n'importe quel petit boulot. Des cafés du Village à un club désert de Chicago, ses mésaventures le conduisent jusqu'à une audition pour le géant de la musique Bud Grossman, avant de retourner là d'où il vient.
Critique : Oppenheimer
Petit à petit, nous perdons espoir de voir un jour Christopher Nolan nous gratifier d'un chef-d'œuvre dont la subtilité de l'expression cinématographique serait à la hauteur de son ambition considérable. Car si nous reconnaissons volontiers une certaine maestria dans ses films, tôt ou tard, ce bel édifice tangue sous le style constamment pompeux du réalisateur.
Critique : Deux soeurs pour un roi
Deux sœurs pour un roi est un long-métrage de Justin Chadwick (The Property, The First Grader) sorti en 2008. Il s'agit d'une adaptation du roman de Philippa Gregory, The Other Boleyn Girl, qui retrace la rivalité entre les sœurs Boleyn pour conquérir le roi Henri VIII au XVIème siècle.
Critique : La Forme de l’Eau
Enfin récompensé par l'Oscar du Meilleur film , Guillermo Del Toro semble avoir convaincu tout le monde avec La Forme de l'Eau. Porté par Sally Hawkins (Elisa), ce film permet un véritable retour aux sources pour le cinéaste mexicain qui n'a pas volé les quatre Oscars (film, réalisateur, musique, décors) reçus pour sa nouvelle production américaine.
Critique : Le cœur en braille
"Le cœur en braille" donne une peinture très attachante du sentiment amoureux chez les pré-adolescents ainsi qu'une description très émouvante de l'état de désarroi dans lequel se trouve un homme qui n'arrive pas à se consoler de la perte de son épouse.
Partir
Partir c'est l'histoire d'une femme (Kristin Scott Thomas) qui, selon l'expression consacrée, a tout pour être heureuse : mari, enfants, maison, argent mais qui s'ennuie profondément dans sa confortable routine quotidienne.
Critique : Music (Deuxième avis)
Si vous commencez à ne plus trouver votre compte dans le cinéma qui nous est proposé de nos jours, si vous avez tendance à le trouver trop souvent formaté, "Music", indéniablement, est fait pour vous.


















