Critique : Une heure de tranquillité
Lors de la tournée de promotion pour cette adaptation d’une pièce de théâtre, ce qui ressortait surtout du discours de l’acteur principal Christian Clavier, c’était la reconnaissance de cette vedette populaire envers son public pour l’année faste qu’elle venait de terminer, grâce au succès considérable de Qu’est-ce qu’on a fait au bon dieu ? de Philippe De Chauveron. On peut alors supposer que ce regard tourné vers le passé était censé hausser le prestige de son projet actuel, qui risquerait sinon de passer inaperçu dans le no man’s land des sorties larguées à la Saint-Sylvestre. Car aussi bref et survolté soit-il, Une heure de tranquillité n’est guère plus qu’une comédie de boulevard dépourvue de signes distinctifs.
Au Fil d’Ariane
3 ans après le superbe Les Neiges du Kilimandjaro, Robert Guédiguian s'offre une sorte de récréation avec Au fil d'Ariane, un film qu'il qualifie lui-même de fantaisie. Pour écrire le scénario, il a choisi de travailler avec un autre marseillais, le dramaturge Serge Valetti, dont certains prétendent qu'il est actuellement l'auteur français contemporain le plus joué dans le monde. Le côté un peu « barré », dans le bon sens du terme, de Valetti n'est sans doute pas étranger au côté décalé du film.
Pirates des Caraïbes 4 : la Fontaine de Jouvence
Aussi attendu que le nom du créateur de la robe de mariée de Kate Middleton, Pirates des Caraïbes : La fontaine de Jouvence avait plutôt intérêt à remplir le cahier des charges...et pourtant, c'est un pari à moitié gagné seulement pour le capitaine Jack Sparrow et sa troupe de joyeux flibustiers.
Critique Express : Les pistolets en plastique
Un film inégal, fait d'une succession de saynètes, certaines particulièrement hilarantes, d'autres d'un niveau plus faible..
50/50
50/50, est une comédie dramatique authentique, réalisée par Jonathan Levine (Wackness). C’est d’abord l’histoire vraie de Will Reiser, qui en signe le scénario. Si le film est centré sur un duo d’acteur inattendu avec l’éclectique Joseph Gordon-Levitt (Mysterious Skin, Inception…) et l’humoriste Seth Gordon (En cloque, mode d’emploi,…)
Au bout du conte
Il était une fois une jeune fille qui croyait au grand amour, aux signes, et au destin ; une femme qui rêvait d’être comédienne et désespérait d’y arriver un jour ; un jeune homme qui croyait en son talent de compositeur mais ne croyait pas beaucoup en lui ; une petite fille qui croyait en Dieu ;un homme qui ne croyait en rien jusqu’au jour où une voyante lui donna la date de sa mort et que, à son corps défendant, il se mit à y croire.
Hommage à Whitney Houston : Les films dans lesquels elle a joué
A la veille des Grammy awards, une star planétaire s’est éteinte. Whitney Houston fut l’une des divas de la soul les plus talentueuses. Possédant...
Vu sur OCS : Tendre poulet
Ça commence comme une comédie romantique au fort accent burlesque. Un homme et une femme se rencontrent, tout à fait par accident, puisque elle, en voiture, a failli le renverser, en mobylette, sur un carrefour dont la circulation était vaguement ordonnée par des feux.
Cannes 2019 : Le Daim (Quinzaine – ouverture)
Film d’ouverture de la 51e édition de la Quinzaine des réalisateurs de Cannes, Le Daim, septième long-métrage de Quentin Dupieux, a conquis le public cannois qui a pu, neuf ans après la projection de Rubber lors de la Semaine de la Critique, apprécier une fois de plus le génie de ce cinéaste à part.our vocation première, voire exclusive, de rapporter beaucoup d’argent, peu importe l’appauvrissement de la diversité du cinéma sous toutes ses formes qu’il accepte volontairement en guise de dommage collatéral
Les saveurs du palais
Après deux ans passés dans les cuisines de l’Elysée, Hortense Laborie débarque sur les terres gelées de l’Antarctique pour faire le vide. Nous suivons ses deux vies diamétralement opposées dont le seul point commun reste sa passion pour l’art culinaire.
Critique : Les Beaux Jours
Des beaux jours ? Caroline, fraîchement retraitée, n’a que ça devant elle : du temps libre et encore du temps libre.
La belle vie ? Pas si simple… Comment alors tout réinventer ?
Transgresser les règles, provoquer de nouvelles rencontres, ou bien simplement remplir son agenda ?
A moins que tout soit déjà là ?...
Critique : Peau de pêche
Dans le cadre d'une rétrospective dédiée au mélodrame français des origines à nos jours, la Cinémathèque Française proposait plusieurs œuvres réalisées en commun par Jean Benoît-Lévy et Marie Epstein (la sœur de Jean) dont cette adaptation d'un roman de Gabriel Maurière, Peau de pêche, une belle découverte, un heureux croisement entre le mélodrame et le conte de fées, avec un sens du feuilleton populaire avec de multiples rebondissements.



















