Un Anglais à New York
Un Anglais à New York est une comédie de Robert B. Weide. Il s'agit du récit autobiographique de Toby Young, un personnage britannique qui a été l'éditeur de plusieurs grands magazines people et qui s'est fait connaître grâce à son arrogance légendaire. Un personnage très célèbre outre manche. Le titre du film et de son livre, How to Lose Friends and Alienate People peut se traduire par "comment se faire des ennemis", ce qui résume bien le personnage.
L’Abominable Vérité
L'Abominable Vérité, de Robert Luketic (Las Vegas 21, La Revanche d'une Blonde...), est une comédie romantique sortie en salles en 2009. Une parmi tant d'autres, oui, mais avec une affiche attirante, aussi bien pour ces dames que pour ces messieurs : Gérard Butler et Katherine Heigl. Duo improbable, mais qui a peut-être fait la différence...
Les Vies privées de Pippa Lee
The Private Lives of Pippa Lee est le troisième long-métrage de Rebecca Miller sorti en 2009. La réalisatrice a fini par tourner un film, après avoir longtemps souhaité donner vie à cette histoire sous forme de roman. Un tournage rapide, puisqu'il n'a fallu qu'un mois et demi pour le réaliser.
Fright Night
Fright Night
USA, Anglais : 2011
Titre original : Fright Night
Réalisateur : Craig Gillespie
Scénario : Marti Noxon
Acteurs : Colin Farrell, Anton Yelchin, David Tennant
Distribution : The...
Critique : Le Grand partage
Toute l’étendue de la ringardise française est passée au crible dans cette comédie faussement engagée. L’indignation sociale face à la crise des mal logés y sert au mieux de prétexte pour une mise à l’épreuve du confort matériel et idéologique d’un microcosme hautement stéréotypé.
Critique : Mi Gran Noche (My Big Night)
Mi Gran Noche, la dernière œuvre d’Alex de la Iglesia, un des plus originaux et inventifs metteurs en scène européens actuels est reléguée à Netflix. Coup de projecteur sur l’un des films les plus drôles que vous devriez ne pas manquer en cet automne 2016.
Critique : Le Trésor
Après le récent L’Étage du dessous, également présenté dans la section Un Certain Regard du Festival de Cannes 2015, voici un nouvel exemple de la vitalité du cinéma roumain, riche en ironie et en surprises.
Arras 2019 : L’Esprit de famille (Eric Besnard)
On ne choisit pas sa famille. On fait tout simplement avec. Et si par hasard le destin redistribue les cartes, mieux vaut saisir l'opportunité, afin de remettre les choses à plat et repartir sur de nouvelles bases.
Critique Express : Les cyclades
Trop d'exagération et de lourdeur !
Friends with Kids
Julie et Jason, meilleurs amis depuis l’université, célibataires et vivant dans le même immeuble de Manhattan, chérissent leur indépendance. Malgré l'exemple chaotique donné par leurs amis devenus parents, ils décident de faire ensemble un enfant, de partager les responsabilités parentales, sans que chacun renonce à sa liberté sentimentale. La «transaction» acceptée, un bébé vient au monde, et tout semble fonctionner. Du moins jusqu'au jour où Jason fait la connaissance d'une danseuse. Se sentant larguée, Julie redouble d'ardeur dans sa recherche de l'âme sœur, qu'elle croit finalement avoir trouvée en la personne d'un séduisant divorcé. Bientôt, les bouleversements sentimentaux mettent en péril l'entente qui lie les deux amis…
Critique : Une belle équipe
Récemment, le basket a beau grignoter un peu sur le terrain de la prédominance du foot, avec notamment le battage médiatique autour du premier match de la NBA en France il y a quelques jours, suivi – triste ironie du sort – par la disparition de l'icône Kobe Bryant, en plus de ses nombreux exploits sur le terrain oscarisé en 2018 dans la catégorie du Meilleur Court-métrage d'animation, notre pays et la plupart de ses voisins européens restent cœur et âme acquis au ballon rond.
Critique : Mon XXe siècle
Lauréat de la Caméra d'or à Cannes en 1989, Mon XXe siècle est un de ces films qu'on avait pu oublier, alors qu'il est considéré par les spécialistes du cinéma hongrois comme un des meilleurs de la cinématographie du pays. La ressortie en salle, version restaurée à l'appui, de ce premier film de Ildikó Enyedi, réalisatrice du récent Corps et âme, est l'occasion de découvrir un long-métrage surprenant, à la fois comédie burlesque et poème visuel empreint de liberté.


















