Warm Bodies
Un mystérieux virus a détruit toute civilisation. Les rescapés vivent dans des bunkers fortifiés, redoutant leurs anciens semblables devenus des monstres dévoreurs de chair. R, un mort-vivant romantique, sauve contre toute attente Julie, une adorable survivante, et la protège de la voracité de ses compagnons. Au fil des jours, la jeune femme réveille chez lui des sentiments oubliés depuis longtemps… Elle-même découvre chez ce zombie différent autre chose qu’un regard vide et des gestes de momie… Perturbée par ses sentiments, Julie retourne dans sa cité fortifiée où son père a levé une armée. R, de plus en plus humain, est désormais convaincu que sa relation avec Julie pourrait sauver l’espèce entière… Pourtant, en cherchant à revoir Julie, il va déclencher l’ultime guerre entre les vivants et les morts. Les chances de survie de ce couple unique sont de plus en plus fragiles…
Critique : Burying the ex
Quel est le point commun entre le festivalier fantastique strasbourgeois et le festivalier fantastique géromois (de Gérardmer, donc) ? Ils seront parmi les rares, voire les seuls, en France, à découvrir en salles le dernier opus du maître Joe Dante, la comédie romantico-horrifique Burying the ex, son premier film depuis The Hole tourné en 2009 et vaguement montré sur quelques écrans français (en bluray la plupart du temps entre 2012 et 2013 pour quelques «chanceux»). Cela vaut-il la peine de découvrir ce nouvel opus signé par l’un des maîtres du fantastique et de l’horreur en particulier, du cinéma tout court en général (une filmo quasi sans faute) ? Pas de suspense, la réponse est plutôt oui… mais…
Critique : American Graffiti
La fin de l'été 62 à Modesto, petite bourgade de Californie, un groupe d'adolescents fraîchement diplômés passent une dernière nuit à s'amuser avant de faire face aux responsabilités de la vie et de l'âge adulte, synonymes de changement irréversible. A travers courses de voitures, drague en cruising et rock classique, on suit les destins croisés de quatre jeunes personnages modèles archétypiques : Curt le héros en plein questionnement existentiel, Steve le bon citoyen, Terry l'intello et John le "roi de la route". Avant la fin de la nuit, leur perception du monde aura changé définitivement, et ils répondront à cette question qui ne cesse de se poser : partir ou pas ? Accepter le changement ou vivre dans le passé ?
Critique : Mia Madre
"Mia Madre" aurait pu être un très grand film de Nanni Moretti : il aurait suffi pour cela qu'il choisisse de faire jouer John Torturro avec sobriété dans son rôle d'acteur mythomane, cabotin et ingérable. Au lieu de cela, il a choisi de le faire jouer dans l'excès, dans la démesure. Résultat : on aurait pu sourire, voire même rire, entre deux scènes cherchant à générer de l'émotion chez le spectateur ; on ne rit pas, on ne sourit même pas et l'émotion n'arrive pas à percer. Reste une réflexion intéressante sur le métier de réalisateur.
La Course au jouet
La Course au jouet est une comédie de Noël pour enfant sortie en 1996. Son réalisateur Brian Levant a offert le rôle principal à Arnold Schwarzenegger que l'on avait déjà pu voir dans d'autres comédies (Un Flic à la maternelle, Junior). Il s'est également entouré de comédiens tels que Phil Hartman (La Course au jouet est l'un de ses derniers films, il est assassiné 2 ans plus tard) et Sinbad.
Critique : Julie (en 12 chapitres)
Des chapitres irritants, d'autres émouvants et une comédienne qui se montre à son avantage dans les 12 chapitres.
La Chance de ma vie
La chance de ma vie est une comédie sentimentale française de Nicolas Cuche sortie en début d’année 2011. Le réalisateur est encore peu connu des salles obscures, mais a travaillé sur plusieurs séries françaises (Joséphine ange gardien, Le chasseur).
Critique : On a marché sur Bangkok
… parce que sur la Lune, c'est déjà fait … comme le rappelle le slogan de cette comédie (?) d'aventures du célèbre duo Kad & O qui n'a pas encore fait ses preuves sur le grand écran, si l'on épargne le diptyque Pamela Rose, seule réelle tentative de retrouver l'esprit déviant de leur travail à la radio, à la télévision et même sur scène lors de leur unique tentative à ce jour. Côté cinéma, c'est pas encore gagné...
Cashback
Alors réalisateur totalement novice et sans aucune expérience dans le cinéma, Sean Ellis va en 2004 réaliser un court-métrage : Cashback. Pour une première, on peut dire qu’il signe une franche réussite. En effet, jouissant d’un bon succès critique et plébiscité dans les différents festivals où il fut présenté, Ellis décida de transformer son œuvre en un long-métrage… était-ce vraiment nécessaire ?
Critique : Good Luck Algeria
Farid Bentoumi réussit son coup en délivrant une comédie à la fois drôle, sociale, familiale et même politique. Cette réussite est due à la fois à une mise en scène qui ne fait jamais dans la facilité, à un montage qui donne la longueur juste à chaque scène et à des comédiens dont le jeu chaleureux permet aux spectateurs de se trouver en totale empathie avec les personnages.
Hénaut Président
Un agent de communication un peu dans la panade après un revers inattendu s’empare de la campagne de Pierre Hénaut, brave plouc de province et maire d’un petit bled dont la probité et le dévouement son sans limite. Mission : faire de cet improbable candidat à la présidentielle le troisième homme, celui qui va bousculer tout dans les pronostics. Et ce, quitte à employer des moyens pas très avouables…
Le Prénom
Vincent, la quarantaine triomphante, va être père pour la première fois. Invité à dîner chez Élisabeth et Pierre, sa sœur et son beau-frère, il y retrouve Claude, un ami d’enfance.
En attendant l’arrivée d’Anna, sa jeune épouse éternellement en retard, on le presse de questions sur sa future paternité dans la bonne humeur générale... Mais quand on demande à Vincent s’il a déjà choisi un prénom pour l’enfant à naître, sa réponse plonge la famille dans le chaos.



















