Critique : Oh Boy
Assistant du réalisateur Wolfgang sur le tournage de Good Bye, Lenin!, Jan Ole Gerster passe à la réalisation avec ce film en noir et blanc, un road-movie avec un jeune homme qui cherche un sens à sa vie de jeune trentenaire.
Alarme fatale
Alarme fatale est, comme son nom l'indique, une parodie de la série L'arme fatale avec Mel Gibson et Danny Glover. Films à succès rime avec parodie. Il n'y avait donc aucune raison pour que ceux-ci y échappent. Surtout que la matière est là. Ce sont des films qu'on aime tous voir mais dont les exagérations sont évidentes. Et en plus Alarme fatale est drôle. Très drôle.
La Conquête
La Conquête est un long-métrage de Xavier Durringer sorti en 2011. Le réalisateur y retrace "l'irrésistible ascension de Sarkozy", comme le dit si bien le synopsis. Première impression (avant de voir le film) : ça sent la propagande... Seconde impression (après avoir vu le film) : pourquoi avoir tourné La Conquête maintenant ?
Critique : Album de famille
Un film qui, sans avoir l'air d'y toucher, avec un humour à froid qui fait penser à Kaurismäki, Jarmush ou certains réalisateurs roumains comme Corneliu Porumboiu, dit beaucoup de choses sur la Turquie d'aujourd'hui.
Les Amants passagers
Les passagers prennent place à bord d’un avion en direction de Mexico. Très vite, le personnel de bord se rend compte d’un problème technique. Les stewards décident de droguer les passagers de la classe économique. Ceux de la classe affaire finissent par comprendre la gravité de leur situation. Commence alors une longue attente ponctuée d’angoisse, qui pousse les personnages à révéler leurs secrets et à libérer leurs inhibitions.
Critique : La Conspiration des belettes
Une vieille demeure isolée où habite, tel un fantôme car oubliée de tous, une célébrité de l'âge d'or du cinéma. Quel cinéphile qui se respecte ne pense pas immédiatement au chef-d'œuvre de Billy Wilder en entendant cette prémisse ? Or, avec La Conspiration des belettes, on arpente au moins autant le Boulevard du crépuscule qu'on goûte à l'Arsenic et vieilles dentelles de Frank Capra.
Les Petits mouchoirs
Entre Mon idole, Ne le dis à personne et une avalanche de Césars, Guillaume Canet est devenu un réalisateur reconnu aux films attendus par le public. En 2010, son petit dernier Les Petits mouchoirs n'a pas dérogé à la règle avec son casting rassemblant tout le gratin du cinéma français et sa grosse campagne de promotion.
Critique : Tomboy
Après le magnifique Naissance des pieuvres présenté dans la catégorie Un Certain Regard du Festival de Cannes en 2007, Céline Sciamma revient au cinéma avec Tomboy (qui signifie garçon manqué en anglais). La réalisatrice y creuse le sujet du trouble identitaire de l'enfance. Le long-métrage a été diffusé à la dernière Berlinale (décidément cette réalisatrice est une bête de festivals). Il a été tourné en seulement 20 jours avec une petite équipe et une caméra Canon 5D.
Bébé mode d’emploi
Bébé mode d'emploi est une comédie de Greg Berlanti (scénariste de Dawson et de Green Lantern) sortie en décembre 2010. Pour son second long-métrage, le réalisateur s'est entouré de Katherine Heigl, Josh Duhamel et de triplés (3 bébés jouent le rôle de Sophie) pour mettre en scène un homme et une femme qui n'ont rien en commun mais qui doivent élever un enfant ensemble.
Chercher le garçon
Un soir de Saint-Sylvestre, Emilie, une illustratrice de 35 ans lasse de son célibat, s’inscrit sur « MeetMe » pour trouver l’âme sœur. On va la suivre 6 mois durant dans cette recherche erratique - la solution est peut-être plutôt « In Real Life »…
Justin Bieber : Never Say Never
Qui n'a pas entendu parler de Justin Bieber : Never Say Never le film documentaire sur la vie de la superstar Justin Bieber ? Évidemment on en a beaucoup parlé en mal, mais combien l'ont vraiment vu et en on donné un avis objectif ? C'est ce que nous allons essayer de faire dans cet article.
Critique : Les Sept vampires
Dans le cadre de l'impressionnante rétrospective consacrée au cinéma brésilien à la Cinémathèque Française, la case cinéma bis du vendredi 3 avril 2015 nous proposait de découvrir deux films de genre signés par Ivan Cardoso qui lorgnent vers le parodique, avec plus ou moins de réussite. Le premier de la soirée : Les Sept vampires



















