Test Blu-ray : Rosalie Blum
"Rosalie Blum" s'apparente à un conte, à la réalité improbable mais au charme poétique indéniable. Il est évidemment dommage d'observer de temps à autre certaines baisses de régime mais, le film s'avère globalement très sympathique.
Tu seras un homme
Léonard est âgé de dix ans. Jeune garçon solitaire à l’indéniable fibre poétique, la lecture symbolise pour lui la fuite d’un monde qu’il ne comprend pas.Théodore est quant à lui âgé de vingt ans. Adolescent insouciant, son nouveau travail de baby-sitter le conduit vers le jeune Léonard. Tous les deux vont rapidement se lier d’amitiés. Mais ce lien n’est pas du goût du père de Léonard, qui décide d’y mettre un terme. Théodore décide alors d’entrainer Léo pour une escapade au bord de la mer, au risque de s’attirer de gros ennuis.
Critique : Drive-Away Dolls
Impossible malheureusement de ne pas faire résonner Drive-Away Dolls, premier long-métrage en solo d’Ethan Coen, à travers le souvenir laissé par plusieurs des grandes œuvres issues du duo qu’il a formé si longtemps avec son frère...
Albi 2017 : Ôtez-moi d’un doute (Deuxième avis)
Qu'est-ce qui définit la paternité de nos jours, où les familles recomposées sont la norme et où les dispositifs pour se créer des repères de substitution pullulent ? A cette question, vieille comme le monde, Ôtez-moi d'un doute ne cherche point à apporter une réponse définitive. Cette comédie franco-belge insiste au contraire sur la pluralité des conceptions de ce qui fait un bon père, laissant de surcroît une place de choix à une intrigue romantique en parallèle, qui se démarque par la même fraîcheur de ton que le reste du récit.
L’art d’aimer
Emmanuel Mouret aime mettre en scène l’amour. L’amour sous toutes ses formes. Encore une fois, Mouret réinvente l’amour dans son sixième long métrage L’art d’aimer. Un film choral peu commun qui met en situation les 12 personnages (brillant casting) dans des situations plutôt cocasses et originales.
À voir sur Amazon Prime Video : Borat 2 / Sacha Baron Cohen vs....
Comme le dit le proverbe, « Quand on est con, c’est pour la vie »… Et quatorze ans après le premier film, Sacha Baron Cohen se voit obligé de ressortir le costume gris du journaliste kazakh dans Borat 2
Critique Express : Oranges sanguines
"Oranges sanguines" vient compléter "La fracture" pour montrer les fractures qui règnent dans notre pays, pour stigmatiser l'état de décomposition morale de notre société.
Critique : The Grand Budapest Hotel
Après La Famille Tenenbaum, Fantastic Mr Fox et autre Moonrise Kingdom, Wes Anderson nous invite dans un nouvel univers bigarré et coloré, peuplé d'une belle galerie de personnages farfelus.
Critique : Burying the ex
Quel est le point commun entre le festivalier fantastique strasbourgeois et le festivalier fantastique géromois (de Gérardmer, donc) ? Ils seront parmi les rares, voire les seuls, en France, à découvrir en salles le dernier opus du maître Joe Dante, la comédie romantico-horrifique Burying the ex, son premier film depuis The Hole tourné en 2009 et vaguement montré sur quelques écrans français (en bluray la plupart du temps entre 2012 et 2013 pour quelques «chanceux»). Cela vaut-il la peine de découvrir ce nouvel opus signé par l’un des maîtres du fantastique et de l’horreur en particulier, du cinéma tout court en général (une filmo quasi sans faute) ? Pas de suspense, la réponse est plutôt oui… mais…
Cannes 2016 : L’économie du couple
L'économie du couple "Vous faire une proposition où vous n'avez pas à choisir un camp est aussi un point de vu" Voila les quelques mots du réalisateur qui ont clôturé la séance de l'économie du couple hier à la quinzaine des réalisateurs.
Critique : Last Vegas
Billy, Paddy, Archie et Sam sont les meilleurs amis du monde depuis... plus d'une soixantaine d'années. Quand Billy, le dernier célibataire de la bande, se décide enfin à demander sa petite amie d'à peine trente ans (bien évidemment !) en mariage, nos quatre über-seniors prennent la direction de Las Vegas avec la ferme intention de ne rien céder au poids des années et d'enterrer la vie de ce garçon (Qui a dit "vieux" ?) dans les règles de l'art. À leur arrivée sur le Strip, force est de constater que le divertissement de masses a pris le pas sur le temple du cool. Mais le Cirque du Soleil peut bien avoir délogé le Rat Pack, notre quatuor est plus que jamais résolu à faire revivre ses heures de gloire à celle qu'on appelle encore la ville de tous les vices.
Critique : Un p’tit truc en plus (Deuxième avis)
Il n’est à mon sens pas étonnant de constater le succès de ce P'tit truc en plus; il se trouve que le film risque le pari de l’honnêteté dans un paysage de cinéma qui en manque.



















