Test DVD : Dieumerci!

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Annoncé comme étant une comédie, Dieumerci! présente en fait deux facettes. Si la facette a priori comique s'avère un peu poussive, la seconde facette gratifie le spectateur de plusieurs très jolies scènes en recherchant l'émotion sans forcer le trait, en évoquant discrètement le racisme et la vie difficile de celles et ceux qui n'arrivent à subsister qu'en enchaînant des petits boulots peu gratifiants, et, surtout, en mettant en avant l'amour du théâtre qui anime le réalisateur et le personnage qu'il joue dans le film.

Critique : Sacré Robin des Bois

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Que ce soit en dessin animé ou en film, nous avons tous vu une adaptation de Robin des Bois. Avec Sacré Robin des Bois, Mel Brooks nous propose une parodie bien potache et comique à souhait...

Critique : Reprise en main

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Avec "Reprise en main", film social, film engagé, mais qui n'oublie pas d'être souvent drôle et émouvant, Gilles Perret se met avec talent dans les pas de Ken Loach.

Critique : Le BGG – Le Bon Gros Géant

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Après une adaptation animée en 1989, Le Bon Gros Géant de Roald Dahl revient et cette fois-ci dans nos salles de cinéma. Avec un réalisateur comme Steven Spielberg, le plus à même de filmer un univers enchanteur pour enfants, l'on ne pouvait qu’être curieux du résultat. Mais cette curiosité est vite freinée par l’aspect répétitif de l’histoire et l'on se sent somnoler pour se voir emporter non pas dans le pays des géants mais à l’époque à laquelle Spielberg réalisait de superbes œuvres, destinées tant aux petits qu'aux plus grands.

Cannes 2016 : L’Effet aquatique – Quinzaine

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L'Effet aquatique France, Islande, 2016 Titre original : The together project Réalisateur : Solveig Anspach Scénario : Jean-Luc Gaget Acteurs : Florence Loiret-Caille, Samir Guesmi Distribution : Le Pacte Durée : 1h25 Genre...
Les Vies privées de Pippa Lee

Les Vies privées de Pippa Lee

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The Private Lives of Pippa Lee est le troisième long-métrage de Rebecca Miller sorti en 2009. La réalisatrice a fini par tourner un film, après avoir longtemps souhaité donner vie à cette histoire sous forme de roman. Un tournage rapide, puisqu'il n'a fallu qu'un mois et demi pour le réaliser.
Echange standard

Echange standard

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Échange Standard a été réalisé par David Dobkin, le spécialiste des comédies (Sérial Noceur). Ce film a tout de la parfaite comédie américaine que l’on veut tous voir au cinéma : le scénariste de Very Bad Trip, un casting composé d’acteurs qui ont brillé cette année (Jason Bateman, Ryan Reynold, Leslie Mann, Alan Arkin, Olivia Wilde). Attirant, n’est-ce pas ? ... Et en fait, c’est tout le contraire... plutôt attérant.
You Again avec Jamie Lee Curtis et Sigourney Weaver

You Again

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You Again est une comédie américaine réalisée par Andy Fickman en 2010. Le film possède un casting impressionnant avec les talentueuses Jamie Lee Curtis (Halloween), Betty White et Sigourney Weaver (Alien) accompagnées des jeunes actrices Kristen Bell et Odette Yustman.
trio

Comme des frères

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Depuis que Charlie n’est plus là, la vie de Boris, Elie et Maxime a volé en éclats. Ces trois hommes que tout sépare avaient pour Charlie un amour singulier. Elle était leur sœur, la femme de leur vie ou leur pote, c’était selon. Sauf que Charlie est morte et que ça, ni Boris, homme d’affaires accompli, ni Elie, scénariste noctambule et ni Maxime, 20 ans toujours dans les jupes de maman, ne savent comment y faire face. Mais parce qu’elle le leur avait demandé, ils décident sur un coup de tête de faire ce voyage ensemble, direction la Corse et cette maison que Charlie aimait tant. Seulement voilà, 900 kilomètres coincés dans une voiture quand on a pour seul point commun un attachement pour la même femme, c’est long… Boris, Elie et Maxime, trois hommes, trois générations, zéro affinité sur le papier, mais à l’arrivée, la certitude que Charlie a changé leur vie pour toujours.
duo

Robot and Franck

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Ouverture du festival de Deauville 2012 suite au désistement de Jeff Nichols qui devait présenter Mud, Robot & Franck n'a pas su séduire le jury, mais saura certainement trouver son public. Pour ce premier film, le réalisateur Jake Schreier s'offre un bien beau casting : Franck Langella, Susan Sarandon, James Marsden, Liv tyler et... un robot (doublé par Peter Sarsgaard).

Critique : Quai d’Orsay

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Alexandre Taillard de Worms est grand, magnifique, un homme plein de panache qui plait aux femmes et est accessoirement ministre des Affaires Étrangères du pays des Lumières : la France. Sa crinière argentée posée sur son corps d’athlète légèrement halé est partout, de la tribune des Nations Unies à New-York jusque dans la poudrière de l’Oubanga. Là, il y apostrophe les puissants et invoque les plus grands esprits afin de ramener la paix, calmer les nerveux de la gâchette et justifier son aura de futur prix Nobel de la paix cosmique. Alexandre Taillard de Vorms est un esprit puissant, guerroyant avec l’appui de la Sainte Trinité des concepts diplomatiques : légitimité, lucidité et efficacité. Il y pourfend les néoconservateurs américains, les russes corrompus et les chinois cupides. Le monde a beau ne pas mériter la grandeur d’âme de la France, son art se sent à l’étroit enfermé dans l’hexagone. Le jeune Arthur Vlaminck, jeune diplômé de l’ENA, est embauché en tant que chargé du “langage” au ministère des Affaires Étrangères. En clair, il doit écrire les discours du ministre ! Mais encore faut-il apprendre à composer avec la susceptibilité et l’entourage du prince, se faire une place entre le directeur de cabinet et les conseillers qui gravitent dans un Quai d’Orsay où le stress, l’ambition et les coups fourrés ne sont pas rares... Alors qu’il entrevoit le destin du monde, il est menacé par l’inertie des technocrates.

Berlinale 2016 : Ave César

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Quoi de mieux pour démarrer un des plus prestigieux festivals du monde sur les chapeaux de roue qu’un film qui célèbre toutes les facettes du Septième art sous un jour irrévérencieux ? Le nouveau film des frères Coen – qui vient de faire l’ouverture de la 66ème édition de la Berlinale – répond parfaitement à la tâche ardue de ravir les cinéphiles nostalgiques de la grande époque des studios hollywoodiens au début des années 1950, tout en mettant le doigt là où ça fait mal, à savoir dans la nature profondément artificielle et hypocrite de l’usine à rêves.

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Albi 2025 : ça commence aujourd’hui

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On pourrait croire qu’il arrive après la bataille, notre si cher Festival d’Albi, dont la 29ème édition s’est ouverte ce soir. Après une avalanche de festivals de la rentrée – dont nous avons eu le privilège de couvrir certains, mais qui sont en fait encore trois, quatre fois plus nombreux –, il serait facile de penser que tous les films à la sortie prochaine aient d’ores et déjà été vus par le public festivalier.

Test Blu-ray 4K Ultra HD : Apocalypse Now – Final Cut

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Dès ses premières secondes, avec les hélicos en slow-mo et la voix de Jim Morrison qui annonce que « this is the End », Apocalypse Now impose une ambiance de fin du monde, moite, hallucinée, et vaguement sexuelle.

Critique : La Femme la plus riche du monde

Au début des années 2010, l’affaire Bettencourt avait tenu en haleine les médias, toujours aussi friands de faits divers savoureux. Quinze ans plus tard, Thierry Klifa en a fait une fable pas non plus sans attrait sur le monde des milliardaires, qui reste un peu trop sage en termes de commentaire social, mais qui vaut son pesant d’or au niveau de ses personnages hauts en couleur.