Test Blu-ray : Esther 2 – Les Origines
Isabelle Fuhrman reprend, 13 ans après le film original, le rôle de la petite orpheline psychopathe dans Esther 2 – Les origines, pensé pour être un « prequel » se déroulant donc deux ans avant les événements relatés par le premier long-métrage.
Le Monde de Charlie
Au lycée où il vient d’arriver, on trouve Charlie bizarre. Sa sensibilité et ses goûts sont en décalage avec ceux de ses camarades de classe. Pour son prof de Lettres, c’est sans doute un prodige, pour les autres, c’est juste un "loser". En attendant, il reste en marge - jusqu’au jour où deux terminales, Patrick et la jolie Sam, le prennent sous leur aile. Grâce à eux, il va découvrir la musique, les fêtes, le sexe… pour Charlie, un nouveau monde s’offre à lui.
Test Blu-ray : Zombie – Édition Collector 40ème Anniversaire
En tant que critique, quand on se doit d’aborder un film unanimement considéré comme un monument, la solution de facilité consiste souvent à décréter péremptoirement que « tout a déjà été dit » sur le film en question. Zombie est de ceux-là.
Test Blu-ray 4K Ultra HD : Link
Link est un film fantastique qui prend le temps de développer son atmosphère : ainsi, le passage de l’étrange à l’horreur mettra un certain temps avant de pointer le bout de son nez...
Test Blu-ray : Rob Zombie Trilogie
Test Blu-ray de la trilogie Firefly de Rob Zombie : La maison des mille morts / The devil's rejects / 3 from Hell, édité par Metropolitan Vidéo.
Test Blu-ray : Le jardin des supplices
Le jardin des supplices est, sans aucun doute, une curiosité – le film de toutes les bizarreries. Un projet qui, avec le recul, nous apparaît comme tellement incongru qu’on ne sait vraiment ici par quel bout le prendre, par quel aspect de sa personnalité l’aborder.
Test Blu-ray : Wonder Woman 1984
Malgré ses imperfections, on serait bien tentés de considérer Wonder Woman 1984 comme plutôt supérieur à son modèle, qui se contentait d’enfiler les clichés sans autre valeur ajoutée que son solide production design et le charisme de son actrice principale.
Test Blu-ray : Maigret et l’affaire Saint-Fiacre
Une des particularités de Maigret et l'affaire Saint-Fiacre est de construire son intrigue policière autour d'un crime sans « arme du crime » : le mode opératoire du tueur se base en effet sur la diffusion d'une fausse nouvelle publiée par un journal régional, qui provoquera un arrêt du cœur chez la victime
Test Blu-ray : Les exterminateurs de l’an 3000
Période de grandes mutations dans le petit monde du cinéma, la fin des années 70 a vu naître le succès international de Mad Max et New York 1997. Ces deux films ont ouvert la voie au film de Giuliano Carnimeo Les exterminateurs de l'an 3000.
Test Blu-ray : Atomic cyborg
Si l'on en croit le site de référence IMDb, le film le plus célèbre de Sergio Martino est Atomic cyborg, sorti en 1986, qui se rattache donc à une époque durant laquelle le cinéma d'exploitation italien vivait ses derniers sursauts.
Les Immortels
Des corps musclés et huilés ainsi que des images à couper le souffle pour ravir ces dames; des batailles magistrales et les fesses de Freida Pinto pour allécher ces messieurs: forcément on ne pouvait pas rater Les Immortels, film événement de Tarsem Singh, le réalisateur-esthète de The Cell et de The Fall. Un voyage féérico-épique dans la Grèce antique aux côtés de Zeus... et de Mickey Rourke.
Test Blu-ray : Le retour des morts-vivants
Si on ne rattache que très peu souvent (voire même quasiment jamais) Le retour des morts vivants et ses suites à la saga initiée en 1968 par George A. Romero avec La nuit des morts vivants, il semblerait finalement assez juste de la considérer non seulement comme en étant une excroissance, mais aussi et surtout comme en étant une excroissance parfaitement légitime. Un peu comme un demi-frère en quelque sorte… En effet, derrière le scénario de La nuit des morts vivants se cachaient en fait deux individus : Romero bien sûr, mais également John A. Russo, qui s’avère souvent le grand « oublié » de la saga. Dès Zombie en 1978, George Romero s’était affranchi de son co-scénariste en partant travailler avec Dario Argento, puis tout seul comme un grand à partir du Jour des morts vivants en 1985. Avec sa saga, Romero livrerait une œuvre aussi longue que très « politisée », le zombie étant un moyen pour lui de critiquer la société de consommation.



















