True Blood saison 5 : deuxième bande-annonce
Voici la deuxième bande-annonce pour la cinquième saison de True Blood.
Test Blu-ray : The Last of Us – Saison 2
The Last of Us – Saison 2 ne fait pas dans la dentelle narrative. Après une première saison saluée comme le messie sériel post-apocalyptique, cette suite prend un virage à 180° dès le deuxième épisode...
Keira Knightley chante… et bien
Rassurez-vous cinéphiles meurtris par les prestations musicales de Russell Crowe dans Les Misérables ou de Pierce Brosnan dans Mamma Mia! (perso, j'aime bien cette...
Jeanne Captive
À l’automne 1430, Jeanne d’Arc, prisonnière d’un puissant seigneur du nord de la France, est vendue aux Anglais. Entre les murs qui l’enferment, le temps d’un convoi longeant la mer ou près du bûcher qui la verra périr, des hommes tentent d’approcher cette jeune femme porteuse d’infini.
Blood Ties
Grâce à ses deux derniers films (Les petits mouchoirs et Ne le dis à personne), Guillaume Canet s'est imposé comme un réalisateur de talent proposant des films intelligents qui ont la force de fédérer le public. Blood Ties est un projet bien plus ambitieux, exprimant clairement la volonté de Canet de s'exporter à l'étranger, et surtout sur le marché américain. Mais à viser trop haut, ne risque t-on pas de rater sa cible ?
Mon pire cauchemar
Nouvelle déclinaison du ménage à trois, le dernier opus d’Anne Fontaine prend ses quartiers de noblesse dans la comédie. Le style lui va très bien, même si sous l’optimisme se profilent bien des questions pas si drôles que ça. Huppert et Poelvoorde forment un formidable couple de cinéma.
Palmarès du Festival de Deauville 2011
Samedi 10 septembre 2011. Il est temps de mettre un terme à cette 37ème édition du Festival du film américain de Deauville. Beaucoup de monde se pressera pour essayer de rentrer dans l'auditorium et savoir qui a enfin gagné le Grand Prix.
Critique : Samba
Samba, c'est le nom d'une danse brésilienne mais aussi celui de cet immigré candide en situation irrégulière, interprété par Omar Sy qui retrouve les réalisateurs d'Intouchables, le deuxième plus gros succès de l'histoire du cinéma français après Bienvenue chez les Ch'tis.
Iron Man 3 : pas d’Iron Patriot dans le film ; nouvelles photos du...
Finalement Iron Patriot ne sera pas l'un des super héros dans Iron Man 3 ; de nouvelles photos du tournage sont disponibles.
Test Blu-ray 4K Ultra HD : The Substance
Avec avoir réuni un peu plus de 585.000 français horrifiés dans les salles, The Substance vient de débarquer au format Blu-ray 4K Ultra HD sous les couleurs de Metropolitan Vidéo, et côté master, il semble évident que l'on tienne ici la meilleure alternative possible afin de découvrir le film de Coralie Fargeat.
Les Mondes de Ralph
Dans une salle d’arcade, Ralph la casse est le héros mal aimé d’un jeu des années 80. Son rôle est simple : il casse tout ! Pourtant il ne rêve que d’une chose, être aimé de tous…
Vanellope Van Schweetz quant à elle, évolue dans un jeu de course, fabriqué uniquement de sucreries. Son gros défaut : être une erreur de programme, ce qui lui vaut d’être interdite de course et rejetée de tous…
Ces deux personnages n’auraient jamais dû se croiser… et pourtant, Ralph va bousculer les règles et voyager à travers les différents mondes de la salle d’arcade pour atteindre son but : prouver à tous qu’il peut devenir un héros… Ensemble, arriveront-ils à atteindre leurs rêves ?
Test Blu-ray : Au service du diable
Atmosphérique, étrange et fort réussi, Au service du Diable est une solide petite œuvre tournée vers le « Bis », dont la particularité est d’être une coproduction en provenance de Belgique, réalisée par un cinéaste originaire du Plat Pays, Jean Brismée – dont il s’agira d’ailleurs du seul et unique long-métrage. Curieusement, malgré sa maigre expérience derrière la caméra, le film se démarquera sans peine du « gros » de la production de l’époque par le grand soin apporté à sa mise en scène, qui impose un découpage précis, beaucoup de style et un rythme habilement contrôlé. La photographie est par ailleurs absolument excellente, tout est mis en œuvre avec talent pour mettre en valeur le décor du château et ses intérieurs, surtout quand ils sont plongés dans l’obscurité ou la semi-obscurité. Ainsi, certains cadres et séquences s’avèrent réellement de toute beauté : on pense par exemple aux plans d’ensemble dans le salon, durant lesquels un lent travelling latéral nous permet de découvrir l’un après l’autre chaque groupe de personnages, ou encore à ceux prenant place dans le laboratoire du baron. Le souci du moindre détail se retrouve réellement à l’écran, ce qui pourra sembler très étonnant au cœur de ce genre de productions où le mot d’ordre semblait généralement être de tourner rapidement, au détriment parfois de la technique pure.



















