Critique : Ted
À 8 ans, le petit John Bennett fit le vœu que son ours en peluche de Noël s’anime et devienne son meilleur ami pour la vie, et il vit son voeu exaucé. Presque 30 ans plus tard, l’histoire n’a plus vraiment les allures d’un conte de Noël. L’omniprésence de Ted aux côtés de John pèse lourdement sur sa relation amoureuse avec Lori. Bien que patiente, Lori voit en cette amitié exclusive, consistant principalement à boire des bières et fumer de l’herbe devant des programmes télé plus ringards les uns que les autres, un handicap pour John qui le confine à l’enfance, l’empêche de réussir professionnellement et de réellement s’investir dans leur couple. Déchiré entre son amour pour Lori et sa loyauté envers Ted, John lutte pour devenir enfin un homme, un vrai !
Test Blu-ray 4K Ultra HD : Bad Boys – Ride or Die
Rompant avec l'idée de « passage de relais » à une équipe de flics plus jeunes qui avait été initiée dans le film précédent, Bad Boys : Ride or Die sonne comme un retour aux sources pour les deux acteurs : les deux quinquas reprennent ici clairement le lead du film.
Critique : The Master
Freddie, un vétéran, revient en Californie après s’être battu dans le Pacifique. Alcoolique, il distille sa propre gnôle et contient difficilement la violence qu’il a en lui… Quand Freddie rencontre Lancaster Dodd – « le Maître », charismatique meneur d’un mouvement nommé la Cause, il tombe rapidement sous sa coupe...
Star Wars 7 : on connaît la distribution
Le tournage le plus attendu de ces dernières années commence bientôt et la distribution a été officiellement annoncée ce lundi 28 avril. Tout le...
À voir sur Netflix : Le Diable, tout le temps / Southern comfort
Adapté d'un roman de Donald Ray Pollock volontiers considéré comme l'un des meilleurs livres de l'année 2011, Le diable, tout le temps ne s'imposera certes pas comme la comédie de l'année. Terriblement noire, développant une ambiance lourde doublée de thématiques et d'une mise en scène qui amplifient le malaise du spectateur au fur et à mesure du déroulement de son intrigue, l'adaptation qu'en propose aujourd'hui Antonio Campos représente sans le moindre doute possible l'un des films les plus étouffants qu'il nous ait été donné de voir cette année.
Critique : The Substance
Que les intentions de sa réalisatrice, bourrines à souhait, soient de dénoncer, de dynamiter les représentations du corps féminin ne font aucun doute. Seulement, ce postulat n’aurait pas suffi en lui-même à déployer un film iconique; en particulier quand on est comme moi allergique aux donneurs de leçons.
Jeu concours DVD : Red Joan – Au service secret de Staline
À l’occasion de la sortie du thriller historique Red Joan – Au service secret de Staline, disponible en DVD à partir du 17 février 2020, L’Atelier d’images, Program Store et critique-film.fr vous proposent de participer à un jeu concours pour gagner des DVD de ce film d'espionnage inspiré d'une histoire vraie…
La guerre est déclarée
Après La Reine des Pommes, Valerie Donzelli revient avec La guerre est déclarée, film autobiographique, largement salué par la presse et qui semble déjà avoir trouvé son public comme l'atteste l'accueil reçu lors de sa projection, en film d'ouverture de la semaine critique, au Festival de Cannes.
Test Blu-ray : Frissons d’horreur
Sorti en France en 1979, Frissons d'horreur a surtout été popularisé par sa sortie au format DVD en 2008. Le titre original du film, Macchie Solari (soit « Taches solaires »), est à la fois plus poétique et davantage en rapport avec son intrigue...
L’actualité des festivals (23 mars)
Histoire sans fin, suite de notre tour d’horizon des festivals du mois de mars avec une large sélection de films de toutes origines et...
Kiss of the damned
Pour son premier long-métrage de fiction, la réalisatrice Xan Cassavetes offre une séduisante relecture romantique et sexy du mythe du vampire gothique, avec trois actrices françaises en tête d'affiche, belles mais dangereuses...
Critique : The Green Inferno
Eli Roth n’est pas Quentin Tarantino, mais il connaît néanmoins bien les classiques du film de genre. Il nous en livre la preuve par le biais de cet hommage aux festins cinématographiques de cannibales, particulièrement féroces et populaires en Italie dans les années 1970 et ’80.

















