Critique : Mortal Engines
Projet de longue date annoncé depuis presque une décennie, Mortal Engines aura longtemps suscité les espoirs des nombreux fans de Peter Jackson. Et l’entreprise semblait toute taillée pour le réalisateur qui aurait annoncé son retour flamboyant après avoir été longtemps claquemuré dans la Terre du Milieu. L’excitation a laissé place à l’appréhension après l’annonce de Christian Rivers à la réalisation (la première le concernant) en lieu et place de Jackson qui conservera une place de producteur exécutif. Mais que l’on se rassure : le résultat est d’une fraîcheur plutôt galvanisante dans une ère où les productions originales se raréfient. Mortal Engines est une course frénétique à l’esthétique novatrice dont le pur plaisir du spectacle l’emporte sur une faiblesse d’écriture parfois embarrassante.
Upside Down
Dans un univers extraordinaire vit un jeune homme ordinaire, Adam, qui tente de joindre les deux bouts dans un monde détruit par la guerre. Tout en luttant pour avancer dans la vie, il est hanté par le souvenir d’une belle jeune fille venant d’un monde d’abondance : Eden. Dans cet univers, son monde se trouve juste au-dessus de celui d’Adam - si près que lorsqu’il regarde vers le ciel, il peut voir ses villes étincelantes et ses champs fleuris. Mais cette proximité est trompeuse : l’entrée dans son monde est strictement interdite et la gravité de la planète d’Eden rend toute tentative extrêmement périlleuse.
Critique : Oblivion
Oblivion - 2077 : Jack Harper, en station sur la planète Terre dont toute la population a été évacuée, est en charge de la sécurité et de la réparation des drones.
Star Trek Into Darkness
Alors qu’il rentre à sa base, l’équipage de l’Enterprise doit faire face à des forces terroristes implacables au sein même de son organisation. L’ennemi a fait exploser la flotte et tout ce qu’elle représentait, plongeant notre monde dans le chaos…
Dans un monde en guerre, le Capitaine Kirk, animé par la vengeance, se lance dans une véritable chasse à l’homme, pour neutraliser celui qui représente à lui seul une arme de destruction massive. Nos héros entrent dans un jeu d’échecs mortel. L’amour sera menacé, des amitiés seront brisées et des sacrifices devront être faits dans la seule famille qu’il reste à Kirk : son équipe.
Critique : Seul sur Mars
Dans la science-fiction filmique, la fiction a souvent le dessus sur la science, comme si le besoin de divertir était plus primordial au cinéma que celui d’instruire. Le risque est toujours grand de dévier vers le langage d’une émission ludique sur les mystères de l’univers.
Critique : Equals
Elle court, elle court, la maladie d’amour… Ces quelques paroles d’un certain Michel Sardou résument à elles seules ce film présenté à la Mostra de Venise en 2015 et qui sortira en e-cinéma le 20 octobre 2016. À l’affiche nous retrouvons Kristen Stewart et Nicholas Hoult, deux jeunes grands noms du cinéma américain qui incarnent les citoyens d’une société aseptisée. Ce film n’a eu que peu d’impact parmi les critiques mais est pourtant loin d’être médiocre ou de se cantonner à une mièvre histoire d’amour. Il conjugue en réalité intérêt cinématographique et sociologique de manière indiscutable.
Critique : Terminator – Renaissance
Terminator - Renaissance est le premier film d’une nouvelle trilogie se déroulant après Terminator 2 - le jugement dernier (1991).
Critique : Les 4 Fantastiques (Josh Trank)
Les voies du public sont impénétrables. Alors que les spectateurs se sont rués cet été sur la nouvelle épopée des Avengers, à notre humble avis franchement médiocre, ils ont réservé un accueil glacial à ce redémarrage de l’univers des 4 Fantastiques, qui a néanmoins réussi à se hisser au dessus du million d’entrées en France.
Critique : Transformers – L’âge de l’extinction
Michael Bay met de l'eau dans son coca-cola (ou pepsi?) et, après le déjà très réussi No pain no gain, redonne un nouveau sens, peut-on l'espérer, à cette série jusqu'ici plus ennuyeuse que passionnante et à sa filmographie...
Critique POUR : Star Wars, Episode I – La Menace fantôme 3D
TANNNNNN TINNNNNN, TINTINTINTINNNNNNNNNNNNN TINNNNNNNNNNNNN TINTANTIN TANNNNNNNNNNNN ! Musique culte de John Williams, texte jaune déroulant sur l'immensité de l'espace, oui on est bien dans Star Wars.
Critique : Chair de poule – le film
Un homme marche seul avec une valise noire. Cette dernière s’ouvre et laisse s’envoler plusieurs manuscrits. Une ombre passe à travers la ville et semble avoir un effet sur le décor et les personnages. Une femme sur une affiche de publicité change et se met à arborer une expression de dégoût. Les yeux d’un chien projettent une lueur jaunâtre. Si on n’a pas encore zappé, c’est qu’on est jeune et donc curieux. Curieux de voir si cet épisode nous fera peur. Bien que la musique soit à elle seule inquiétante, on reste devant notre écran. C’est un soir normal après l’école, en hiver. On déprime de n’être qu’au début de la semaine. Le vent qui fait claquer les volets ne nous rassure pas. Il fait déjà nuit et on ne se doute pas qu’après avoir éteint la télé, on ne va pas beaucoup dormir. Des frissons parcourent tout notre corps et ce faisant expliquent à merveille le nom de cette série adaptée des livres de R.L. Stine : Chair de poule.
Critique CONTRE : Star Wars, Episode I – La Menace fantôme 3D
On n’échappe pas à la 3D et si ça continue, même les pirouettes d’Harry Langdon ou les facéties de Charlot seront tridimensionnelles. Quoi de plus normal donc que l’inusable saga lucasienne se laisse happer par le nouveau procédé vulgarisé par Cameron ? Ca commence avec La Menace fantôme. Mais 3D ou pas, ce film reste une purge innommable. La technicité au secours de la carence scénaristique : faut s’appeler Lucas pour croire à pareille couillonnade…


















