Critique : Star Wars, Episode VII – Le Réveil de la Force

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Est-ce qu’un film pourra satisfaire toutes les attentes auxquelles se voit confronté le septième épisode de la saga Star Wars ? La façon dont Disney a fait du battage pour rendre la sortie du film incontournable comporte aussi un côté sombre...

Critique : Transformers – L’âge de l’extinction

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Michael Bay met de l'eau dans son coca-cola (ou pepsi?) et, après le déjà très réussi No pain no gain, redonne un nouveau sens, peut-on l'espérer, à cette série jusqu'ici plus ennuyeuse que passionnante et à sa filmographie...

Defiance

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Une civilisation extraterrestre s'est invitée sur Terre. Leurs vaisseaux, contenant toutes espèces animales et végétales de leur monde, se sont écrasés sur Terre et ont terraformé une nouvelle planète. Après 30 ans de guerre, notre monde a changé, extraterrestres et humains y vivent côte à côte. Parcourant ces vastes étendues désolées où chacun lutte pour sa survie, l’énigmatique Nolan (Grant Bowler) s’établit dans la ville de St Louis (Missouri), rebaptisée Defiance, qui est un melting pot d’humains et de toutes sortes d’extraterrestres. Apprenant à cohabiter, les habitants reconstruisent leur ville, non seulement pour survivre, mais pour vivre pleinement dans ce monde. Cette histoire parle de bravoure, de survie et d’espoir. C'est une sorte de nouveau Far West. Des thèmes comme la cohabitation, la rencontre d’autres cultures et l’immigration sont au cœur de l’histoire.

Critique : Ghost in the Shell (2017)

Sorti ce mercredi dans nos salles, Ghost in the Shell de Rupert Sanders est le remake du classique d’animation de Mamoru Oshii sorti en 1995. Film de science-fiction d’anticipation ambitieux, cette œuvre adaptée d’un manga culte des années 1980 offrait une profondeur philosophique rare et abyssale, un film fédérateur et unique. Un peu plus de vingt ans plus tard, les américains de Paramount et Dreamworks se penchent sur l’affaire et nous offrent cette variation sur le même thème, portée par la prestation convaincue de Scarlett Johansson.
cockpit

Critique : Oblivion

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Oblivion - 2077 : Jack Harper, en station sur la planète Terre dont toute la population a été évacuée, est en charge de la sécurité et de la réparation des drones.

Critique : Le Dernier pub avant la fin du monde

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L’histoire débute le 22 juin 1990 dans la petite ville anglaise de Newton Haven : cinq adolescents au comble de l’âge ingrat fêtent la fin des cours en se lançant dans une tournée épique des pubs de la ville. Malgré leur enthousiasme, et avec l’absorption d’un nombre impressionnant de pintes de bière, ils ne parviennent pas à leur but, le dernier pub sur leur liste : The World’s End (La Fin du Monde). Une vingtaine d’années plus tard, nos cinq mousquetaires ont tous quitté leur ville natale et sont devenus des hommes avec femme, enfants et responsabilités, à l’alarmante exception de celui qui fut un temps leur meneur, Gary King, un quarantenaire tirant exagérément sur la corde de son adolescence attardée. L’incorrigible Gary, tristement conscient du décalage qui le sépare aujourd’hui de son meilleur ami d’antan Andy, souhaite coûte que coûte réitérer l’épreuve de leur marathon alcoolisé. Il convainc Andy, Steven, Oliver et Peter de se réunir un vendredi après-midi. Gary est comme un poisson dans l’eau. Le défi : une nuit, cinq potes, douze pubs, avec un minimum d’une pinte chacun par pub. À leur arrivée à Newton Haven, le club des cinq retrouve Sam, la soeur d’Oliver pour qui Gary et Steven en pincent toujours. Alors que la fine équipe tente, tant bien que mal, d’accorder le passé avec le présent, une série de retrouvailles avec de vieilles connaissances et des lieux familiers les font soudain prendre conscience que le véritable enjeu, c’est l’avenir, non seulement le leur, mais celui de l’humanité entière, et arriver à «La Fin du Monde» devient le dernier de leurs soucis...

Iron Man 3

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Tony Stark, l’industriel flamboyant qui est aussi Iron Man, est confronté cette fois à un ennemi qui va attaquer sur tous les fronts. Lorsque son univers personnel est détruit, Stark se lance dans une quête acharnée pour retrouver les coupables. Plus que jamais, son courage va être mis à l’épreuve, à chaque instant. Dos au mur, il ne peut plus compter que sur ses inventions, son ingéniosité, et son instinct pour protéger ses proches. Alors qu’il se jette dans la bataille, Stark va enfin découvrir la réponse à la question qui le hante secrètement depuis si longtemps : est-ce l’homme qui fait le costume ou bien le costume qui fait l’homme ?

Critique : Ex machina

La différence entre l’intelligence artificielle et naturelle est laissée volontairement vague dans ce premier film remarquable, qu’une partie de l’équipe de notre site a déjà pu découvrir lors de sa présentation au dernier festival de Gérardmer (cf. la critique de Julien à ce sujet). Distinguer ce qui relève encore de l’humain de ce qui appartient à l’ère nouvelle des robots y sert tout juste de prémisse à une guerre des nerfs passionnante dont les maîtres mots sont l’appréhension et le malaise affectif.

Critique : Edge of Tomorrow

Croisement brillant entre Starship Troopers et Un Jour sans fin, cette adaptation d’un roman de Hiroshi Sakurazaka (All you need is kill) est porté par deux acteurs en grande forme : Tom Cruise en mollasson prudent qui prend son temps pour devenir un super soldat et Emily Blunt en mode full metal bitch. Perdus dans une journée qui se répète sans fin, ils vont affronter, encore et encore, des extraterrestres belliqueux.

Critique : La Planète des singes : l’affrontement

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César et ses congénères reviennent dans ce nouveau volet de la saga de la Planète des Singes, un film d'action à taille humaine où l'aspect dramatique n'est pas sacrifié au détriment de l'action et inversement. Nous ne sommes qu'à l'aube de la planète des singes (pour reprendre le titre original) et l'on attend avec un a priori très positif le prochain volet qui sera encore signé a priori Matt Reeves, avec toujours Andy Serkis dans le rôle principal devenu l'expert incontesté de la motion capture, autant en tant qu'acteur que dans la maîtrise de la technique, comme en témoignait sa présentation de quelques séquences du film en avril dernier.

Entrevues Belfort 2017 : Le Monde sur le fil

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Rainer Werner Fassbinder, l'homme de tous les extrêmes ! Si les nombreux films réalisés par l'enfant terrible du cinéma allemand sont assez bien connus en France, son travail pour la télévision est resté plutôt confidentiel. En attendant la sortie au printemps prochain de la série fleuve de près de huit heures au titre hautement approprié Huit heures ne font pas un jour, nous avons sauté sur l'occasion offerte par le festival Entrevues Belfort de rattraper une autre épopée issue de la même période, c'est-à-dire le début des années 1970.

Critique : La 5ème vague

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Préparez-vous, la fin du monde est proche ! Au lieu de nous emmener vers des mondes merveilleux encore inexplorés, le cinéma de science-fiction se complaît à nous faire peur. Il y est presque toujours question d’une menace apocalyptique qui plane sur l’humanité, poussée dans ses derniers retranchements avant d’oser se confronter à un ennemi a priori invincible.

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Test Blu-ray : Double Dragon

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Sorti en 1994 aux États-Unis, Double Dragon s’inscrivait dans une vague Hollywoodienne de tentatives afin de de transposer les références du jeu vidéo sur grand écran. Et dans son créneau, le film assume son délire de série B avec une candeur presque touchante...

Critique : L’Étranger (François Ozon)

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« L’Étranger » d’Albert Camus compte parmi ces chefs-d’œuvre de la littérature qu’il aurait peut-être mieux valu ne jamais porter à l’écran. Puisque c’est chose faite depuis près de soixante ans à travers la version de Luchino Visconti avec Marcello Mastroianni, on ne va pas non plus reprocher à François Ozon d’avoir également tenté sa chance. Et d’avoir échoué … ?

Test Blu-ray 4K Ultra HD : Chair pour Frankenstein

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Derrière sa façade de série Z portée sur la tripaille et ses dialogues qui sentent le latex, Chair pour Frankenstein cache un vrai film. Un film qui, mine de rien, théorise sur le pouvoir, sur le désir, sur l’obsession de pureté, et sur le fait que vouloir créer la vie, c’est souvent finir avec les mains dans le cambouis et les pieds dans le caca.

Pariez en confiance : Melbet Tunisie et ses bonus exclusifs

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Albi 2025 : Ma frère

En termes de références de comédies de colonies de vacances, le cinéma français disposait jusqu’à présent de deux repères devenus cultes au fil du temps. Côté dramatique, en 1976, il y a eu La Meilleure façon de marcher de Claude Miller. Et côté comique, le duo Toledano / Nakache avait fait mouche trente ans plus tard grâce à Nos jours heureux.