Critique : Transformers – L’âge de l’extinction
Michael Bay met de l'eau dans son coca-cola (ou pepsi?) et, après le déjà très réussi No pain no gain, redonne un nouveau sens, peut-on l'espérer, à cette série jusqu'ici plus ennuyeuse que passionnante et à sa filmographie...
Critique : Les Gardiens de la Galaxie
Depuis le carton des Avengers en 2009, Marvel enchaîne les succès (Iron Man 3, Thor 2, Captain America : Le Soldat de l’hiver). Alors que les fans attendent avec impatience Avengers : Age of Ultron dont la sortie est prévue le 29 avril 2015, ce n’est ni une suite ni un spin-off qui débarque dans les salles cet été mais un vrai défi pour Marvel. Ces Gardiens de la Galaxie déboulent de nulle part -ou plutôt des comics les moins connus, et sans un casting de super stars à la rescousse. Pari osé, pari gagné ?
Critique : Terminator – Renaissance
Terminator - Renaissance est le premier film d’une nouvelle trilogie se déroulant après Terminator 2 - le jugement dernier (1991).
Premier teaser de Terminator Genysis
La relecture par Alan Taylor (Le Trône de fer) de la saga créée par James Cameron semble développer une idée intéressante, celle de revisiter...
Star Wars 7 : on connaît la distribution
Le tournage le plus attendu de ces dernières années commence bientôt et la distribution a été officiellement annoncée ce lundi 28 avril. Tout le...
Critique : Dune Deuxième Partie
Dune - Deuxième partie, la suite du tonitruant blockbuster à succès de Denis Villeneuve débarque dans les salles obscures. Est-ce que c’est le grand spectacle que vous attendez en ce début d’année ? Ça dépend un peu de vous…
Upside Down
Dans un univers extraordinaire vit un jeune homme ordinaire, Adam, qui tente de joindre les deux bouts dans un monde détruit par la guerre. Tout en luttant pour avancer dans la vie, il est hanté par le souvenir d’une belle jeune fille venant d’un monde d’abondance : Eden. Dans cet univers, son monde se trouve juste au-dessus de celui d’Adam - si près que lorsqu’il regarde vers le ciel, il peut voir ses villes étincelantes et ses champs fleuris. Mais cette proximité est trompeuse : l’entrée dans son monde est strictement interdite et la gravité de la planète d’Eden rend toute tentative extrêmement périlleuse.
Critique : The Circle
Alors que nous ne sommes qu'aux tout débuts de l'ère numérique, il est d'ores et déjà indispensable de disposer d'une présence virtuelle pour se faire entendre et donc exister. De nos jours, si vous n'avez ni profile Facebook, ni comptes Instagram et Twitter, ni smartphone dernière génération pour alimenter tout cela en permanence, vous serez au mieux la risée de vos proches et au pire définitivement largués d'une façon irrécupérable.
Critique : Soleil vert
Les films de science-fiction les plus inquiétants sont ceux qui gardent leur niveau d’anticipation assez accessible pour un public pas encore confronté aux voyages intergalactiques. L’incitation de faire le lien probable entre le présent amplement connu et un avenir pas si lointain s’avère alors beaucoup plus stimulante qu’un simple divertissement d’évasion.
Berlinale 2024 : Another End
La gestion du deuil est peut-être la tâche la plus difficile qui attend tôt ou tard chaque être humain, au fur et à mesure que le nombre de ses années de vie augmente. Comment prendre congé de l'être aimé ? Comment trouver la force d'avancer sans elle ou lui ? Et quelle importance accorder désormais à ce semblant de vie, définitivement tronqué par la disparition d'autrui ?
Critique : Rogue One: A Star Wars Story (contre)
Tentant de faire ressurgir le mythe du mythe initial, Le réveil de la force, septième épisode de la saga Star Wars, s’est vu partiellement tétanisé face au colosse que représentaient ses aînés. Un an après, Rogue One se présente comme une tentative d’affranchissement. Les moteurs parviendront-ils cette fois s’allumer pour de bon, laissant le souffle de la rébellion tout embraser sur son passage ?
Critique : La planète des singes – Suprématie
La planète des singes : suprématie est, mine de rien, le neuvième film de la saga initiée en 1968 - année grand cru pour le cinéma. Du livre éponyme de Pierre Boulle, le premier long-métrage choisissait de s'en éloigner avec sa fin inoubliable ; les quatre suites ont elles peu marqué l'Histoire du cinéma, tandis qu'avec le remake de 2001, Tim Burton signait un des pires films de sa carrière. C'est ainsi de plus moins nulle part qu'est sorti en 2011 La planète des singes : les origines. Reboot ou prequel de la saga, peu importe, Rupert Wyatt nous offrait un blockbuster (bien qu'au "petit" budget de 93 millions de dollars) assez introspectif, porté par un James Franco en forme et une motion-capture qui semblait franchir un nouveau cap technologique avec ses singes bluffants de réalisme. D'ailleurs, c'est paradoxalement Andy Serkis qui est le liant entre les trois volets de la nouvelle trilogie. Révélé dans le rôle de Gollum, premier personnage marquant prenant vie grâce à la motion-capture, il est depuis une quinzaine d'année la star de cette technique, et incarne donc César, héros de la trilogie.



















