Berlinale 2024 : Another End
La gestion du deuil est peut-être la tâche la plus difficile qui attend tôt ou tard chaque être humain, au fur et à mesure que le nombre de ses années de vie augmente. Comment prendre congé de l'être aimé ? Comment trouver la force d'avancer sans elle ou lui ? Et quelle importance accorder désormais à ce semblant de vie, définitivement tronqué par la disparition d'autrui ?
Critique : Transformers – L’âge de l’extinction
Michael Bay met de l'eau dans son coca-cola (ou pepsi?) et, après le déjà très réussi No pain no gain, redonne un nouveau sens, peut-on l'espérer, à cette série jusqu'ici plus ennuyeuse que passionnante et à sa filmographie...
Critique : Seul sur Mars
Dans la science-fiction filmique, la fiction a souvent le dessus sur la science, comme si le besoin de divertir était plus primordial au cinéma que celui d’instruire. Le risque est toujours grand de dévier vers le langage d’une émission ludique sur les mystères de l’univers.
Critique : Le Labyrinthe
Des adolescents dans un univers futuriste, contraints à lutter jusqu’à la mort, ça vous rappelle quelque chose ? Oui, Le Labyrinthe est un nouveau récit d’anticipation et d’apprentissage guerrier à la Hunger Games, avec castes qui s’opposent et/ou font alliance contre cet ennemi commun : l’Adulte…
Critique Express : Arco
Au mélange de poésie et de science-fiction que dégage ce film, " ajoute avec bonheur une bonne dose de burlesque.
The Last Days on Mars – Festival de Gérardmer 2014
Deuxième film révélé lors de la dernière édition de la Quinzaine des Réalisateurs 2013 présenté ici à Gérardmer en compétition, après We are what we are de Jim Mickle (critique), Last days on Mars n’est guère plus surprenant. Après le remake officiel d’un film mexicain, voici une relecture officieuse sans grande originalité d’un genre entier, le film de monstres dans l’espace. Des films de genre à la Quinzaine des Réalisateurs soit, mais piqués au Marché du Film, est-ce une bonne idée ?
Star Wars : Le Réveil de la Force : des noms de personnages révélés
Le réalisateur J.J.Abrams et sa productrice Kathleen Kennedy (la présidente de Lucasfilm) viennent de révéler les noms des nouveaux personnages que l'on pouvait découvrir...
Critique : Alita Battle Angel
Deux hommes-orchestres au style cinématographique distinct se sont repartis les tâches sur un film, qui ne ressemble finalement à l'univers ni de l'un, ni de l'autre. Et on aurait envie de dire tant mieux, puisque Alita Battle Angel bénéficie grandement de cette synergie créative afin de gommer les complaisances, voire les défauts qui ont pu rendre les filmographies de Robert Rodriguez et de James Cameron assez inégales dans le passé.
Critique : Hunger Games : La Révolte, partie 1
Sortie cette semaine du DVD/bluray (voir concours) du troisième film de la série des Hunger Games, un volet découpé en deux parties dont la dernière sera révélée en salles à la fin de l'année 2015.
Cannes 2018 : Fahrenheit 451 (Ramin Bahrani)
Édité au début des années 1950, le roman d'anticipation « Fahrenheit 451 » de Ray Bradbury avait marqué les esprits à cette époque-là. Dans la foulée, cette histoire pessimiste sur une société, où la littérature est considérée comme le mal absolu, avait été adaptée au cinéma par François Truffaut en 1966.
Critique : Star Trek Sans limites
Espace, frontière de l'infini, vers laquelle voyage notre cher J.J. Abrams. Sa mission avait été de relancer une licence fort appréciée en la modernisant de manière à faire face aux autres univers de science-fiction que l’on peut croiser dans nos salles obscures. Finalement, le réalisateur avait tellement bien accompli son travail qu’il s’est retrouvé à la tête du nouvel épisode de la saga Star Wars. Aujourd’hui c’est à Justin Lin, réalisateur de plusieurs Fast and Furious, de nous raconter la suite des aventures du capitaine Kirk et de son équipage qui vont se retrouver face à un « gros méchant pas beau » interprété par Idris Elba (qui n’est pas laid mais a une grosse voix).
Critique : Soleil vert
Les films de science-fiction les plus inquiétants sont ceux qui gardent leur niveau d’anticipation assez accessible pour un public pas encore confronté aux voyages intergalactiques. L’incitation de faire le lien probable entre le présent amplement connu et un avenir pas si lointain s’avère alors beaucoup plus stimulante qu’un simple divertissement d’évasion.



















