Dot., la plus petite animation stopmotion du monde filmée avec un microscope
Les films d'animation en "Stop Motion" sont divers et variés. Réalisés comme un court-métrage, ils sont souvent très ingénieux et leurs réalisateurs débordent d’ingéniosité pour créer une...
Critique : Un p’tit truc en plus
Le voici, le champion du box-office de cet été, le film qui a réuni plus de spectateurs en salles que n'importe quel autre depuis la crise sanitaire. Au jour d'aujourd'hui, on en est quand même à plus de dix millions d'entrées, à mi-chemin du territoire ultra-exclusif de La Grande vadrouille, de Bienvenue chez les Ch'tis et d'Intouchables !
Bergamo Film Meeting 2017 : Waldstille
Une tragédie familiale est explorée en long et en large dans le deuxième film du réalisateur néerlandais Martijn Maria Smits, présenté en compétition au Festival de Bergame. Hélas, il ne ressort rien d'extraordinairement original ou poignant de Waldstille, si ce n'est l'obstination largement contenue d'un père de revoir sa fille.
Le Jour de la Grenouille
Alors qu’elle est sur le point de faire une découverte importante sur le site où elle travaille comme archéologue, Anna est victime d’un accident qui la plonge dans un coma profond. Des allers et retours entre le présent et le passé permettent de donner une identité à cette jeune femme passionnée, de sa rencontre avec un collègue en passant par ses rapports houleux avec sa mère alcoolique.
Red Eagle
Actuellement, les tarifs de groupe sont de mise du côté de Marvel et DC Comics, à tel point qu'il en coule à flot ces dernières années. Entre The Green Hornet, Iron Man, Thor, Superman ou Batman – et j'en passe ! – Wild Side Video tente de nous faire sortir de ces sentiers battus avec Red Eagle, un film de Wisit Sasanetieng, réalisateur Thaïlandais qui revisite un héros local au premier abord plutôt intrigant...
House of Last Things
Alan, un critique de musique classique à succès, et son épouse Sarah, une femme encore secouée par un traumatisme passé, décident de quitter leur spacieuse demeure de Portland pour passer des vacances en Italie. Alan fait garder leur maison par Kelly, bientôt rejointe par son frère cadet Tim et son petit ami Jesse. Un jour, Jesse kidnappe Adam, un enfant de huit ans, dans un supermarché. Mais Adam n’est pas celui qu’il semble être. Personne n’est à sa recherche, et il semble exercer un étrange pouvoir sur les occupants de la maison.
Critique : Love Lies Bleeding
Le film de Rose Glass Love Lies Bleeding est un joyeux bordel, très divertissant, qui s’appuie sur l’héritage du thriller “romantique”, tout en prenant un malin plaisir à le malmener.
Le Policier
Policeman a pour héros le membre d'une unité antiterroriste israélienne confronté à un groupe de jeunes radicaux preneurs d'otages. En dépit de leur antagonisme social, les protagonistes, frappant par leur similaires violence et naïveté, resteront cantonnés aux rôles que leur attribue un réel sans rémission.
Cannes 2017 : Vers la lumière
Naomi Kawase revient sur la croisette pour présenter Vers la lumière, une nouvelle romance entre deux être marginaux comme la réalisatrice à le secret. En sortant de la projection, un sentiment prédomine, et si Naomi Kawase remportait (enfin) la Palme d’or avec Vers la lumière ?
Cannes 2016 : Risk – Quinzaine
Un an après avoir remporté l’oscar du meilleur documentaire pour Citizen Four, Laura Poitras fait le portrait d’un autre lanceur d’alertes, Julian Assange. Ce dernier est le fondateur de la plateforme Wikileaks, et est depuis quatre ans reclus dans l’ambassade de l’Equateur en Angleterre pour ne pas être extradé aux Etats-Unis. Elle continue ainsi d’interroger le thème de la liberté d’expression et de la surveillance de masse sous le gouvernement d’Obama.
Berlinale 2019 : Der Boden unter den Füssen
Les pathologies psychiques ou physiques traitées à l'hôpital constituent le fil rouge peu reluisant des premiers films présentés en compétition au Festival de Berlin cette année. Qu'est-ce qu'on y souffre, en effet, dans ces histoires pessimistes, voire glauques, qui vont finir par nous peser sur le moral si la tendance ne s'inverse pas rapidement !
Critique : Les Espiègles
La première chose qui me vient à l’esprit lorsque j’évoque ce style de courts métrages, c’est une forme de soulagement… J’ai, en effet, souvent peur que l’horizon cinématographique de nos jeunes spectateurs se réduise uniquement à des superproductions numériques gorgées de couleurs criardes et d’une dérision flirtant trop souvent avec des clichés rebattus. Bien sûr, se produit parfois un petit miracle, mais pour un Zootopie, combien de déceptions !! Alors, lorsque arrive sur nos écrans un film utilisant des techniques d’animation plus artisanales,