Lupita N’Yongo et Gwendoline Christie dans Star Wars 7
LucasFilm a annoncé officiellement sur son site officiel StarWars.com deux nouvelles actrices dans la distribution : Lupita N'Yongo, lauréate de l'oscar de la meilleure actrice dans un second rôle cette année pour 12 years a slave de Steve McQueen et Gwendoline Christie, révélée par la série Le Trône de Fer (Game of thrones) dans le rôle de Brienne of Tarth. Elle sera bientôt présente dans le prochain volet de Hunger Games en deux parties, sous-titré La révolte.
Passion
Deux femmes se livrent à un jeu de manipulation pervers au sein d'une multinationale. Isabelle est fascinée par sa supérieure, Christine. Cette dernière profite de son ascendant sur Isabelle pour l'entraîner dans un jeu de séduction et de manipulation, de domination et de servitude.
Critique : Welcome in Vienna – Partie 1 : Dieu ne croit plus en...
Premier film de ce qui sera la trilogie « Welcome in Vienna » , « Dieu ne croit plus en nous » revient sur un des moments souvent ignorés par le cinéma: la fuite et la traque des juifs autrichiens et des allemands refusant le nazisme de 1938 au début de la guerre.
Bergamo Film Meeting 2017 : Diorthosi
Avant la crise financière et migratoire, en amont des bizarreries cinématographiques pour lesquelles le réalisateur Yorgos Lanthimos reçoit désormais une attention internationale sans partage, se passait-il quelque chose dans les rues et sur les écrans grecs ? Cette interrogation à peine facétieuse trouve une réponse des plus stimulantes à travers le deuxième long-métrage de fiction du réalisateur Thanos Anastopoulos, dont le documentaire L'ultima spiaggia était sorti en France en novembre dernier.
Critique : Tale of tales
« Miroir, miroir joli, qui est la plus belle au pays ? » : contrairement à cette citation de Blanche Neige et les sept nains, la quête de la beauté n’est pas au centre du nouveau film de Matteo Garrone, mais plutôt celle de la laideur monstrueuse.
Critique : Volubilis
Sous couvert de l'histoire sentimentale d'un jeune couple que le manque de moyen oblige à vivre comme s'ils n'étaient pas mariés," Volubilis" est en fait un film très politique qui montre clairement les dégâts causés par la mondialisation néolibérale dans un pays comme le Maroc, avec un fossé de plus en plus grand entre la classe des nantis, faite de gens pleins d'arrogance vivant dans de grandes maisons avec piscine et celle des gens du peuple qui vivent chichement dans de petits appartements avec plein d'enfants et peu de place.
Critique : Le Bonheur est pour demain (Brigitte Sy)
Dans les années 1990, une fasciantion différente émanait-elle du monde des gangsters, ce mythe qui n'avait pas encore été sacrifié sur l'autel de toutes sortes de luttes idéologiques ? Par conséquent, est-ce qu'un hommage nostalgique à ces hors-la-loi fait sens trente ans plus tard, sans pour autant en tirer quelque conclusion rétrospective que ce soit ?
Critique : Troppa grazia
Face à ce film bien réalisé, bien interprété et qui s'avère très riche dans sa thématique, on regrette juste que le réalisateur et ses scénaristes donnent l'impression d'avoir eu du mal à accoucher de la conclusion.
Critique : Mezzanotte
Les films qui ont fondé le désir de cinéma de Sebastiano Riso sont, d'après lui, "Les 400 Coups" de François Truffaut et "Allemagne Année zéro" de Roberto Rossellini : le gouffre entre ces modèles et Mezzanotte, sa première réalisation, est profond, très profond.
Critique : Problemski Hotel
Un film de Riche sur les damnés de la terre, tout à la fois sombre et lumineux, désespéré et plein d'espoirs.
Critique : Rogue One: A Star Wars Story (contre)
Tentant de faire ressurgir le mythe du mythe initial, Le réveil de la force, septième épisode de la saga Star Wars, s’est vu partiellement tétanisé face au colosse que représentaient ses aînés. Un an après, Rogue One se présente comme une tentative d’affranchissement. Les moteurs parviendront-ils cette fois s’allumer pour de bon, laissant le souffle de la rébellion tout embraser sur son passage ?
Sarlat 2024 : Je suis toujours là
Comme tous les pays latinoaméricains ou presque, le Brésil a dû passer par une dictature militaire à un moment assez récent de sa longue histoire mouvementée. Ce fut pendant plus de vingt ans, entre 1964 et 1985. Une période qui a certainement laissé des traces, mais qui aura également permis aux Brésiliens contemporains d'être particulièrement attachés aux bienfaits de leur jeune démocratie.