Cannes 2017 : Le jour d’après
C'est le troisième film du cinéaste coréen présenté en festival depuis le début de l'année. On the beach the night alone était ainsi présent au Festival de Berlin en janvier dernier, et La caméra de Claire en hors compétition dimanche, à Cannes. De plus est sorti en février un autre film de Hong Yourself and yours ! Que vaut donc le "dernier" (?) Hong so
Critique : Respire
Deuxième long-métrage de la comédienne Mélanie Laurent, Respire a été très bien reçu lors de sa présentation à la Semaine de la Critique lors du dernier Festival de Cannes. Était-ce mérité ?
Anna Karenine
Anna quitte Saint-Pétersbourg, en y laissant mari et fils, pour réconcilier son frère Stiva et son épouse Dolly après un adultère. Sur le quai de la gare, elle fait la connaissance du Comte Vronski. C’est le coup de foudre suivi d’une passion qui mènera Anna vers une fuite improbable, son époux arcbouté sur des principes ne lui laissant comme seule échappatoire que de rentrer dans le rang ou de disparaître.
Ill Manors
Kirby, ex dealer, vient de sortir de prison, Ed est une tête brûlée, Michelle, une prostituée sous surveillance et le jeune Jack, se trouve empêtré au sein d'un gang local. Chris est déterminé à se venger et Katya cherche désespérément à fuir ce trouble voisinage. Sans oublier Aaron, notre protagoniste, qui essaie juste d'être un type bien...
Critique : Primary colors
Qu’est-ce qui a rendu la présidence de Bill Clinton exquise au point de générer une série de films, pendant les années 1990, globalement destinés à mettre en valeur l’homme le plus puissant des Etats-Unis ? Entre le Rambo en costard interprété par Harrison Ford dans Air Force One de Wolfgang Petersen et le séducteur né sous le traits de Michael Douglas dans Le Président et Miss Wade de Rob Reiner, en passant accessoirement par la biographie sur les excès de Nixon de Oliver Stone, les exemples ne manquent pas pour remarquer une empreinte du côté de la fiction, soutenue et principalement positive, de l’occupant de la Maison blanche – sans oublier bien sûr la série à succès légèrement ultérieure à cette époque-là avec Martin Sheen en président.
Hanna
Quand la troublante Saoirse Ronan (Lovely Bones) rencontre la belle Cate Blanchett dans un film réalisé par Joe Wright et sur une musique des Chemical Brothers, ça donne la plus grande surprise de l'année 2011. Hanna est un film déroutant, à mi-chemin entre un film d'action, un drame et un conte de fée moderne. Attention, préparez-vous à en prendre plein la vue.
Cannes 2019 : Une fille facile (Quinzaine)
Autant le dire tout de suite, Une fille facile sent l'été à plein nez. Tourné en grande partie à Cannes, les scènes de plages ou de yachts, les bikinis et les chaudes nuits se finissant en boites de nuit donnent une odeur particulièrement estivale au film de la réalisatrice française de 39 ans.
À voir en VOD : La loi de la jungle
La loi de la jungle est disponible en VOD à l’acte et en téléchargement définitif sur la majorité des plate-formes de Vidéo à la demande : MyTF1, Orange, Google Play, Canal VOD...
Berlinale 2023 : Ingeborg Bachmann Reise in die Wüste
Margarethe von Trotta fait des films hors du temps. Autrefois, quand ces distinctions critiques avaient encore un sens, on l'aurait sans doute classée parmi les auteurs. Car peu importent les modes formelles et les sujets d'actualité, la réalisatrice allemande reste imperturbablement fidèle à son style, marqué par une formidable rigueur germanique.
Critique : Adieu Mandalay
Si l'on se fiait exclusivement au matériel promotionnel – bande-annonce, affiche et photos – de ce film, ce qui est après tout le type d'approche par lequel s'enclenche habituellement de nos jours la consommation cinématographique, on pourrait croire qu'il s'agisse d'une œuvre poisseuse et fiévreuse, en mesure de tirer un vocabulaire visuel fort de paysages exotiques et de corps langoureux.
Cannes 2014 : Whiplash
Whiplash est comme son titre l'indique, un coup de fouet administré par un réalisateur doué, accompagné par deux grands acteurs qui se livrent à un duel inoubliable : Miles Teller en batteur ambitieux et J.K.Simmons en mentor trop exigeant.
Critique Express : Je m’abandonne à toi
On peut ne pas partager la foi de la réalisatrice et de son personnage principal, on peut ne pas partager l'admiration sans faille que Cheyenne Carron porte à l'armée en général et à la Légion étrangère en particulier et se montrer quand même sensible à la force tranquille du padre Paul, même si on a souvent la sensation qu'elle trouve sa naissance dans une certaine naïveté.