Berlinale 2019 : Un hiver à New York
Avant le lancement de la projection presse du film d'ouverture du 69ème Festival de Berlin, la responsable de la salle où défileront pendant les onze jours à venir des dizaines et des dizaines d'heures d'images en mouvement était montée sur scène pour souhaiter aux journalistes venus du monde entier un bon festival, placé sous le signe de la joie et de la gentillesse.
Critique Express : Hit the road
c'est un euphémisme d'affirmer que le "Hit the road" de Panah Panahi est loin, très loin d'avoir les qualités des films de Jafar Panahi, son père.
Ce que le jour doit à la nuit
Algérie, années 1930. Younes a 9 ans lorsqu'il est confié à son oncle pharmacien à Oran. Rebaptisé Jonas, il grandit parmi les jeunes de Rio Salado dont il devient l'ami. Dans la bande, il y a Émilie, la fille dont tous sont amoureux. Entre Jonas et elle naîtra une grande histoire d'amour, qui sera bientôt troublée par les conflits qui agitent le pays.
Critique : Une nuit
Avec "Guy", on avait cru assister à la naissance d'un réalisateur très prometteur. Face à ce film qui, certes, se voit sans déplaisir mais manque d'une certaine profondeur, la déception est donc à la hauteur de l'espérance qu'on pouvait avoir.
Critique : Le défi du champion
"Le défi du champion" a tout pour devenir la bonne surprise cinématographique de l'été !
Critique : Moffie
Oui, "Moffie" est un film sur la formation des recrues au sein d'une armée, un de plus diront les blasé.e.s. Sauf que celui-ci présente un certain nombre de particularités qui en font un film "tout neuf" qui nous en apprend beaucoup sur l'Afrique du Sud au temps de l'apartheid
Critique : Tristana
Personne n'a autant su dévoiler le côté sombre de l'image publique de la déesse du cinéma français Catherine Deneuve que Luis Buñuel. Et même si le démontage du cliché de la beauté aussi innocente que glaciale n'atteint pas dans Tristana les sommets de la perversion que Belle de jour avait si brillamment côtoyés trois ans plus tôt, il demeure malgré tout un conte moral hautement subversif.
Critique : Kuessipan
En nous intéressant à l'évolution de l'amitié entre deux jeunes filles fort différentes l'une de l'autre et en posant les bonnes questions quant aux limites entre ce qui ressort de la protection de la culture d’un peuple et un repli identitaire, Myriam Verreault a très bien réussi son premier long métrage.
Critique : The last tree
Grâce, en particulier, à la beauté des images et à la tension qui se dégage tout au long du film, "The last tree" arrive à surprendre le spectateur alors que l'histoire racontée n'est pas vraiment une nouveauté dans l'histoire du cinéma. A coup sûr, Shola Amoo est un réalisateur à suivre dans le futur.
Intégrale Claude Berri #01 : Le vieil homme et l’enfant (1967)
Récit semi-autobiographique pour lequel Claude Berri a puisé dans ses souvenirs d’enfance, Le vieil homme et l'enfant propose au spectateur un retour à une période sombre : celle d’une France pétainiste au cœur de laquelle les Juifs, les rouges et les francs-maçons étaient considérés comme la cause de tous les maux du pays. Mais, bien déterminé à creuser un peu derrière la surface, le cinéaste décide de nous raconter l’amour et l’attachement profonds nés entre un petit garçon juif et un vieil homme antisémite et bourru…
Critique : Si le vent tombe
Même si le film souffre parfois de quelques longueurs, "Si le vent tombe" n'en a pas moins une importance de type historique en étant le reflet réaliste d'une situation qui a cessé d'exister peu après qu'il ait été tourné.
Critique : L’inconnu du lac
L'été. Un lieu de drague pour hommes, caché au bord d'un lac. Franck tombe amoureux de Michel. Un homme beau, puissant et mortellement dangereux. Franck le sait, mais il veut vivre cette passion.