Critique Express : Lumière pâle sur les collines

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Un film plein de sensibilité sur les blessures du passé mais qui manque parfois dec clarté dans son discours.

Critique Express : Kouté vwa

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Considérant que la dimension tragique de l'histoire racontée serait plus facilement ressentie dans un registre narratif et que les personnages principaux seraient plus libres en étant conscients qu'ils jouaient un rôle,  Maxime et Audrey Jean-Baptiste ont choisi d'orienter leur film vers la fiction,  même si, très souvent, il s'apparente à un documentaire.

Critique Express : My sunshine

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Un film qui, à un gros détail près, est en phase avec ce qu'on a coutume d'appeler l'esprit de Noël.

Critique Express : Motel Destino

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Le fait d'avoir appartenu à la sélection concourant à Cannes pour la Palme d'or est-il forcément un gage de qualité ? La réponse est négative et ce nouveau film de Karim Aïnouz en apporte une nouvelle preuve.

Critique Express : Résistances – Quartiers lointains – Saison 8

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On ne peut que remercier Quartiers lointains et Sudu Connexion d'avoir eu l'idée de réunir et de distribuer 4 court-métrages africains dans un film ayant au total la durée d'un long métrage

Critique Express : Push it to the limit

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Oui, c'est un film noir,  non, ce n'est pas seulement un film noir.

Critique: The Bikeriders

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Malheureusement très convenu, le dernier film de Jeff Nichols ne sera pas l’occasion d’heureuses retrouvailles. Celui qui enchantait dans “Shotgun stories”, “Mud” ou “Take shelter” en mélangeant Americana prolétaire et magie de l’enfance a perdu tout son mordant.

Critique Express : Pepe

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N'est-ce pas particulièrement agréable de commencer une nouvelle année avec un film qui ne cesse de vous surprendre, de vous envouter ?

Critique : Tout ira bien

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Une histoire qui se passe à Hong-Kong et qui concerne avant tout une femme âgée ayant vécu en concubinage avec une autre femme mais qui pourrait se dérouler plus ou moins de la même façon un peu partout dans le monde à l'issue d'une relation amoureuse, qu'elle soit homosexuelle ou hétérosexuelle, pour peu que les conséquences du décès n'aient pas été suffisamment bien préparées.

Critique : No nos moverán

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Film de vengeance, "No nos  moverán" a ceci de particulier qu'il ne fait pas partie d'un genre particulier, se permettant au contraire de relever de plusieurs genres, les principaux étant le drame, le thriller et, surtout, la comédie noire.

Critique Express : Excursion

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"Excursion" nous permet de faire connaissance avec une jeune comédienne absolument remarquable, Asja Zara Lagumdžija, l'interprète d'Iman. 

Critique : Martha

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Célébré à juste titre pour ses plus de vingt longs-métrages de cinéma, tournés à un rythme endiablé en l'espace de treize ans, Rainer Werner Fassbinder excellait tout autant dans son travail pour la télévision allemande. Les mini-séries « Huit heures ne font pas un jour » et « Berlin Alexanderplatz » en témoignent brillamment.

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Test Blu-ray : I Love Peru

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I Love Peru est un docufiction burlesque dans lequel Raphaël Quenard joue son propre rôle avec une sacrée dose d’auto-dérision. Co-réalisé avec Hugo David, le film s’impose comme un curieux objet filmique, à mi-chemin entre l’autoportrait déglingué, le trip mystique et le journal intime d’un acteur en pleine crise d’ego...

Sarlat 2025 : Les Enfants vont bien

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A en croire les bruits de couloir pendant le Festival de Sarlat, le thème récurrent de cette 34ème édition était la recherche d’un nouveau foyer de la part d’enfants délaissés. Apparemment, Love Me Tender de Anna Cazenave Cambet et On vous croit de Charlotte Devillers et Arnaud Dufeys en traitaient, ainsi que – sans trop vouloir élargir l’échantillon d’œuvres concernées – Promis le ciel de Erige Sehiri.

Test Blu-ray : Sinners

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Sinners, c’est un peu comme si le cinéma américain avait décidé de se souvenir qu’il avait une âme. Pas une âme propre, bien sûr — ce serait trop simple — mais une âme cabossée, pleine de blues, de sang, de jumeaux hantés et de plans-séquences qui feraient passer Alfonso Cuarón pour un stagiaire en école de cinéma.

Sarlat 2025 : Animal totem

Comme le disait l’éminent Fritz Lang, le format d’écran large est fait pour les serpents et les enterrements. Dans Animal totem, il aurait pu y avoir légitimement les premiers et, on le craint, il y a au moins métaphoriquement le deuxième. Car en optant pour un format extrêmement large, du 3:55 pour les puristes, le réalisateur Benoît Delépine bouscule nos habitudes de visionnage.

Sarlat 2025 : Promis le ciel

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En règle générale, le parcours d’immigration n’est linéaire pour personne. A plus forte raison lorsqu’il se faufile dans la clandestinité, à l’écart des canaux officiels, sursaturés depuis longtemps. Ainsi, il y a des moments de précipitation au risque de sa propre vie d’un côté et des pauses lénifiantes de l’autre, qui coïncident avec une situation bloquée dont on peine à percevoir une issue favorable.