Critique : Mustang
C'est dans son pays natal, la Turquie, que Deniz Gamze Ergüven est allée tourner "Mustang", un film féministe et lumineux qui sort quelques jours après des élections dont le résultat peut donner un petit peu d'espoir aux filles et aux femmes de ce pays. "Mustang" a été particulièrement bien accueilli à la Quinzaine des Réalisateurs de Cannes 2015.
Critique : Les heures sombres
Après Orgueils et Préjugés et Anna Karenine, Joe Wright s’essayait à un nouveau registre avec Pan, libre adaptation de Peter Pan. Il revient cette fois, dans un autre style encore, avec ce biopic sur Churchill. Porté par Gary Oldman, vainqueur du Golden Globe du Meilleur acteur dans un drame, Les Heures Sombres raconte l’ascension de Churchill au poste de Premier Ministre, l’opération Dynamo et surtout sa détermination pour tenir tête à Hitler.
Million Dollar Baby
Million Dollar Baby, film dramatique aux multiples récompenses (César du meilleur film, Oscar du meilleur film, meilleur réalisateur, …) est un long-métrage qui confirme encore une fois le talent de Clint Eastwood. Réalisateur depuis quarante ans maintenant, l’homme aux multiples casquettes s’est intéressé au sein de ce film à la consécration d’une boxeuse (et dans un même temps d’une actrice), aux relations compliquées, au passé difficile… Hilary Swank, personnage central, connait grâce au film un succès mondial.
Carrie au bal du diable
Carrie au bal du diable est un film d'épouvante de Brian De palma sorti en 1976 et adapté du roman Carrie de Stephen King. Le film a connu un véritable succès critique en remportant le Grand Prix au Festival d'Avoriaz de 1977 et 2 nominations aux Oscars pour Sissy Spacek (Carrie) et Piper Laurie (la mère de Carrie, Maragaret) dans les catégories Meilleure actrice et Meilleure actrice dans un second rôle.
Critique : Limbo
Sans gommer le côté tragique de la situation des demandeurs d'asile patientant sur une île écossaise, l'humour apporte une fraicheur qui, finalement, ne fait que renforcer l'empathie qu'on peut ressentir à leur sujet.
Critique : Gagarine
Il est rare que le cinéma français quitte un réalisme pur et dur pour partir vers un réalisme magique, mélange de poésie et d'onirisme, digne de ce qui se fait beaucoup plus couramment dans les divers cinémas sud-américains. Fanny Liatard et Jérémy Trouilh ont osé procéder à ce pas de côté et on ne peut que s'en féliciter tant la réussite s'est invitée tout au long de ce chemin.
Pink Floyd : The Wall
Pink Floyd : The Wall est un film musical réalisé en 1982 par Alan Parker, réalisateur, compositeur, scénariste et producteur britannique. Il repose sur le double album du même nom du célèbre groupe Pink Floyd. Cinquième film du réalisateur, le film à la fois étonnant et effrayant, traitant des sujets lourds, est une réussite totale !
Suzanne
Le récit d’un destin. Celui de Suzanne et des siens. Les liens qui les unissent, les retiennent et l'amour qu’elle poursuit jusqu'à tout abandonner derrière elle...
Critique : Compartiment N°6
On sent bien que le réalisateur a cherché à nous montrer l'influence que la rencontre avec un inconnu peut avoir sur la perception qu'on a de soi-même mais, franchement, si le résultat est plutôt sympathique, il est surtout poussif et passablement ennuyeux.
Intégrale Claude Berri #17 : Une femme de ménage (2002)
Une femme de ménage n’est pas un film imaginé par Claude Berri mais l’adaptation d’un roman signé Christian Olster. Mais contre toute attente, le film, qui développe une intrigue sentimentale assez touchante sur un sujet aussi modeste que sensible permet au cinéaste de livrer au spectateur un de ses plus jolis films, prolongeant par bien des aspects des thématiques déjà abordées dans son cinéma durant les années précédentes…
Critique : Le collier rouge
"Le collier rouge" ne révolutionnera pas l'histoire du cinéma mais ce film a le mérite de mettre l'accent sur des scènes de fraternisation entre soldats ennemis durant la guerre de 14 et de dénoncer les puissants et les profiteurs à l'origine de cette guerre.
Critique : Brève rencontre
La période anglaise des débuts de la filmographie de David Lean n’est peut-être pas aussi prestigieuse que la suivante, avec ses cinq épopées qui allaient conquérir un public international en quête d’émotions et de visuels plus grands que nature. Cette première partie de l’œuvre du réalisateur est avant tout ponctuée d’adaptations littéraires respectueuses et respectables et d’autres films de genre débordant du spleen britannique propre aux années 1940.