Critique express : L’Histoire naturelle de la destruction
Une plongée politique et poétique dans les images d’archives de la Seconde Guerre Mondiale
Fondé sur les images d’archive de la Seconde Guerre Mondiale, inspiré du livre De la destruction comme élément de l'histoire naturelle de W.G. Sebald et sans commentaire, ce documentaire pose des questions actuelles au vu des évènements tragiques en Ukraine imposé par la Russie depuis plus de cent jours.
Critique Express : Etat limite
Passionnant à regarder, souvent émouvant.
Critique Express : Krishnamurti, la révolution du silence
A la fin de ce film on n'a qu'une envie : s'efforcer d'en savoir davantage sur Jiddu Krishnamurti, un homme méconnu et très particulier.
Critique : Woody Allen : A Documentary
Un regard intime sur la vie, la carrière et le processus créatif de l’auteur-réalisateur le plus prolifique des États-Unis, de sa plus tendre enfance à Brooklyn jusqu’à la sortie de son dernier film à succès "Minuit à Paris".
Critique: Dahomey (Deuxième avis)
Sans entrer dans des considérations absurdes sur la pertinence de son succès en festival ou de son message politique, le documentaire de Mati Diop est plutôt un objet filmique inégal mêlant reportage politique passionnant et tentative de fictionnalisation plus bancale.
Critique : Dead slow ahead
Permettez-nous de commencer ce texte par une petite digression, à l’image de ces gros navires qui font du surplace en attendant de connaître leur destination et d’arriver en fin de compte à bon port : et si Frederick Wiseman faisait un jour un documentaire sur un paquebot ? L’observateur en chef des microcosmes sociaux serait certainement dans son élément à bord de ces forteresses flottantes, qui reflètent pleinement notre culture contemporaine de vacances aseptisées, voire suspendues dans un pays de cocagne artificiellement idéalisé.
Critique : Le Capital au XXIe siècle
Le nouveau monde, après l'épidémie planétaire du coronavirus, sera-t-il réellement différent ? Ou bien, les mêmes structures du pouvoir et de la répartition des richesses, en vigueur depuis des siècles, n'en sortiront-elles que renforcées ? Le documentaire Le Capital au XXIe siècle de Justin Pemberton et Thomas Piketty ne dispose bien sûr d'aucune boule de cristal magique, en mesure de prédire l'avenir.
Biarritz 2019 : Vida a bordo
Sur un bateau, il ne se passe rien. Surtout, quand il parcourt lentement les rivières à l'intérieur d'un pays, au lieu de chercher l'aventure face au déchaînement des éléments sur les océans. On pourrait même argumenter que le succès de l'industrie des croisières est fondé sur cette vacuité extérieure, qui, par conséquent, donne amplement le temps aux voyageurs de profiter des nombreuses activités proposées à bord.
Critique : Dancing in Jaffa
La danse de salon est un univers qui n'est sans doute familier qu'à une poignée de cinéphiles. Autant dire qu'un documentaire s'intéressant à cet univers n'est pas a priori susceptible de passionner un nombre important d'habitués des salles obscures. Sauf si ce documentaire est réalisé par une documentariste israélienne qui va suivre le travail d'un natif de Jaffa devenu champion du monde de danse de salon et qui va passer plusieurs semaines dans sa ville natale à essayer de faire danser ensemble des enfants palestiniens et israéliens.
Journal de France
C’est un journal, un voyage dans le temps, il photographie la France, elle retrouve des bouts de films inédits qu’il garde précieusement : ses débuts à la caméra, ses reportages autour du monde, des bribes de leur mémoire, de notre histoire.
La Roche-sur-Yon 2016 : Brødre Markus et Lukas
Boyhood a visiblement fait des émules. Pour être honnête, cette introduction est aussi facile qu’approximative. Chaque critique sur ce documentaire norvégien risque en effet de faire référence au drame familial de Richard Linklater, qui racontait en 2014 l’enfance et l’adolescence de deux personnages fictifs, frère et sœur, au fil de douze ans de tournage.
Critique : Douce France
Pour une fois où un film nous présente des jeunes du 93 sans recherche du sensationnel et sans aucune démagogie, on ne va surtout pas s'en plaindre.


















