Wall Street 2

Wall Street : l’argent ne dort jamais, Oliver Stone

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Wall Street : l'argent ne dort jamais est un film d'Oliver Stone sorti en septembre 2010. Il s'agit de la suite du film du même nom datant de 1987 qui a connu un grand succès. Notons que c'est le premier film d'Oliver Stone à avoir été projeté au festival de Cannes. Le film relate le krach boursier de 2008 en suivant le parcours d'un jeune trader. Produit par la Twentieth Century Fox pour un budget d'environ 60 millions de dollars, il s'agit de l'un des plus gros budgets de l'année de la compagnie.

L’Ecume des jours – 1968 (contre)

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Colin et Chloé vivent un amour fou. Mais la jeune fille est bientôt victime d'une étrange maladie: un nénuphar pousse dans ses poumons, l'empêchant peu à peu de respirer.

The We and the I – La critique contre

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C'est la fin de l'année. Les élèves d’un lycée du Bronx grimpent dans le même bus pour un dernier trajet ensemble avant l’été. Le groupe d'adolescents bruyants et exubérants, avec ses bizuteurs, ses victimes, ses amoureux… évolue et se transforme au fur et à mesure que le bus se vide. Les relations deviennent alors plus intimes et nous révèlent les facettes cachées de leur personnalité…

Critique : Super-héros malgré lui

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Décidément, on aura toujours autant de mal avec l'humour selon Philippe Lacheau et sa bande. Certes, nous pensons en comprendre les dispositifs et les ressorts. Et pourtant, cette nouvelle farce avec ses blagues passablement poussives ne nous a réellement fait rigoler qu'une maigre fois.

Critique : Bis

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Franck Dubosc et Kad Merad réunis dans le même film, cela ne peut donner rien de bon ! Notre appréhension ne résulte pas tant d’un a priori général à l’égard de la comédie populaire française, mais de l’absence d’évolution de la carrière de ces deux acteurs, qui paraissent incapables de transgresser les limites rigides des personnages caricaturaux grâce auxquels ils ont fait fortune. Dubosc, le bon vivant un brin libidineux, et Merad, le bon bougre qui se démène comme il le peut dans son existence de souffre-douleur, représentent certes une sorte de pilier du genre. Mais leurs frasques finissent rapidement par lasser, faute d’un quelconque renouvellement de leur registre. L’espoir de voir quelque chose d’à peu près frais s’estompe ainsi sans tarder face à cette comédie, qui recycle de surcroît bon nombre de dispositifs éculés du fantastique.

Critique Express : Les femmes au balcon

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Les réalisatrices ont parfaitement le droit d'être médiocres, même sur des sujets qui leur tiennent à cœur.

Critique : Le Pigeon

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Les films qui trônent au sommet du sous-genre de la comédie à l'italienne sont si irrésistibles – au point d'être indémodables –, parce qu'ils savent jouer en toute allégresse avec la faillibilité de la nature humaine. Pour faire simple, les enjeux purement dramatiques y servent de façade à un feu d'artifice de gags et autres frivolités linguistiques, dont la vocation principale est de se moquer avec autant d'intelligence que de sympathie de l'état d'esprit propre à nos voisins transalpins.

Critique : The Grand Budapest Hotel

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Après La Famille Tenenbaum, Fantastic Mr Fox et autre Moonrise Kingdom, Wes Anderson nous invite dans un nouvel univers bigarré et coloré, peuplé d'une belle galerie de personnages farfelus.

Mais qui a re-tué Pamela Rose?

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Quand il reçoit un appel du shérif de Bornsville lui annonçant que le cercueil de Pamela Rose a été volé, l’agent Douglas Riper voit là une occasion de renouer les liens avec son ancien coéquipier Richard Bullit. Un ex-ami avec lequel il est brouillé, depuis des années, suite à une fâcheuse histoire de femme et de Fuego. Les deux anciennes gloires du FBI, devenus des purs has been, se retrouvent donc pour enquêter sur cette profanation, sans savoir qu’ils sont en réalité attirés dans un piège par un homme qui leur en veut beaucoup. Sans se douter non plus qu’ils seront bientôt les seuls à être au courant que la présidente des Etats-Unis of America est sur le point d’être assassinée. Rien que ça…

Cannes 2014 : Hippocrate

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Cette comédie médicale présentée avec succès en clôture de la dernière édition de la Semaine de la Critique est portée par l'énergie de Vincent Lacoste et la puissance dramatique de Reda Kateb

Critique Express : Maoussi

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Dans "Maoussi", on a le sourire aux lèvres la plupart du temps, et il n'y a aucune lourdeur dans tout ce qui peut être présenté comme un drame
Ever after

A tout jamais, une histoire de Cendrillon

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A tout jamais, une histoire de Cendrillon est un film de Andy Tennant sorti en 1999, avec Drew Barrymore dans le rôle principal. L'actrice a été primée pour sa prestation, elle a reçu le Saturn Awards et le Blockbuster Entertainment Awards de la meilleure actrice. Le réalisateur nous propose ici une mise en scène originale de Cendrillon, mais cette comédie romantique réussit-elle vraiment à plaire au public ?

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Berlinale 2026 : Wim Wenders président

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En ces premières semaines de la saison des prix de cinéma pour l’année 2025, il était grand temps qu’on sache qui présidera le jury du prochain Festival de Berlin. Fin du suspense vendredi dernier, le 12 décembre, avec l’annonce par la directrice de la Berlinale Tricia Tuttle du nom du réalisateur allemand Wim Wenders.

Critique Express : L’amour qu’il nous reste (Deuxième avis)

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Dans Les Bad Guys 2, les personnages, à la croisée des chemins entre animaux et caricatures sociales, se débattent avec leurs propres contradictions. Le loup, figure centrale, incarne cette lutte intérieure : héros malgré lui, il se retrouve coincé entre la tentation du frisson criminel et l’appel d’une vie rangée.