Critique : Black Sheep
Black Sheep est le premier film de Jonathan King, un réalisateur de film d'horreur Néo-Zélandais. Impossible de ne pas comparer ce film aux classiques du maître incontesté du film trash de la petite île d'Océanie : M. Peter Jackson.
Critique : Hors-saison
Stéphane Brizé apporte une fois de plus la preuve qu'il est un des meilleurs réalisateurs français du moment, voire le meilleur.
Critique : Zouzou
Refaire le monde en parlant de sexualité, c'est le projet improvisé d'une sexe-agénaire, de ses trois filles et de sa petite-fille dans cette comédie allègre et rafraîchissante à ne pas manquer...
Test DVD : Les recettes du bonheur
Il serait mal venu de rejeter un film qui affiche ostensiblement son goût pour le vivre ensemble et l'acceptation de l'autre, quand bien même les cultures de départ sont très différentes, d'autant plus que Lasse Hallström montre dans plusieurs scènes ses grandes qualités de mise en scène. Dommage que, par ailleurs, il se soit trop imprégné de certains défauts du cinéma US.
Critique : Le Cheik blanc
Est-ce que Le Cheik blanc est vraiment le premier film de Federico Fellini, comme le dit la bande-annonce de sa ressortie française ? On laissera le soin de trancher cette question aux puristes et autres experts en Histoire du cinéma italien.
Critique : Showing up
Avec "Showing up", la réalisatrice américaine Kelly Reichardt prouve une fois de plus qu'elle est une véritable alchimiste du cinéma, capable de transformer n'importe quelle histoire, anodine en apparence, en or cinématographique
La guerre des boutons
Il y a longtemps, quand j’avais dix ans, j’adorais un film dont je ne me rappelais jamais le titre, où des enfants se battaient et volaient des boutons. C’était évidemment La guerre des boutons d’Yves Robert de 1961, adapté du roman du même nom de Louis Pergaud.
Critique : Ricki and The Flash
Près de vingt fois nommée aux Oscars et couronnée à trois reprises de la récompense suprême du cinéma américain, Meryl Streep n’a plus rien à prouver. Elle profite par conséquent de son statut d’actrice intouchable pour se faire plaisir, avec modération, mais néanmoins assez souvent pour montrer à son public fidèle depuis un peu moins de quarante ans qu’elle n’a pas pris la grosse tête.
Critique : Annie
Les meilleures comédies musicales sont celles qui débordent de vie et d’énergie, en mesure de nous faire fredonner un peu honteusement devant l’écran et de nous faire ressentir cette existence hautement artificielle comme si elle était réelle. Hélas, à de très rares exceptions près, la grande époque du genre est derrière nous. Il faudra donc se contenter des quelques survivants, aussi perfectibles soient-ils. Ceci dit, nous n’apporterions pas énormément de modifications à cette adaptation filmique de Annie. Elle respire certes la facture synthétique et sirupeuse à chaque sourire désarmant de la héroïne. Mais en même temps, elle fait preuve d’un tel optimisme naïf qu’elle ne tarde pas à devenir pour nous un délicieux plaisir coupable.
Critique : L’éducation d’Ademoka
Adilkhan Yerzhanov n'appuie jamais ses effets mais la façon, par exemple, dont il dénonce la corruption qui règne dans son pays arrive malgré tout à être d'une grande force.
Critique : Bienvenue à Suburbicon
Tout le monde, ou presque, aime George Clooney : la communauté hollywoodienne lui remet en moyenne un prix honorifique par an et ce qui manquait à ses derniers films en termes de poigne commerciale, il a su le compenser amplement en se conformant au roman-photo de la vie conjugale parfaite, car complète.
The Sessions
Mark fait paraître une petite annonce : "Homme, 38 ans, cherche femme pour relation amoureuse, et plus si affinités. En revanche paralysé… Amatrices de promenade sur la plage s’abstenir...". L’histoire vraie et bouleversante d’un homme que la vie a privé de tout, et de sa rencontre avec une thérapeute qui va lui permettre d’aimer, "comme tout le monde".
















