Critique : The Lunchbox
Ila, une jeune femme délaissée par son mari, se met en quatre pour tenter de le reconquérir en lui préparant un savoureux déjeuner. Elle confie ensuite sa lunchbox au gigantesque service de livraison qui dessert toutes les entreprises de Bombay.
Critique : Folles de joie
Entre drame et comédie, entre rires et larmes, Paolo Virzi se sort avec les honneurs d'un sujet difficile à traiter grâce, en particulier, à deux comédiennes parfaitement à l'aise dans des rôles de femmes pas très bien dans leurs têtes, amochées par la vie et les médicaments.
Critique : Mon héros (court-métrage)
Avec Mon héros, Sylvain Desclous change de registre après le plus mélancolique Le Monde à l’envers avec Myriam Boyer et Vincent Macaigne et signe une comédie rafraîchissante et fraternelle.
Critique : Paterson
Le cinéma de Jim Jarmusch oscille entre deux univers, certes pas mutuellement exclusifs, quoique engageants à des niveaux différents. Sur un ton sans exception très détendu et cool, une sorte de contemplation zen pleine de sagesse, le réalisateur a pour habitude soit de s’improviser en artiste du néant, soit de soumettre souverainement des genres normalement plus actifs à son sens aigu de l’observation tranquille.
Critique Express : Red Rocket
"Red Rocket" souffre beaucoup d'une durée trop importante (128 minutes) vs son contenu et on se demande comment un tel film a pu trouver sa place dans la compétition cannoise de 2021, et, surtout, se voir attribuer le Prix du jury et le Prix de la critique au dernier Festival du cinéma américain de Deauville.
Critique : Sacré Robin des Bois
Que ce soit en dessin animé ou en film, nous avons tous vu une adaptation de Robin des Bois. Avec Sacré Robin des Bois, Mel Brooks nous propose une parodie bien potache et comique à souhait...
Supercondriaque
Romain Faubert a bientôt 40 ans et vit seul. Hypocondriaque incurable, son métier de photographe pour un dictionnaire médical en ligne est une source constante de défis et d’angoisses microbiennes. Son seul véritable ami, Dimitri Zvenka est aussi son médecin. Exaspéré par les assauts répétés de Romain dans son cabinet et chez lui, il décide de lui trouver le remède miracle : une femme !
FID 2016 – 3 films de Hong Sang-Soo
Le FID 2016, qui s'est terminé en début de semaine, était l'occasion de revoir certains films de la filmographie de Hong Sang-soo. Cinéaste prolifique...
Critique : Vive les vacances
Dans Bonjour les vacances réalisé par Harold Ramis et écrit par John Hughes (d'après une nouvelle écrite pour le magazine satirique National Lampoon) en 1983, la famille Griswold tentait vainement de profiter de vacances bien méritées mais tout tournait à la catastrophe. Portée par l'humour bien méchant de ces deux vétérans inspirés de la comédie américaine des années 70-80 aujourd’hui disparus et le couple Chevy Chase – Beverly d'Angelo, la comédie est un triomphe aux Etats-Unis au point de lancer une série de films dont le seul le premier est sorti chez nous, dans une relative indifférence. En voici une nouvelle suite-remake...
Critique : Deux Rémi, deux
1h06, c’est le court temps dont use Pierre Léon pour explorer l’altérité de soi à travers Deux Rémi, deux, son sixième long métrage. Deux Rémi, deux nous présente Rémi, trentenaire passif et peu capable de se mettre en valeur. Il habite avec son frère et, principal fait d’arme, fréquente la fille de son patron. Un matin, Rémi rencontre Rémi, prenant son petit déjeuner attablé chez lui. Rémi semble en tout point identique à Rémi à ceci près que son comportement plus dominant lui permet toujours d’avoir l’initiative. Ce nouveau Rémi encombre alors rapidement le premier, cherchant à mener la même vie que lui, que ce soit auprès de son patron, dont il obtient aisément les faveurs, ou de sa compagne.
Critique : Les Gardiens de la Galaxie 2
Trois ans après, James Gunn revient avec la suite de Les Gardiens de la Galaxie. Le casting reste le même : Chris Pratt (Star-Lord), Dave Bautista (Drax) et Zoe Saldana (Gamora) reviennent, présents à l'écran, et Bradley Cooper et Vin Diesel prêtent toujours leurs voix à Rocket Racoon et (Baby) Groot. Deux petits nouveaux s’ajoutent à la bande, et pas des moindres, Kurt Russell dans le rôle de la planète Ego et Sylvester Stallone devient Stakar, personnage qui devrait réapparaître dans de prochains films Marvel Studios. Après la claque qu’était le premier opus, comment James Gunn a-t-il appréhendé cette suite ?
50/50
50/50, est une comédie dramatique authentique, réalisée par Jonathan Levine (Wackness). C’est d’abord l’histoire vraie de Will Reiser, qui en signe le scénario. Si le film est centré sur un duo d’acteur inattendu avec l’éclectique Joseph Gordon-Levitt (Mysterious Skin, Inception…) et l’humoriste Seth Gordon (En cloque, mode d’emploi,…)



















