Arras 2017 : Gaspard va au mariage
Normalement, nous ne sommes guère adeptes des comédies de mariage. Dans ce sous-genre sirupeux de la comédie romantique, tout est fait pour que deux personnes se retrouvent en fin de compte devant le maire ou le curé, après maintes péripéties qui ont tout de la publicité, voire de la propagande, pour le pouvoir irrésistible de l'amour passionnel.
Critique : Vous allez rencontrer un bel et sombre inconnu
Woody Allen réussit un nouveau film d'apparence légère mais fortement marqué par la mort, vécue ou crainte. Il décrit le parcours d'êtres en proie aux doutes quant à leur futur proche mais souligne la possibilité d'une seconde chance. Dans cette vie ou la suivante, pour souligner les prédictions de la voyante qui s'immisce dans les vies des membres de cette famille dysfonctionnelle et qui s'appelle Cristal, évidemment.
Las Vegas 21
Las Vegas 21, aussi connu sous le nom de 21, est un film de Robert Luketic, réalisé avec un budget de 35 millions de dollars. Adapté du roman de Ben Mezrich, le film, tourné en numérique, raconte l'histoire vraie de cinq étudiants du MIT bien décidés à faire tomber Vegas à coups de cartes.
Critique : Tomboy
Après le magnifique Naissance des pieuvres présenté dans la catégorie Un Certain Regard du Festival de Cannes en 2007, Céline Sciamma revient au cinéma avec Tomboy (qui signifie garçon manqué en anglais). La réalisatrice y creuse le sujet du trouble identitaire de l'enfance. Le long-métrage a été diffusé à la dernière Berlinale (décidément cette réalisatrice est une bête de festivals). Il a été tourné en seulement 20 jours avec une petite équipe et une caméra Canon 5D.
Critique : Le Promeneur d’oiseau
Après Le Papillon, l'oiseau... Philippe Muyl filme le voyage à deux d'un vieil homme et de sa petite-fille dans une Chine verte, une odyssée pour rendre sa liberté à un volatile qui a vécu dans une cage en ville pendant 18 longues années.
Take this Waltz
Quand Margot, 28 ans, rencontre Daniel, l'alchimie est immédiate. Épouse heureuse de Lou, elle réprime cette attirance aussi soudaine qu'inattendue. Lorsqu'elle découvre que Daniel habite depuis peu dans sa rue, Margot voit ses certitudes vaciller.
Critique : Pitch perfect 2
Les filles sont de retour ! Pour le plus grand plaisir des fans de ce groupe mal assorti de chanteuses hors pair et avant tout celui des producteurs qui ont récolté une triple recette pour un double investissement rien que sur le territoire américain, nous avons droit à un bis du film qui s’appelait initialement The Hit girls en France et dont la suite adopte désormais le titre original, Pitch perfect 2.
Critique : L’Extravagant Mr Ruggles
L'Extravagant Mr Ruggles
Etats-Unis, 1935
Titre original : Ruggles of Red Gap
Réalisateur : Leo McCarey
Scénario : Walter DeLeon, Harlan Thompson, Humphrey Pearson, d'après le roman...
Critique : 9 mois ferme
Ariane Felder est enceinte ! C'est d'autant plus surprenant que c'est une jeune juge aux mœurs strictes et une célibataire endurcie. Mais ce qui est encore plus surprenant, c'est que d'après les tests de paternité, le père de l'enfant n'est autre que Bob, un criminel poursuivi pour une atroce agression ! Ariane, qui ne se souvient de rien, tente alors de comprendre ce qui a bien pu se passer et ce qui l'attend.
Critique : J’aurais pu être une pute (court-métrage)
À l'occasion de la sortie de son premier long-métrage en tant que réalisatrice (Je suis à vous tout de suite), retour sur le court-métrage que Baya Kasmi a réalisé en 2010 avec déjà Vimala Pons, au talent comique et sensuel unique.
Critique : Mia Madre
"Mia Madre" aurait pu être un très grand film de Nanni Moretti : il aurait suffi pour cela qu'il choisisse de faire jouer John Torturro avec sobriété dans son rôle d'acteur mythomane, cabotin et ingérable. Au lieu de cela, il a choisi de le faire jouer dans l'excès, dans la démesure. Résultat : on aurait pu sourire, voire même rire, entre deux scènes cherchant à générer de l'émotion chez le spectateur ; on ne rit pas, on ne sourit même pas et l'émotion n'arrive pas à percer. Reste une réflexion intéressante sur le métier de réalisateur.
Critique : Love, et autres drogues
Love, et autres drogues est une comédie américaine réalisée par Edwad Zwick. Le réalisateur plutôt habitué aux films d'action (Le dernier Samouraï, Blood Diamond, Les Insurgés) n'en est pas à son premier essai dans la comédie. En effet, il a déjà mis en scène des films plus romancés tels que Légende d'automne en 1995.



















