Critique : Dark Shadows
En 1752, Joshua et Naomi Collins quittent Liverpool, en Angleterre, pour prendre la mer avec leur jeune fils Barnabas, et commencer une nouvelle vie en Amérique. Mais même un océan ne parvient pas à les éloigner de la terrible malédiction qui s’est abattue sur leur famille. Vingt années passent et Barnabas a le monde à ses pieds, ou du moins la ville de Collinsport, dans le Maine. Riche et puissant, c’est un séducteur invétéré… jusqu’à ce qu’il commette la grave erreur de briser le cœur d’Angelique Bouchard. C’est une sorcière, dans tous les sens du terme, qui lui jette un sort bien plus maléfique que la mort : celui d’être transformé en vampire et enterré vivant. Deux siècles plus tard, Barnabas est libéré de sa tombe par inadvertance et débarque en 1972 dans un monde totalement transformé…
Gilbert Grape, Lasse Hallström
Gilbert Grape est une comédie dramatique réalisée par Lasse Hallström et sortie en 1993. Il s’agit de l'un des premiers rôle principal de Johnny Depp après Edward aux Mains D’Argent et Arizona Dream. Un film populaire très bien noté par les critiques presses et spectateurs.
Critique : Un village presque parfait
Les spectateurs de province ont, eux aussi, le droit de se reconnaître dans le cinéma français, dont les productions se focalisent la plupart du temps sur des mondanités parisiennes. Autrefois, des acteurs populaires comme Jacques Villeret ou Michel Serrault étaient les parrains incontestables de ces histoires du terroir, où les clichés sur le bonheur bucolique allaient bon train. Depuis, une relève adéquate éprouve de sérieuses difficultés à se mettre en place, notamment parce que des comédiens crédibles dans ce genre d’emploi nostalgique ne courent pas les rues et que ceux qui s’y prêteraient, comme par exemple Gérard Jugnot, paraissent réticents à l’idée d’être cantonnés dans un seul et unique type de personnage. Et si la véritable raison pour cette mort à petit feu était tout simplement que la campagne d’antan, bien franchouillarde et chauvine, n’existe plus et que toute tentative de la raviver par le biais du cinéma est par conséquent vouée à l’échec ? En tout cas, ce ne sont pas des films de la trempe d’Un village presque parfait – de surcroît le remake dispensable d’un succès canadien – qui nous convaincront du contraire.
Les Profs
Avec ses 12% de réussite au bac, le lycée Jules Ferry est le pire lycée de France. Ayant déjà épuisé toutes les méthodes conventionnelles, l’Inspecteur d’Académie, au désespoir, s’en remet aux conseils de son Adjoint. Ce dernier lui propose de recruter une équipe de professeurs selon une nouvelle formule : aux pires élèves, les pires profs pour soigner le mal par le mal… C’est sa dernière chance de sauver l’établissement, à condition de dépasser le seuil des 50% de réussite au bac. L'inspecteur accepte, pour le meilleur... et pour le pire.
Dancer in the dark
Selma Jezkova, émigrée tchèque et mère célibataire, travaille dans une usine de l'Amérique profonde des années 60. Elle trouve son salut dans sa passion pour la musique, spécialement les chansons et les danses des grandes comédies musicales hollywoodiennes. Selma garde un lourd secret : elle perd la vue et son fils Gene connaîtra le même sort sauf si elle réussit à mettre assez d'argent de côté pour lui payer une opération. Quand un voisin aux abois accuse a tort Selma d'avoir volé ses économies, le drame de sa vie s'intensifie pour se terminer en final tragique.
Critique : Tout schuss
Et si on allait prendre des nouvelles de José Garcia ? L’acteur, très populaire auprès du public français il y a une dizaine d’années, s’est récemment fait plus rare, au point de n’apparaître dans aucun film depuis plus de deux ans.
Wadjda
Wadjda, douze ans, habite dans une banlieue de Riyad, capitale de l’Arabie Saoudite. Bien qu’elle grandisse dans un milieu conservateur, c’est une fille pleine de vie qui porte jeans et baskets, écoute du rock et ne rêve que d’une chose : s’acheter le beau vélo vert qui lui permettra de faire la course avec son ami Abdallah. Mais au royaume wahhabite, les bicyclettes sont réservées aux hommes car elles constituent une menace pour la vertu des jeunes filles.
Wadjda se voit donc refuser par sa mère la somme nécessaire à cet achat. Déterminée à trouver l’argent par ses propres moyens, Wadjda décide alors de participer au concours de récitation coranique organisé par son école, avec pour la gagnante, la somme tant désirée.
Critique : Ariane
Il n'y a pas que la différence d'âge entre les deux têtes d'affiche qui est bancale dans Ariane. Nullement dépourvue d'intelligence, cette comédie de Billy Wilder explore l'impossibilité d'un compromis entre deux conceptions diamétralement opposées de l'amour.
Critique : Don Jon
Jon Martello est un beau mec que ses amis ont surnommé Don Jon en raison de son talent à séduire une nouvelle fille chaque week-end. Mais pour lui, même les rencontres les plus excitantes ne valent pas les moments solitaires qu’il passe devant son ordinateur à regarder des films pornographiques.
Barbara Sugarman est une jeune femme lumineuse, nourrie aux comédies romantiques hollywoodiennes, bien décidée à trouver son Prince Charmant.
Leur rencontre est un choc, une explosion dans la vie de chacun. Bourrés d’illusions et d’idées reçues sur le sexe opposé, Jon et Barbara vont devoir laisser tomber leurs fantasmes s’ils veulent avoir une chance de vivre enfin une vraie relation…
Le Monde de Charlie
Au lycée où il vient d’arriver, on trouve Charlie bizarre. Sa sensibilité et ses goûts sont en décalage avec ceux de ses camarades de classe. Pour son prof de Lettres, c’est sans doute un prodige, pour les autres, c’est juste un "loser". En attendant, il reste en marge - jusqu’au jour où deux terminales, Patrick et la jolie Sam, le prennent sous leur aile. Grâce à eux, il va découvrir la musique, les fêtes, le sexe… pour Charlie, un nouveau monde s’offre à lui.
Critique : Nebraska
Une odyssée en noir et blanc entre le Montana et le Nebraska, avec Bruce Dern (prix d'interprétation à Cannes en 2013) dans une quête drôle et mélancolique.
We Want Sex Equality
We want sex equality est le 5ème film du réalisateur Nigel Cole, que l’on connait déjà pour Calendar Girls. Basé sur une histoire vraie, ce film retrace le combat d’ouvrières fordiennes, qui se sont battues jusqu’au bout pour obtenir l’égalité des salaires. Rien que le nom et l’affiche donnent envie. Des femmes en soutifs dans une usine Ford, les années 60, et un vent de protestation dans les rangs.


















