Le Grand soir
Soit deux presque quinquagénaires, Benoît et Jean-Pierre. Frères, très proches en âge et volontiers alcoolisés comme leur pittoresque génitrice, Marie-Annick Bonzini, ils ont choisi chacun un mode de vie bien différent quand débute le film : (Be)No(î)t, « Not » donc, revendique le titre avantageux de plus vieux « punk-à-chien » européen (dans la compagnie d’un fidèle compagnon d’une taille à cet égard surprenante, puisque c’est un Jack-Russel Terrier), quand Jean-Pierre essaie à toute force de se maintenir dans un cadre « normal » (mais fraîchement divorcé, incapable d’assumer la responsabilité de sa petite Audrey de 8 mois, il va bientôt perdre son emploi de vendeur au « Grand Litier » et ne pourra que rejoindre « Not » dans la marge, devenant « Dead »). Le tandem a alors une idée : préparer ensemble le « Grand Soir ».
Critique : Sous le ciel de Paris
Une journée parmi tant d'autres a Paris, charriant son lot de drames, d'espoirs de raisons de vivre.
Pina
Il y a des réalisateurs comme Wim Wenders dont on connait le nom, mais dont on ne sait pas vraiment ce qu’ils ont fait. Et mise à part Paris Texas, je n’avais rien vu de sa filmographie. Bon, effectivement, il a fait quelques films connus (inculte que je suis). Je ne pouvais donc pas (cinéphile que je suis) passer à côté de son dernier long-métrage sur la chorégraphe Pina Baush. Et en plus en 3D !
Mon pire cauchemar
Nouvelle déclinaison du ménage à trois, le dernier opus d’Anne Fontaine prend ses quartiers de noblesse dans la comédie. Le style lui va très bien, même si sous l’optimisme se profilent bien des questions pas si drôles que ça. Huppert et Poelvoorde forment un formidable couple de cinéma.
Critique : American Graffiti
La fin de l'été 62 à Modesto, petite bourgade de Californie, un groupe d'adolescents fraîchement diplômés passent une dernière nuit à s'amuser avant de faire face aux responsabilités de la vie et de l'âge adulte, synonymes de changement irréversible. A travers courses de voitures, drague en cruising et rock classique, on suit les destins croisés de quatre jeunes personnages modèles archétypiques : Curt le héros en plein questionnement existentiel, Steve le bon citoyen, Terry l'intello et John le "roi de la route". Avant la fin de la nuit, leur perception du monde aura changé définitivement, et ils répondront à cette question qui ne cesse de se poser : partir ou pas ? Accepter le changement ou vivre dans le passé ?
Critique : Tour de France
Deux cœurs battent au sein du deuxième film de Rachid Djaïdani. Cette opposition ouverte entre deux conceptions de la France, portées par des personnages hautement emblématiques, peut même être considérée comme la raison d’être principale de Tour de France. Ce qui ne veut pas dire qu’il s’agit d’un film platement polémique par son antagonisme primaire, qui jouerait un cliché contre l’autre, jusqu’à ce qu’il ne reste plus rien d’autre qu’une bouillie consensuelle.
Little Miss Sunshine
Little Miss Sunshine est le premier long-métrage du couple Jonathan Dayton/Valerie Faris, sorti en 2006. Le film a été achevé un peu plus tard que prévu, puisqu’il a fallut 5 ans à la production pour obtenir de budget nécessaire, bien que celle-ci fut emballée dès le départ par le scénario. Elle avait vu juste, puisque Little Miss Sunshine rencontra en effet un immense succès auprès des critiques et du public.
La Clinique de l’amour
"La clinique de l’amour !" c’est "Urgences" traité à la manière de "Y-a-t-il un pilote dans l’avion ?" et "Un poisson nommé Wanda". Des histoires d’amour (torrides), d’argent, de trahisons (odieuses), dans une clinique au bord de la ruine, où s’affrontent John et Michael (chirurgiens), sournoisement manipulés par Samantha, une garce aussi cupide que fatale sous les yeux (magnifiques) d'une ravissante infirmière, du doux nom de “Priscilla”. Une comédie pour tous, de 12 à 122 ans !
Critique : Woman at war
Ce n'est pas tous les jours qu'on peut, à la fois, se divertir, s'instruire, se révolter et nourrir ses yeux et son esprit de magnifiques images.
Il était une fois
Comme vous l'avez sans doute remarqué, en ce moment chez Critique Film on passe notre temps à regarder des Walt Disney (période de Noël oblige). Cette fois-ci, nous allons nous pencher sur Il était une fois, une jolie histoire de princesse sortie en 2007. Le plus épatant chez Disney, c'est que les studios parviennent à nous servir 15 fois la même histoire (la princesse qui attend son prince, opposant : une méchante belle-mère, adjuvants : une marraine ou les animaux de la forêt) et que la sauce prend tout de même sans jamais nous lasser. Alors, comment s'y est pris Disney pour différencier son film des autres contes de fées ?
L’homme de Rio
Le deuxième classe Adrien Dufourquet est témoin de l'enlèvement de sa fiancée Agnès, fille d'un célèbre ethnologue. Il part à sa recherche, qui le mène au Brésil, et met au jour un trafic de statuettes indiennes.
Critique : Pattaya
Réalisé par Franck Gastambide, metteur en scène des Kaïras, Pattaya est une comédie française réunissant les humoristes Gad Elmaleh, Ramzy Bedia et Malik Bentalha et qui raconte le départ des deux protagonistes principaux, interprétés par Gastambide et Bentalha, à la station balnéaire de Pattaya.



















