L’art d’aimer
Emmanuel Mouret aime mettre en scène l’amour. L’amour sous toutes ses formes. Encore une fois, Mouret réinvente l’amour dans son sixième long métrage L’art d’aimer. Un film choral peu commun qui met en situation les 12 personnages (brillant casting) dans des situations plutôt cocasses et originales.
Critique : Last Vegas
Billy, Paddy, Archie et Sam sont les meilleurs amis du monde depuis... plus d'une soixantaine d'années. Quand Billy, le dernier célibataire de la bande, se décide enfin à demander sa petite amie d'à peine trente ans (bien évidemment !) en mariage, nos quatre über-seniors prennent la direction de Las Vegas avec la ferme intention de ne rien céder au poids des années et d'enterrer la vie de ce garçon (Qui a dit "vieux" ?) dans les règles de l'art. À leur arrivée sur le Strip, force est de constater que le divertissement de masses a pris le pas sur le temple du cool. Mais le Cirque du Soleil peut bien avoir délogé le Rat Pack, notre quatuor est plus que jamais résolu à faire revivre ses heures de gloire à celle qu'on appelle encore la ville de tous les vices.
Critique : Jubilée (Derek Jarman)
Ce mercredi 21 juin sort dans un coffret DVD ainsi qu’en salle, un hommage à Derek Jarman. Cinéaste anglais, figure punk, anarchiste et militant LGBT, il aura entre autres révélé Tilda Swinton aux yeux de tous. Ce sont quatre de ses films que vous pouvez (re)découvrir : Last of England, Sebastiane, La tempête, et enfin Jubilée, son deuxième film.
Critique : Juno
Juno est de la veine de ces films du cinéma indépendant américain qui rendent frileux les grandes pontes des studios mais qui se révèlent être de véritables bijoux. C’est donc grâce à la société de production de John Malkovich que le film voit le jour.
Critique Express : La tournée
"La tournée" a le mérite non négligeable de faire rire sans vulgarité tout en montrant des a-côtés pas toujours bien connus de la distribution des films et en permettant au public d'accroitre sa connaissance sur tous ces métiers du cinéma qui lui permettent de prendre du plaisir dans les salles obscures.
Critique : Les 2 Alfred
De quoi l'avenir sera-t-il fait ? Nul ne le sait, bien évidemment. Cependant, l'impression peu agréable ne nous quitte plus en ces temps de crise sanitaire qu'on perd de vue les enjeux à long terme, que la parenthèse du coronavirus suspend toutes les autres évolutions, en bien ou en mal, de notre société.
The Sessions
Mark fait paraître une petite annonce : "Homme, 38 ans, cherche femme pour relation amoureuse, et plus si affinités. En revanche paralysé… Amatrices de promenade sur la plage s’abstenir...". L’histoire vraie et bouleversante d’un homme que la vie a privé de tout, et de sa rencontre avec une thérapeute qui va lui permettre d’aimer, "comme tout le monde".
Critique : Café Society (Cannes 2016)
Année après année, Woody Allen revient, infatigablement, avec une nouvelle romance dramatique ou comique. Il a ouvert pour la troisième fois cette année le Festival de Cannes avec sa nouvelle production portée par un beau trio : Jesse Eisenberg (The Social Network), Kristen Stewart (Blanche Neige et le Chasseur) et Steve Carell (The Big Short).
Critique : Mariage à l’anglaise
Depuis qu’ils se sont rencontrés dans une soirée, Nat, jeune femme ambitieuse, et Josh, apprenti romancier, nagent dans le bonheur, malgré leurs différences. Car si Josh est plutôt du genre intellectuel, Nat est une fonceuse. Ce qui ne les a pas empêchés d’être réunis par un coup de foudre réciproque. Leur mariage est idyllique, même si personne – de leurs proches à leurs amis, jusqu’au pasteur qui officie – ne croit qu’il pourra durer… Surtout quand l’ex-petite amie de Josh, Chloé, et le charmant client américain de Nat, Guy, s’en mêlent… Alors que Josh et Nat s’apprêtent à fêter leur un an de mariage, aucun des deux ne veut être le premier à jeter l’éponge. Leur couple pourra-t-il résister aux pressions de toutes parts ?
La Roche-sur-Yon 2017 : La Surface de réparation
La 8ème édition du Festival International du Film de La Roche-sur-Yon a commencé d'une façon particulièrement prometteuse hier soir avec la présentation en avant-première de La Surface de réparation. Tourné dans la région, ce premier long-métrage parle moins du foot d'un point de vue sportif que de ce petit monde plus ou moins valorisé, plus ou moins légitime, qui tourne autour du ballon rond.
Critique : La Fin de l’agent W4C par l’intermédiaire du chien de Monsieur Foustka
Alors que la comédie délirante Qui veut tuer Jessie?, un double parfait du Batman des années 60, ressort en salles en version restaurée, le cinéma parisien le Reflet Medicis propose de redécouvrir trois autres films du réalisateur tchécoslovaque Václav Vorlícek, Comment nettoyer le docteur Mracek, Monsieur, vous êtes veuve et ce joyeux pastiche de cinéma d'espionnage qu'est La Fin de l'agent W4C par l'intermédiaire du chien de Monsieur Foustka.
Starbuck
Alors qu’il s’apprête à être père, David Wosniak, éternel adolescent de 42 ans, découvre être le géniteur anonyme de 533 enfants déterminés à le retrouver.



















