Critique : Keep smiling
À Tbilissi, la télévision géorgienne organise un concours pour élire la "Meilleure Mère de l’année". La gagnante recevra un appartement et 25 000 dollars. Dix mères vont alors s’affronter et tout faire pour ne pas laisser passer cette chance d’accéder à une vie meilleure. Tous les coups sont permis. Une seule règle, garder le sourire.
La guerre des boutons
Il y a longtemps, quand j’avais dix ans, j’adorais un film dont je ne me rappelais jamais le titre, où des enfants se battaient et volaient des boutons. C’était évidemment La guerre des boutons d’Yves Robert de 1961, adapté du roman du même nom de Louis Pergaud.
Il n’est jamais trop tard
Très bon film à voir entre amis ou même tout seul ! Tom Hanks, aidé d'un casting solide et de répliques qui font mouche, signe une histoire à la fois touchante et drôle. Ce qui pourrait être une satyre de la société et du monde de l'emploi, ce qu'il ne manque pas d'être, reste une comédie simple mais efficace.
Critique : Perdrix
Au rayon comédie, on n'a pas fait mieux dans notre pays depuis pas mal de temps !
Critique : Le Magnifique
L’absurdité outrancière ne connaît pas de limite dans cette comédie jubilatoire de Philippe De Broca. Or, la facétie y va sensiblement plus loin qu’une relecture inspirée de l’univers d’OSS 117, qui avait dominé le film d’espions à la française pendant les 60's
Critique : Le Cheik blanc
Est-ce que Le Cheik blanc est vraiment le premier film de Federico Fellini, comme le dit la bande-annonce de sa ressortie française ? On laissera le soin de trancher cette question aux puristes et autres experts en Histoire du cinéma italien.
Les Géants
Pour son troisième long métrage, Bouli Lanners, également comédien comme dans le récent Rien à déclarer et fier d'être Belge, a décidé de baser son histoire sur trois adolescents passant leur été seuls et coincés au milieu de nul part. Alors, ce film ayant remporté 2 prix lors de la quinzaine des réalisateurs à cannes cette année, il est Géant ou pas ?
Mon beau-père et nous
Mon beau-père et nous est une comédie réalisée par Paul Weitz en 2010. Il s'agit du 3ème épisode de la saga Mon beau-père, une série très populaire qui côtoie les sommets du box office à chaque sortie. Paul Weitz est pour la première fois réalisateur d'un Mon beau-père, succédant au talentueux Jay Roach.
Critique : Annie
Les meilleures comédies musicales sont celles qui débordent de vie et d’énergie, en mesure de nous faire fredonner un peu honteusement devant l’écran et de nous faire ressentir cette existence hautement artificielle comme si elle était réelle. Hélas, à de très rares exceptions près, la grande époque du genre est derrière nous. Il faudra donc se contenter des quelques survivants, aussi perfectibles soient-ils. Ceci dit, nous n’apporterions pas énormément de modifications à cette adaptation filmique de Annie. Elle respire certes la facture synthétique et sirupeuse à chaque sourire désarmant de la héroïne. Mais en même temps, elle fait preuve d’un tel optimisme naïf qu’elle ne tarde pas à devenir pour nous un délicieux plaisir coupable.
Critique : Chroniques de Téhéran
Un véritable bijou à la fois très court et très fort, un film qui montre que toutes les tranches d'âge sont concernées par l'absurdité du système iranien.
Critique : Guibord s’en va-t-en guerre
La politique et ses exécutants, des politiciens sans envergure morale, ni charisme médiatique, ont mauvaise réputation par les temps qui courent. A moins qu’il ne s’agisse d’un souci majeur de la conception même de l’appareil démocratique, qui se base en quelque sorte sur le mécontentement permanent des électeurs avec leurs élus, afin d’assurer à terme une alternance cyclique qui ne mettra jamais sérieusement en question le statu quo.
Critique : Bye Bye Blondie
Dans le cadre de la thématique Femmes Femmes des 15èmes Journées Dionysiennes de l'Ecran de Saint-Denis, Virginie Despentes est l'une des invités d'honneur, l'occasion notamment de redécouvrir ce qui est pour l'instant son meilleur film, une histoire d'amour entre Béatrice Dalle et Emmanuelle Béart. A voir ce dimanche 8 février à 16h45...



















