L’Abominable Vérité
L'Abominable Vérité, de Robert Luketic (Las Vegas 21, La Revanche d'une Blonde...), est une comédie romantique sortie en salles en 2009. Une parmi tant d'autres, oui, mais avec une affiche attirante, aussi bien pour ces dames que pour ces messieurs : Gérard Butler et Katherine Heigl. Duo improbable, mais qui a peut-être fait la différence...
La Course au jouet
La Course au jouet est une comédie de Noël pour enfant sortie en 1996. Son réalisateur Brian Levant a offert le rôle principal à Arnold Schwarzenegger que l'on avait déjà pu voir dans d'autres comédies (Un Flic à la maternelle, Junior). Il s'est également entouré de comédiens tels que Phil Hartman (La Course au jouet est l'un de ses derniers films, il est assassiné 2 ans plus tard) et Sinbad.
Intégrale Claude Berri #19 : Ensemble, c’est tout (2007)
Gros succès de librairie durant l'année 2004, devenu symbole de l'expression « vivre ensemble » (un néologisme politique très en vogue depuis quelques années), Ensemble, c'est tout était donc à l'origine un roman écrit par Anna Gavalda. Trois ans plus tard, Claude Berri choisit donc d'adapter l'ode à la cohabitation et à la tolérance de la femme de lettres française.
Test DVD : Chloé & Théo
Le meilleur comédien du film est sans conteste le seul amateur du lot : Theo Ikummaq, un véritable Inuit qui, par sa prestance et son calme, arrive à émouvoir et à faire passer les messages écologistes de base sans donner l'impression de tomber dans le prêchi-prêcha. Ne serait-ce que pour lui, on peut se diriger vers ce film qui, en plus, a le mérite d'être court
Critique : Babysitting
Dans le cadre des Incontournables UGC, séances de rattrapage de l'une des meilleures comédies françaises de l'année 2014. Une seconde chance à ne pas rater...
Critique : Les Nuits d’été
Si être homosexuel n’a jamais été facile, en dépit d’une récente poussée de tolérance dans certains pays occidentaux, obtenue au bout de longues années de lutte, être un travesti signifie de faire partie d’une minorité au sein d’une autre minorité, tout en étant la cible de railleries de tous bords. Cette envie de faire siens les attributs extérieurs féminins tout en restant un homme renvoie à une iconographie du mépris et de l’exclusion, dont la figure de proue cinématographique reste hélas jusqu’à ce jour La Cage aux folles. Le premier film de Mario Fanfani a le bon goût de ne pas du tout s’engager sur cette voie d’une discrimination plus ou moins larvée. Il va même plus loin en esquissant délicatement une sorte d’état des lieux et des mœurs dans la France profonde de la fin des années ’50, où la guerre d’Algérie préoccupait l’opinion publique au point de mal la préparer au choc moral de ’68.
Toy Boy
Toy Boy est une comédie américaine sortie en 2009, réalisée par Davis MacKenzie. On y retrouve dans le rôle principal Ashton Kutcher, la star devenue célèbre grâce à That 70's Show la série télévisée déjantée. Un acteur qui enchaîne les comédies américaines légères après Jackpot, Valentine's Day et avant Kiss & Kill et Sex Friends.
Critique : Chair de poule – le film
Un homme marche seul avec une valise noire. Cette dernière s’ouvre et laisse s’envoler plusieurs manuscrits. Une ombre passe à travers la ville et semble avoir un effet sur le décor et les personnages. Une femme sur une affiche de publicité change et se met à arborer une expression de dégoût. Les yeux d’un chien projettent une lueur jaunâtre. Si on n’a pas encore zappé, c’est qu’on est jeune et donc curieux. Curieux de voir si cet épisode nous fera peur. Bien que la musique soit à elle seule inquiétante, on reste devant notre écran. C’est un soir normal après l’école, en hiver. On déprime de n’être qu’au début de la semaine. Le vent qui fait claquer les volets ne nous rassure pas. Il fait déjà nuit et on ne se doute pas qu’après avoir éteint la télé, on ne va pas beaucoup dormir. Des frissons parcourent tout notre corps et ce faisant expliquent à merveille le nom de cette série adaptée des livres de R.L. Stine : Chair de poule.
Le Vieux qui ne voulait pas fêter son anniversaire
Cette comédie burlesque est l'adaptation d'un best-seller suédois et nous fait voyager dans le temps avec un héros centenaire qui repense à son riche passé alors qu'il vit de nouvelles folles aventures.
Critique : La Belle de Rome
Dans l'Italie du milieu des années 1950, il n'y avait pas trente-six mille façons pour une femme de réussir. La société encore pleinement sous le joug d'un patriarcat archaïque ne prévoyait aucune voie de réussite au féminin sans le recours indispensable de la gente masculine.
Critique : Paterson
Le cinéma de Jim Jarmusch oscille entre deux univers, certes pas mutuellement exclusifs, quoique engageants à des niveaux différents. Sur un ton sans exception très détendu et cool, une sorte de contemplation zen pleine de sagesse, le réalisateur a pour habitude soit de s’improviser en artiste du néant, soit de soumettre souverainement des genres normalement plus actifs à son sens aigu de l’observation tranquille.
Cannes 2018 : Diamantino
Une source inépuisable de découvertes, la Semaine de la Critique du Festival de Cannes n'a pas eu froid aux yeux en sélectionnant ce premier long-métrage portugais. Diamantino est un véritable objet filmique difficilement classable, à qui il manque cependant une petite surdose de folie. Son histoire abracadabrante sur une icône du foot pas trop futée, qui tombe doublement victime de l'amour et d'un plan fasciste machiavélique, est certes fort amusante.

















