Comme un chef
Jacky Bonnot, 32 ans, amateur de grande cuisine, au talent certain, rêve de succès et de grand restaurant. La situation financière de son couple le contraint cependant d'accepter des petits boulots de cuistot qu'il n'arrive pas à conserver. Jusqu'au jour où il croise le chemin d'Alexandre Vauclair, grand chef étoilé dont la situation confortable est mise en danger par le groupe financier propriétaire de ses restaurants...
10 jours en or
Les chanteuses, les sportifs, les animateurs télé, les comiques, tout le monde a envie de tenter sa chance au cinéma. Depuis plusieurs années, ceux qui vous ont fait rire sur scène cartonnent au Box-Office :
Crazy Stupid Love
Avec des teasers qui n'en finissaient plus, tout le monde était pressé de découvrir ce nouveau film. D'interviews délirantes en réponses pinces sans rire, on n'en pouvait plus de voir le duo comique formé par Steve Carell et Ryan Gosling, d'autant qu'à la plume on retrouve les deux scénaristes de I love you Philipp Morris.
Associés contre le crime…
Prudence et Bélisaire Beresford ont décidé de prendre un repos bien mérité. Mais une richissime héritière russe disparaît, et Prudence ne résiste pas à l’appel du danger… Bélisaire, qui aimerait profiter pleinement de son récent succès suite à la parution de ses aventures en est bien obligé de suivre sa turbulente épouse. L’enquête va les conduire sur les traces d’un mystérieux savant qui détient le secret de l’éternelle jeunesse…
Critique : Un village presque parfait
Les spectateurs de province ont, eux aussi, le droit de se reconnaître dans le cinéma français, dont les productions se focalisent la plupart du temps sur des mondanités parisiennes. Autrefois, des acteurs populaires comme Jacques Villeret ou Michel Serrault étaient les parrains incontestables de ces histoires du terroir, où les clichés sur le bonheur bucolique allaient bon train. Depuis, une relève adéquate éprouve de sérieuses difficultés à se mettre en place, notamment parce que des comédiens crédibles dans ce genre d’emploi nostalgique ne courent pas les rues et que ceux qui s’y prêteraient, comme par exemple Gérard Jugnot, paraissent réticents à l’idée d’être cantonnés dans un seul et unique type de personnage. Et si la véritable raison pour cette mort à petit feu était tout simplement que la campagne d’antan, bien franchouillarde et chauvine, n’existe plus et que toute tentative de la raviver par le biais du cinéma est par conséquent vouée à l’échec ? En tout cas, ce ne sont pas des films de la trempe d’Un village presque parfait – de surcroît le remake dispensable d’un succès canadien – qui nous convaincront du contraire.
Critique : Rock the Casbah
C’est l’été à Tanger. Une famille se réunit sur 3 jours dans la maison familiale suite au décès du père, pour se remémorer les souvenirs et partager sa perte, comme le veut la tradition musulmane. Il faut quitter les plages, les maillots de bain pour se vêtir de djellabas, réunir tout le monde et donner à la maison des allures d’enterrement. L’agitation est à son comble d’autant plus que cet homme n’a laissé derrière lui que des femmes. Tout va basculer avec l’arrivée de Sofia, la dernière des filles, celle qui a fait sa vie ailleurs. Actrice n’interprétant que des rôles de terroristes dans des séries américaines, elle arrive de New York après plusieurs années d’absence. Son retour va être le moyen de régler ses comptes avec ses sœurs et bouleverser l’ordre établi depuis toujours par ce patriarche. Entre rire et larmes, une hystérie collective va mener chacune de ces femmes à se révéler à elle-même...
Wayne’s World
Wayne's World est un film tout droit venu des États-Unis et réalisé par Penelope Spheeris en 1992. Etant à l'origine une séquence de Saturday Night Live, une émission de divertissement et de sketchs hebdomadaires aux Etats-Unis, Wayne's World a été adapté pour la France par deux membres des Nuls, Alain Chabat et Dominique Farrugia qui se sont chargés des dialogues français destinés au doublage. Un humour absurde dans la folie des années 90.
Critique : Dope
Il est souvent question de musique des années 1990 dans ce film plébiscité au fil d’un parcours de festival sans faute, de Sundance à Deauville, en passant par Cannes. Or, pour l’ignare que nous sommes à regret en termes de musique, l’influence principale de Dope provient du cinéma de cette même époque, quoique pas nécessairement animé par les mêmes motivations artistiques et commerciales que le hip-hop.
Critique : Une heure de tranquillité
Lors de la tournée de promotion pour cette adaptation d’une pièce de théâtre, ce qui ressortait surtout du discours de l’acteur principal Christian Clavier, c’était la reconnaissance de cette vedette populaire envers son public pour l’année faste qu’elle venait de terminer, grâce au succès considérable de Qu’est-ce qu’on a fait au bon dieu ? de Philippe De Chauveron. On peut alors supposer que ce regard tourné vers le passé était censé hausser le prestige de son projet actuel, qui risquerait sinon de passer inaperçu dans le no man’s land des sorties larguées à la Saint-Sylvestre. Car aussi bref et survolté soit-il, Une heure de tranquillité n’est guère plus qu’une comédie de boulevard dépourvue de signes distinctifs.
Critique : 5 ans de Réflexion
De l’avis général, Tom et Violet sont faits l’un pour l’autre et pourraient constituer le couple marié idéal. Lui, star de la haute cuisine de San Francisco, est prêt à rejoindre le gotha de la gastronomie californienne.
Critique : Mon crime
En véritable stakhanoviste du cinéma français, François Ozon peut-il aussi se targuer d'être le chroniqueur privilégié de la France de ce début de siècle ? En effet, pas une année ne passe sans un nouveau film du réalisateur de Mon crime, qui change de genre de film en film avec une aisance remarquable. Or, son style et ses sujets traités avec prédilection ne font guère de lui un avant-gardiste, bien au contraire.
Critique : Search Party
Cette comédie qui lorgne très visiblement du côté de Very Bad Trip est certes très inégale mais vaut un tout petit le détour, au moins le temps de sa vision (mais guère plus longtemps)...