Critique : Expendables 3
Rambo, Indiana Jones, Terminator, Blade, Mad Max, El Mariachi, le Transporteur et même Frasier Crane dans un même film, et oui, la franchise Expendables revient pour un troisième opus riche en testostérone...
Les acteurs qui ont incarné James Bond
Dans quelques mois (le 26 octobre 2012) va sortir le dernier opus du très attendu James Bond Skyfall réalisé par Sam Mendes. Bien entendu Daniel Craig sera de la...
L’Ordre et la morale
Enfin de retour en France, Mathieu Kassovitz signe une œuvre forte, frontale entre film de guerre et cinéma politique où la raison d’Etat déraisonne à tout va. Inspiré du massacre de la grotte d’Ouvéa en Nouvelle-Calédonie, ce nouvel opus de l’auteur de « La Haine » est une réussite majeure.
Cannes 2019 : Bacurau (compétition)
En seulement deux longs-métrages, Kleber Mendonça Filho a su s'imposer comme un des représentants du cinéma brésilien contemporain. Dans Bacurau, il livre encore un récit engagé sur son pays, une déclaration d'amour et d'espoir qui durant plus de deux heures nous emmène sur des chemins inattendus.
Critique : Or noir
Banderas fait boire à Rahim Tahar l’eau rance d’Arabie en l’envoyant jouer les prophètes dans son pays. Las, Annaud s’enlise, nous ennuie avec son histoire de méchant pétrole qui va semer la zizanie chez les peuples du désert. Tout ça part en eau de bédouin et on a vraiment le droit, face à un menu aussi pauvre, de se priver de désert. Sauve qui peut !
Le Casse de Central Park
Avec une ribambelle d'acteurs sérieux pour certains et habituellement tordant pour d'autres, Le Casse de Central Park avait de quoi en intéresser plus d'un.
Critique : Le Dernier Loup
La retraite dans le monde du cinéma ne suscite pas les mêmes fougues et débats que dans le monde «civil». Métier de passion et de passionnés, il n’est pas rare, et même courant, de voir des réalisateurs de plus de 70 ans (le record étant détenu par Manoel de Oliveira et ses 106 ans) réaliser encore des films. C’est le cas ici pour Jean-Jacques Annaud du haut de ses 71 ans, qui nous livre à nouveau une épopée animalière, dont lui seul à le secret. La formule marche-t-elle toujours aussi bien en 2015 ?
Hobo with a Shotgun
Hobo with a Shotgun est la dernière adaptation d'une fausse bande-annonce présentée lors du Grindhouse (voir l'article sur Machete), et non la moindre puisque cette bande-annonce a remporté le concours organisé par Quentin Tarantino et Robert Rodriguez. Le film arrive enfin sur nos écrans pour la plus grande joie des fans de ce style si particulier.
Critique : Kingsman – Le cercle d’or
En 2015, Kingmsan : services secrets était une très bonne surprise, qui semblait sortir d'un peu de nul part. Petit blockbuster americano-anglais, ayant coÜté "seulement" 80 millions de dollars (plus ou moins le budget d'Astérix aux J.O., chaque pays a ce qu'il mérite !), il faisait office de rafraichissement, drôle et inventif, face à une formule Marvel Studios déjà éculée, et en l'absence d'autres long-métrages ayant un budget ne dépassant pas le P.I.B. d'un petit pays. Dans les faits, Kingsman fait partie des adaptations de comics du scénariste Mark Millar, qui depuis Kick-ass négocie le droit de ses adaptations parfois même avant que l'œuvre d'origine ne soit publiée. Le film, et sa suite, ne sont pourtant pas de simples adaptations réalisées par de simples faiseurs hollywoodiens. Elles sont dirigées par Matthew Vaughn qui a pu insuffler sa maîtrise visuelle de l'action. A t-il réussi, avec cette suite, à réaliser un film tout aussi sympathique que le premier ?
Critique : Atomic Blonde
David Leitch est un cascadeur sorti de l’ombre en 2014, en co-réalisant avec son compère Chad Stahelski John Wick. Un film d’action dans lequel Keanu Reeves, ex-tueur à gages, vengeait son chien et sa voiture volée ( ?) en exécutant, par tous les moyens possibles, d’anciens compagnons à la gâchette facile et à l’accent russe prononcé. Si le long-métrage aurait pu passé inaperçu, Keanu Reeves s’ét
Unstoppable
Unstoppable est un film d'action réalisé en 2010 par Tony Scott. Il faut bien avouer que le film ne donne pas vraiment envie, premièrement parce que le réalisateur Tony Scott ne m'a jamais séduit (Déjà Vue, L'attaque du métro 123, Ennemi d'État) mis à part Top Gun, son meilleur film. Ensuite parce que l'histoire n'est en rien d'aguichante...
Critique : Headshot
En 2011, Toronto avait l’incroyable privilège de découvrir un jeune metteur en scène gallois, qui, avec son troisième long métrage, allait mettre d’accord à peu près tous les fans de films d’action hardcore. En exploitant le pencak silat, art martial indonésien particulièrement spectaculaire et cinégénique, il allait mettre une claque à tous ceux qui attendaient avec désespoir de voir débarquer un successeur à Ong-Bak. Vous l’aurez deviné, il s'agit de Gareth Evans, qui, avec son film The Raid, allait dépoussiérer un genre qui en avait bien besoin, et par là-même présenter au public un artiste martial étourdissant, Iko Uwais. Après le cataclysmique The Raid 2, et en attendant le retour de Gareth Evans avec ce qui serait à priori un film d’horreur, nous attendions avec curiosité et impatience de voir un nouveau film avec la nouvelle star du film de baston. Avec les Mo Brothers, duo (et non, ils ne sont absolument pas frères) nous ayant habitué à un cinéma particulièrement violent et radical, ce dernier a trouvé les réalisateurs idéaux pour laisser s’exprimer ses talents martiaux sans limite.



















