Cannes 2019 : Bacurau (compétition)
En seulement deux longs-métrages, Kleber Mendonça Filho a su s'imposer comme un des représentants du cinéma brésilien contemporain. Dans Bacurau, il livre encore un récit engagé sur son pays, une déclaration d'amour et d'espoir qui durant plus de deux heures nous emmène sur des chemins inattendus.
Critique : Elysium
En 2154, il existe deux catégories de personnes : ceux très riches, qui vivent sur la parfaite station spatiale crée par les hommes appelée Elysium, et les autres, ceux qui vivent sur la Terre devenue surpeuplée et ruinée. La population de la Terre tente désespérément d’échapper aux crimes et à la pauvreté qui ne cessent de ne propager. Max, un homme ordinaire pour qui rejoindre Elysium est plus que vital, est la seule personne ayant une chance de rétablir l’égalité entre ces deux mondes. Alors que sa vie ne tient plus qu’à un fil, il hésite à prendre part à cette mission des plus dangereuses - s’élever contre la Secrétaire Delacourt et ses forces armées – mais s’il réussit, il pourra sauver non seulement sa vie mais aussi celle de millions de personnes sur Terre.
Les Gardiens de la Galaxie : la BO qui vaut le détour
Un avant-goût du nouveau film Marvel avec sa compilation qui déménage. Marvin Gaye, David Bowie, les Jackson Five… vous ne pourrez plus vous passer de ce « Awesome Mix ».
World Invasion : Battle Los Angeles
Après le très moyen Skyline, le surprenant Monsters, et un peu avant la superproduction Super 8 débarque World Invasion : Battle Los Angeles. Il s'agit du premier blockbuster de Jonathan Liebesman à qui l'on doit Massacre à la tronçonneuse : le commencement. Alors World Invasion : Battle Los Angeles va-t-il se démarquer de tous les films d'extraterrestres du moment ?
Critique : Live by night
La dernière fois que Ben Affleck était passé derrière la caméra, c'était il y a quatre ans, avec Argo qui avait triomphé aux Oscar. Son troisième film en tant que réalisateur n'a été que le début d'un adoubement du tout Hollywood, puisque ont suivi un Terrence Mallick (A la merveille, la même année) et surtout un David Fincher (Gone Girl, 2014) dans lequel sa prestation fut quasi-unanimement saluée. En ce début d'année, il est revenu en tant que réalisateur-scénariste-producteur et acteur principal d'une adaptation de Dennis Lehane, auteur dont il avait adapté Gone baby gone il y a dix ans. Qu'en est-il du film en lui-même ?
Critique : Edge of Tomorrow
Croisement brillant entre Starship Troopers et Un Jour sans fin, cette adaptation d’un roman de Hiroshi Sakurazaka (All you need is kill) est porté par deux acteurs en grande forme : Tom Cruise en mollasson prudent qui prend son temps pour devenir un super soldat et Emily Blunt en mode full metal bitch. Perdus dans une journée qui se répète sans fin, ils vont affronter, encore et encore, des extraterrestres belliqueux.
Critique : Hunger Games : La Révolte, partie 1
Sortie cette semaine du DVD/bluray (voir concours) du troisième film de la série des Hunger Games, un volet découpé en deux parties dont la dernière sera révélée en salles à la fin de l'année 2015.
Critique : Hulk
Ang Lee (Le Secret de Brokeback Mountain) aux commandes d’une adaptation de Comics ? Surprenant vu la filmographie du réalisateur, l’exercice se révélant être un défi pour lui. Malheureusement, de bonnes idées et de bonnes intentions ne font pas un grand film et l’absence de passion pour le personnage original de Bruce Banner va plonger le film dans les abysses des productions Marvel… bien malgré lui.
Critique : Sin City : j’ai tué pour elle
Dix ans après Sin City, Robert Rodriguez et Frank Miller reviennent avec Sin City : j'ai tué pour elle, pour nous livrer la suite des aventures de Marv (Mickey Rourke), Dwight McCarthy (Josh Brolin qui remplace Clive Owen) et Nancy Callahan (Jessica Alba).
Critique : City of darkness
Je ne peux pas me contenter d'écrire que je n'y ai trouvé aucun intérêt et que je m'y suis profondément ennuyé parce que je n'y ai vu qu'une succession de bastons entre triades rivales.
La Roche-sur-Yon 2017 : Kung Fu Yoga
Jackie Chan n'est pas encore bon pour la retraite. La grande époque de ses prouesses acrobatiques dans les films d'action mythiques des années 1970 et '80 a beau être derrière lui, pour un acteur de son âge, il a su tant soit peu garder en vie la légende qui entoure son nom. Sa présence sur les écrans de cinéma français se résume hélas depuis de longues années à ses pitreries hollywoodiennes, dont une, certes un peu plus sérieuse, sortira dans moins d'un mois.
Micro-critiques: La Couleur de la victoire, Comme des bêtes…
Bref tour d'horizon de quelques sorties de la semaine du 27 juillet 2016 que nous n'avons pas traitées (pour le moment) à commencer par...

















