Taken 2
Dans Taken, Bryan Mills, ex-agent de la CIA aux compétences si particulières, a réussi à arracher sa fille des mains d’un gang mafieux. Un an plus tard, le chef du clan réclame vengeance. Cette fois-ci, c’est après lui qu’ils en ont.
Critique : La planète des singes – Suprématie
La planète des singes : suprématie est, mine de rien, le neuvième film de la saga initiée en 1968 - année grand cru pour le cinéma. Du livre éponyme de Pierre Boulle, le premier long-métrage choisissait de s'en éloigner avec sa fin inoubliable ; les quatre suites ont elles peu marqué l'Histoire du cinéma, tandis qu'avec le remake de 2001, Tim Burton signait un des pires films de sa carrière. C'est ainsi de plus moins nulle part qu'est sorti en 2011 La planète des singes : les origines. Reboot ou prequel de la saga, peu importe, Rupert Wyatt nous offrait un blockbuster (bien qu'au "petit" budget de 93 millions de dollars) assez introspectif, porté par un James Franco en forme et une motion-capture qui semblait franchir un nouveau cap technologique avec ses singes bluffants de réalisme. D'ailleurs, c'est paradoxalement Andy Serkis qui est le liant entre les trois volets de la nouvelle trilogie. Révélé dans le rôle de Gollum, premier personnage marquant prenant vie grâce à la motion-capture, il est depuis une quinzaine d'année la star de cette technique, et incarne donc César, héros de la trilogie.
Critique : Jack Reacher
Cinq personnes sont abattues au hasard et en plein jour par un tireur embusqué, armé d’un fusil sniper. La police le retrouve facilement et tout converge à le déclarer coupable. Lors de l’interrogatoire, l’homme ne dit rien et se contente d’écrire « Trouvez Jack Reacher ». Lorsque celui-ci arrive et se plonge dans l’affaire aux côtés de l’avocate du tueur, il comprend rapidement que l’enquête est loin d’être résolue.
X-Men l’affrontement final
Nouveau réalisateur, nouveaux scénaristes, nouveaux personnages, première déception… Cet Affrontement final aurait peut-être dû attendre un peu avant de sortir emballé à la va-vite. Et puis, était-ce si difficile de trouver un bon réalisateur à Hollywood ?
Critique : Or noir
Banderas fait boire à Rahim Tahar l’eau rance d’Arabie en l’envoyant jouer les prophètes dans son pays. Las, Annaud s’enlise, nous ennuie avec son histoire de méchant pétrole qui va semer la zizanie chez les peuples du désert. Tout ça part en eau de bédouin et on a vraiment le droit, face à un menu aussi pauvre, de se priver de désert. Sauve qui peut !
Critique : Tomb Raider
En 1996, alors la 3D commence à pointer le bout de ses polygones dans les salons, les joueurs de Playstation découvrent cette pilleuse de tombes (ou exploratrice, c'est comme vous voulez) qui deviendra une des premières icônes "réalistes" du jeu-vidéo. Cinq ans plus tard, c'est sur grand écran que débarque l'héroïne de Tomb Raider, sous les traits d'Angelina Jolie, dans un film rapidement oublié - et oubliable, de même que sa suite. Rebelote de nos jours : alors que la franchise sur consoles connaît un reboot en 2013, nous voilà cinq ans plus tard, face à une adaptation qui se veut plus réaliste que les tribulations numériques de son prédécesseur. Alors que les adaptations de jeu-vidéo, quand elles arrivent à se monter, se succèdent sans réussir à être des films ne serait-ce que convenables, qu'en est-il de la nouvelle aventure de Lara Croft ? Sortez les arcs, aiguisez les flèches, et suivez le guide dans cette critique qui n'a pas l'ambition d'être une carte au trésor, et n'en évoque d'ailleurs aucun ...
Critique Express : Hypnotic
Scénario indigent, réalisation maladroite, violence gratuite.
Parker
Parker est le plus audacieux et le plus redoutable des cambrioleurs. Spécialiste des casses réputés impossibles, il exige de ses partenaires une loyauté absolue et le respect scrupuleux du plan. Alors qu’une opération vient de mal tourner à cause d’une négligence, Parker décide qu’il ne travaillera plus jamais pour Melander et son gang. Mais le caïd n’accepte pas l’affront et ses hommes laissent Parker pour mort. Bien décidé à se venger, Parker remonte la piste du gang jusqu’à Palm Beach. Se faisant passer pour un riche Texan à la recherche d’une luxueuse propriété, il rencontre la séduisante Leslie, un agent immobilier qui connaît les moindres recoins de l’île. Avec l’aide de la jeune femme, Parker découvre que le gang projette de rafler 50 millions de dollars de bijoux. Il monte alors un plan pour s’en emparer. C’est le début d’une opération dont Parker n’avait prévu ni l’ampleur, ni les conséquences…
Critique : Jack Reacher : Never go back
S’il y a bien quelque chose que l’on peut reconnaître à Tom Cruise, c’est l’exigence qu’il peut mettre dans la conception de chacun de ses films. Car, quoi que l’on puisse dire de lui, il ne doit pas y avoir grand monde pour contester ses choix de carrière. Son nom sur l’affiche d’un film est depuis longtemps un label de qualité, et c’est avec confiance que l’on rentre donc dans la salle projetant son nouveau film. En 2012, un nouveau « héros » arrivait sur nos écrans. Adapté d’un roman de Lee Child, Folie furieuse, qui était déjà le 9ème tome des aventures de Jack Reacher, et réalisé par Christopher Mc Quarrie, le premier Jack Reacher avait constitué une bonne surprise, doublée d’une bonne nouvelle pour le genre espionnage. Car hormis l’immortel James Bond et Jason Bourne, rares sont les films du genre récents ayant réussi à lancer une franchise un tant soit peu lucrative. Doté d’une intrigue solide, d’un personnage campé avec charisme par Tom Cruise, et de scènes d’action basées essentiellement sur des combats à mains nues à la violence sèche, le film avait réussi à convaincre à peu près tout le monde, le grand public comme la critique. Il paraissait donc évident qu’une suite verrait le jour, et cette dernière ne déçoit pas, donnant cette sensation agréable de retrouver un personnage qui nous avait manqué, effet rassurant s’il en est, et que l’on ne pensait pas forcément ressentir ici.
Iron Man 2 – Jon Favreau
Critique Film va vous parler aujourd’hui d’un des blockbusters de l’année 2010 : Iron Man 2. Iron Man premier du nom a surpris tous les critiques. En effet, le film, tiré d’un comics, sortait du lot dans cette avalanche de films américains made in Marvel. Première raison : le scénario est bien ficelé et laisse place à la personnalité de l’homme et non du super héros. La seconde raison : l'acteur Robert Downey Junior est en pleine forme et interprète un Tony Starck avec intelligence, le rendant plus humain que les super héros traditionnels. Qu'en est-il de cette suite attendu depuis plusieurs mois ?
Hugo Cabret
Martin Scorsese est, comme qui dirait, incontournable lorsqu'il s'agit de cinéma. Parmi les plus grands, il a déjà prouvé son talent à maintes reprises, nous faisant partager d'excellents moments de cinéma, que ce soit dans une salle ou dans son salon.
Critique : Hulk
Ang Lee (Le Secret de Brokeback Mountain) aux commandes d’une adaptation de Comics ? Surprenant vu la filmographie du réalisateur, l’exercice se révélant être un défi pour lui. Malheureusement, de bonnes idées et de bonnes intentions ne font pas un grand film et l’absence de passion pour le personnage original de Bruce Banner va plonger le film dans les abysses des productions Marvel… bien malgré lui.

















