Critique : The Amazing Spider-Man – Le destin d’un Héros
Pour ne pas perdre les droits des aventures de Spider-Man, Sony avait du rapidement produire The Amazing Spider-Man ; le deuxième volet de ce reboot aux motivations douteuses va-t-elle relancer efficacement cette franchise ?
Les Voyages de Gulliver
Les Voyages de Gulliver est une comédie sortie en 2011. Le choix de la Century Fox de réaliser ce film à gros budget est plutôt étonnant. En effet, c'est Rob Letterman qui a été choisi pour mettre en scène cette histoire, on lui doit également les films Gang de requins et Monstres contre Aliens, des longs métrages pour enfants au succès mitigé. Pour incarner le héros Gulliver, c'est Jack Black qui a été sélectionné.
À voir sur Netflix : The last days of american crime
The last days of american crime, à la base, c’est une mini-série de comics indépendants. Créée par Rick Remender et Greg Tocchini, publiée en 2009 chez Radical, puis à l’été 2010 en France, chez Emmanuel Proust Editions.
Sans compromis
Tes, Dawn et Kara arrivent à peine à s'en sortir avec leurs petits boulots à Las Vegas. Mais leurs vies sont bouleversées lorsqu'elles acceptent de travailler pour un caïd local du nom de Mel. Leurs vies menacées, elles doivent faire face à un tueur à gages psychotique, un trafiquant et un cuisinier dépressif...
Cannes 2016 : Mean Dreams + Folles de joie – Quinzaine
Mean Dreams
Canada, 2016
Titre original : -
Réalisateur : Nathan Morlando
Scénario : Ryan Grassby et Kevin Coughlin
Acteurs : Sophie Nélisse, John Wiggins, Bill Paxton
Distribution : -
Durée...
Critique : Bajirao Mastani
Bajirao Mastani
Inde : 2015
Titre original : -
Réalisation : Sanjay Leela Bhansali
Scénario : Prakash R. Kapadia, inspiré de Raau, de Nagnath S. Inamdar
Interprètes : Ranveer...
Jason Bourne: l’Héritage
On croyait tout connaître de l'histoire de Jason Bourne et de son passé d’agent tueur malgré lui. Mais l’essentiel restait à découvrir. Le programme Treadstone dont Jason était le cobaye n’était que la partie émergée d’une conspiration plus ténébreuse…De Treadstone est né "Outcome", dont Aaron Cross est un des six agents. Sa finalité n’est plus de fabriquer des tueurs, mais des hommes capables d’assurer isolément des missions à haut risque. En dévoilant une partie de cette organisation, Jason laissait derrière lui un "héritage" explosif : compromis, les agents "Outcome" sont désormais promis à une liquidation brutale. Effacés à jamais pour que le "père" du programme, le Colonel Byer puisse poursuivre ses sinistres activités. Une gigantesque chasse à l’homme commence, et Cross, devenue sa première cible, n’a d’autre recours que de retrouver et gagner la confiance de la biochimiste d’"Outcome", Marta Shearing, elle-même menacée de mort…
Critique : Jack Reacher : Never go back
S’il y a bien quelque chose que l’on peut reconnaître à Tom Cruise, c’est l’exigence qu’il peut mettre dans la conception de chacun de ses films. Car, quoi que l’on puisse dire de lui, il ne doit pas y avoir grand monde pour contester ses choix de carrière. Son nom sur l’affiche d’un film est depuis longtemps un label de qualité, et c’est avec confiance que l’on rentre donc dans la salle projetant son nouveau film. En 2012, un nouveau « héros » arrivait sur nos écrans. Adapté d’un roman de Lee Child, Folie furieuse, qui était déjà le 9ème tome des aventures de Jack Reacher, et réalisé par Christopher Mc Quarrie, le premier Jack Reacher avait constitué une bonne surprise, doublée d’une bonne nouvelle pour le genre espionnage. Car hormis l’immortel James Bond et Jason Bourne, rares sont les films du genre récents ayant réussi à lancer une franchise un tant soit peu lucrative. Doté d’une intrigue solide, d’un personnage campé avec charisme par Tom Cruise, et de scènes d’action basées essentiellement sur des combats à mains nues à la violence sèche, le film avait réussi à convaincre à peu près tout le monde, le grand public comme la critique. Il paraissait donc évident qu’une suite verrait le jour, et cette dernière ne déçoit pas, donnant cette sensation agréable de retrouver un personnage qui nous avait manqué, effet rassurant s’il en est, et que l’on ne pensait pas forcément ressentir ici.
Critique : Mourir peut attendre
Est-ce que l'anticipation maintes fois repoussée d'un film peut influer sur notre perception subjective ? Dans le cas du nouveau James Bond, dont la sortie mondiale a été décalée plusieurs fois à cause de la pandémie du coronavirus, une chose est sûre : c'est une histoire du monde d'avant qui nous y est contée, avec tout ce que cela implique en termes de valeur nostalgique ajoutée.
21 Jump Street
Les nouvelles aventures de la brigade de 21 Jump Street, un groupe de jeunes policiers pouvant aisément se faire passer pour des adolescents et ainsi infiltrer les réseaux des trafiquants de drogue qui sévissent dans les milieux universitaires californiens...
Critique : Antigang
Il en sort un par an, deux tout au plus, aucun parfois. Je veux bien sûr parler des films de genre français. Ces bêtes noires dont ont peur les distributeurs, les exploitants et, par conséquent, les spectateurs. Leur distribution en salles, leur manque de budget et leurs acteurs non bankables en sont les parfaits exemples. Or, le polar d’action semble plus favorable à une plus grande visibilité et à un certain succès que ses cousins du cinéma de genre que sont le film d’horreur ou fantastique. Et ce, grâce à une ou plusieurs têtes d’affiche à des références outre atlantique et un second degré omniprésent. Et ça, Benjamin Rocher Rocher l’a bien compris!
Critique : Les Cinq secrets du désert
Un film tourné en plein conflit armé par l'une des parties adverses et qui a pour arrière-plan cette même guerre revêt forcément une dimension de propagande. Perçu à l'époque par bon nombre de peuples opprimés comme une brillante lueur d'espoir vers laquelle se tourner, le cinéma hollywoodien ne fait pas exception à la règle, puisqu'il a produit d'innombrables pamphlets anti-nazis au cours de la Deuxième Guerre mondiale.


















