Critique : Hulk
Ang Lee (Le Secret de Brokeback Mountain) aux commandes d’une adaptation de Comics ? Surprenant vu la filmographie du réalisateur, l’exercice se révélant être un défi pour lui. Malheureusement, de bonnes idées et de bonnes intentions ne font pas un grand film et l’absence de passion pour le personnage original de Bruce Banner va plonger le film dans les abysses des productions Marvel… bien malgré lui.
Critique : Mortal Engines
Projet de longue date annoncé depuis presque une décennie, Mortal Engines aura longtemps suscité les espoirs des nombreux fans de Peter Jackson. Et l’entreprise semblait toute taillée pour le réalisateur qui aurait annoncé son retour flamboyant après avoir été longtemps claquemuré dans la Terre du Milieu. L’excitation a laissé place à l’appréhension après l’annonce de Christian Rivers à la réalisation (la première le concernant) en lieu et place de Jackson qui conservera une place de producteur exécutif. Mais que l’on se rassure : le résultat est d’une fraîcheur plutôt galvanisante dans une ère où les productions originales se raréfient. Mortal Engines est une course frénétique à l’esthétique novatrice dont le pur plaisir du spectacle l’emporte sur une faiblesse d’écriture parfois embarrassante.
Critique : Argylle
En matière de films d'espionnage, le haut du panier est constitué soit de spectacles à l'élégance luxurieuse et à la capacité d'adaptation bluffante en fonction des époques, bref de l'univers James Bond, soit de plongées moins étincelantes dans la grisaille quotidienne d'un métier sans gloire, croisées ces dernières années chez Tomas Alfredson (La Taupe) et Steven Spielberg (Le Pont des espions).
Critique : Le Dernier de la liste
Voilà un agréable petit suspens des années 60 réalisé par John Huston et qui s'inspire vaguement du célèbre Noblesse oblige ((Kirk Douglas, méconnaissable dans 3 des 4 personnages qu'il interprète, assassine les membres d'une mystérieuse liste).
Les Gardiens de la Galaxie : la BO qui vaut le détour
Un avant-goût du nouveau film Marvel avec sa compilation qui déménage. Marvin Gaye, David Bowie, les Jackson Five… vous ne pourrez plus vous passer de ce « Awesome Mix ».
Critique : Chevalier
En Europe, au XIVe siècle, William Thatcher est un modeste écuyer qui a un don inné pour l'équitation et les combats de joute, un talent qu'il décide d'exploiter après la mort de son maître Sir Ulrich von Lichtenstein.
Critique : Ghost Rider 2 – L’Esprit de Vengeance
Danny, jeune garçon porteur d'une prophétie suscite la convoitise de Roarke, un homme mystérieux possédant de grands pouvoirs. On fait alors appel à Johnny Blaze pour se lancer à la recherche de l'enfant en lui proposant comme récompense de le libérer de son alter-ego de "Ghost Rider".
Critique : Antigang
Il en sort un par an, deux tout au plus, aucun parfois. Je veux bien sûr parler des films de genre français. Ces bêtes noires dont ont peur les distributeurs, les exploitants et, par conséquent, les spectateurs. Leur distribution en salles, leur manque de budget et leurs acteurs non bankables en sont les parfaits exemples. Or, le polar d’action semble plus favorable à une plus grande visibilité et à un certain succès que ses cousins du cinéma de genre que sont le film d’horreur ou fantastique. Et ce, grâce à une ou plusieurs têtes d’affiche à des références outre atlantique et un second degré omniprésent. Et ça, Benjamin Rocher Rocher l’a bien compris!
Critique : Edge of Tomorrow
Croisement brillant entre Starship Troopers et Un Jour sans fin, cette adaptation d’un roman de Hiroshi Sakurazaka (All you need is kill) est porté par deux acteurs en grande forme : Tom Cruise en mollasson prudent qui prend son temps pour devenir un super soldat et Emily Blunt en mode full metal bitch. Perdus dans une journée qui se répète sans fin, ils vont affronter, encore et encore, des extraterrestres belliqueux.
Critique : Men In Black 3
En quinze ans de carrière chez les Men in Black, l’agent J a vu beaucoup de phénomènes inexplicables… Mais rien, pas même le plus étrange des aliens, ne le laisse aussi perplexe que son partenaire, le sarcastique K.
Les derniers jours
Depuis la propagation d’un étrange et foudroyant virus, le monde est devenu terrifiant : sortir est désormais impossible. Dans leurs maisons, leurs bureaux, les gares, les gens sont condamnés à vivre cloitrés et doivent se battre pour leur survie. A Barcelone, Marc, piégé dans son bureau, se retrouve séparé de sa femme Julia. Contraint de faire équipe avec Enrique, son pire ennemi, il part à sa recherche dans les entrailles de la ville …
Critique : The Lost City of Z
Changement de registre radical pour James Gray avec son sixième long-métrage, le premier à s'aventurer hors du microcosme des communautés d'immigrés à New York. La différence entre The Lost City of Z et la filmographie antérieure du réalisateur ne pourrait en effet pas être plus grande, puisqu'il n'y est pratiquement jamais question des préoccupations typiquement américaines, au profit d'un conte d'aventures qui s'étend même à une échelle joliment épique.


















