X-Men Origins: Wolverine
Je connaissais quelques héros des « Marvel comics » (Daredevil, Spiderman....) sans toutefois avoir eu envie d'en voir les aventures au cinéma. Et je ne connaissais pas Wolverine.
Cannes 2014 : Dragons 2
Dragons ou Comment entraîner son dragon (la traduction littérale du long titre original) avait été une belle surprise en 2010. Quatre ans plus tard, cette suite toujours réalisée par Dean DeBlois, sans son coréalisateur d'alors Chris Sanders, se révèle supérieure à ce premier volet.
Les Trois Mousquetaires
Après un certain nombre d'adaptation, Les Trois Mousquetaires reviennent au cinéma dans une version moderne, explosive et, à ce qu'on dit, surprenante. Paul W.S. Anderson, connu pour avoir été le scénariste des trois premiers volets de la série Resident Evil, et le réalisateur du 4ème épisode, a-t-il respecté la mémoire d'Alexandre Dumas et de nos quatre fines lames ?
Assaut sur le central 13
Jean-François Richet a choisi de tenter sa chance aux USA avec un remake de l'Assaut, de John Carpenter, qui le soutient dans cette démarche et avait notamment apprécié Ma 6-T va crack-er, sorti en 1997.
Rendez-vous avec la mort
Que dire sur cette énième adaptation d'Agatha Christie si ce n'est qu'une fois de plus l'écran (cinéma ou télé) peine non seulement à reproduire la petite atmosphère des romans mais à donner une quelconque atmosphère.
La Roche-sur-Yon 2020 : Hitman Agent Jun
On espère ne jamais cesser d'être étonné par le cinéma sud-coréen ! Alors que la plupart des cinématographies nationales s'épuisent au fil du temps, perdant l'attention des distributeurs et du public français au profit d'un autre pays étranger à la mode, l'engouement et l'appréciation envers les films venus de cette partie prolifique du cinéma asiatique ne sont pas près de s'arrêter.
Kick-Ass, Matthew Vaughn
Kick-Ass est un film Américain de super héros, présenté comme une parodie des films de la Marvel. Son objectif est de montrer comment un super héros sans pouvoir peut exercer son rôle dans un monde réel avec toutes les péripéties qui en découlent.
Critique : Pixels
En 2010, le français Patrick Jean réalise un court métrage où des créatures sorties de jeux vidéos s'échappaient d'un poste de télévision et envahissaient les rues de New York, détruisant tout sur leur passage. Pac-Man et les Space Invaders pixelisent tout ce qu'ils touchent quand les formes géométriques de Tetris s'encastrent dans des immeubles pour les détruire comme dans le jeu. Arkanoid et ses balles rebondissent contre le pont de Brooklyn, Donkey Kong jette ses tonneaux du haut de l'Empire State Building en hommage au King (Kong, pas Elvis...). Après cet essai ludique de deux minutes et des pixels des poussières, Hollywood s'en empare pour un film de (pas) super-héros.
Critique : Mayday
Ils nous manquent quand même un peu, ces spectacles tonitruants des années 1990, dans lesquels les héros aux valeurs simples et aux muscles seyants étaient monnaie courante. Depuis, le manichéisme sommaire de cette époque désormais lointaine a été remplacé par un surdosage de second degré et une avalanche d'effets speciaux à l'esthétique douteuse.
Critique : Jack Reacher : Never go back
S’il y a bien quelque chose que l’on peut reconnaître à Tom Cruise, c’est l’exigence qu’il peut mettre dans la conception de chacun de ses films. Car, quoi que l’on puisse dire de lui, il ne doit pas y avoir grand monde pour contester ses choix de carrière. Son nom sur l’affiche d’un film est depuis longtemps un label de qualité, et c’est avec confiance que l’on rentre donc dans la salle projetant son nouveau film. En 2012, un nouveau « héros » arrivait sur nos écrans. Adapté d’un roman de Lee Child, Folie furieuse, qui était déjà le 9ème tome des aventures de Jack Reacher, et réalisé par Christopher Mc Quarrie, le premier Jack Reacher avait constitué une bonne surprise, doublée d’une bonne nouvelle pour le genre espionnage. Car hormis l’immortel James Bond et Jason Bourne, rares sont les films du genre récents ayant réussi à lancer une franchise un tant soit peu lucrative. Doté d’une intrigue solide, d’un personnage campé avec charisme par Tom Cruise, et de scènes d’action basées essentiellement sur des combats à mains nues à la violence sèche, le film avait réussi à convaincre à peu près tout le monde, le grand public comme la critique. Il paraissait donc évident qu’une suite verrait le jour, et cette dernière ne déçoit pas, donnant cette sensation agréable de retrouver un personnage qui nous avait manqué, effet rassurant s’il en est, et que l’on ne pensait pas forcément ressentir ici.
Critique : Scott Pilgrim vs. the World
Scott Pilgrim est l'adaptation au cinéma d'un célèbre comics américain écrit par Bryan Lee O'Malley.
Blade
Mi-homme mi-vampire, possédant toutes les qualités des goules et aucune de leur faiblesse, capable de vivre en plein jour, Blade traque sans pitié les suceurs de sang. Aidé de Whistler, son mentor et armurier, il est le cauchemar de la Nation Secrète des Vampires, dont les membres infiltrent toutes les couches de la société. L'un d'eux, Deacon Frost, avide de pouvoir, souhaite asservir le monde et la race humaine en invoquant le Dieu du sang...

















