Cannes 2018 : The house that Jack built
Le cinéaste danois fait son grand retour à Cannes après avoir été ostracisé pendant sept ans. Un retour hors compétition, qui dit tout ce qu'il pense de l'humanité avec, entres autres réjouissances, mutilations et infanticides. "Avertissement : certaines scènes ou images violentes peuvent choquer les spectateurs" indiquait le programme quotidien du Festival de Cannes. De la part de Lars Von Trier, on n'en attendait pas moins !
Blood Ties
Grâce à ses deux derniers films (Les petits mouchoirs et Ne le dis à personne), Guillaume Canet s'est imposé comme un réalisateur de talent proposant des films intelligents qui ont la force de fédérer le public. Blood Ties est un projet bien plus ambitieux, exprimant clairement la volonté de Canet de s'exporter à l'étranger, et surtout sur le marché américain. Mais à viser trop haut, ne risque t-on pas de rater sa cible ?
Dos au mur
Un ancien flic qui s’est retrouvé en taule suite au vol d’un diamant qui a mal tourné, s’en évade et menace de se suicider du 20ème étage d’un hôtel new-yorkais si une lieutenant ne vient pas sur place pour négocier. Entre temps, la presse débarque ainsi qu’une armada de flics et de pompiers. La tension est à son comble : sautera ? sautera pas ?
Sans identité
Jaume Collet-Serra sait très bien filmer et le prouve. Cette adaptation du roman français Hors de moi de Didier van Cauwelaert, publié en 2003, a offert à Liam Neeson l’opportunité de rejouer un rôle digne de celui qu’il a tenu dans Taken dans ce film rebaptisé « Sans identité »
Critique : Fargo
Les frères Coen sont des maîtres de la création d’univers décalés. A chaque nouveau film, ils excellent dans l’esprit de dérision, cumulant des éléments à première vue bénins jusqu’à ce qu’il ne reste plus qu’un humour très noir. Leurs œuvres les plus abouties sont soit celles qui poussent la surenchère des gags au comble de l’absurdité, soit celles qui savent garder les pieds sur terre, en aménageant justement un arrière-plan tragique, propre à la vie courante, au spectacle au ton mordant dont ils détiennent le secret.
Critique : Le Serpent aux mille coupures
Eric Valette revient au polar avec Le Serpent aux mille coupures, l’adaptation du roman du même nom de l’écrivain français DOA, publié aux Éditions Gallimard en 2009, dans la collection « Série noire ». L’attente est-elle récompensée ?
Critique Express : Hypnotic
Scénario indigent, réalisation maladroite, violence gratuite.
Critique : Sleepless
On connaît au moins depuis les années '80 et le remake d'une comédie familiale en panne de mère la manie du cinéma hollywoodien de refaire à l'américaine des succès du cinéma hexagonal. Le dernier exemple en date est la reprise des rôles interprétés il y a six ans par François Cluzet et Omar Sy dans la version en anglais par Bryan Cranston et Kevin Hart : tout un programme.
Critique : Piège de Cristal (Die Hard, 1988)
John McClane, policier de New-York, rend visite à sa femme à Los Angeles pour les fêtes de Noël. Séparés depuis plusieurs mois, ils veulent tout deux essayer de reconstruire leur couple...
Critique : Truth Le Prix de la vérité
Deux films sortis aux Etats-Unis à la fin de l’année dernière ont traité de front des affaires récentes, qui mettent en lumière l’état actuel du journalisme américain. Il y est question de la responsabilité morale des membres de la presse d’investigation, ainsi que de leurs méthodes de travail pas toujours entièrement respectueuses de leur déontologie.
House of Last Things
Alan, un critique de musique classique à succès, et son épouse Sarah, une femme encore secouée par un traumatisme passé, décident de quitter leur spacieuse demeure de Portland pour passer des vacances en Italie. Alan fait garder leur maison par Kelly, bientôt rejointe par son frère cadet Tim et son petit ami Jesse. Un jour, Jesse kidnappe Adam, un enfant de huit ans, dans un supermarché. Mais Adam n’est pas celui qu’il semble être. Personne n’est à sa recherche, et il semble exercer un étrange pouvoir sur les occupants de la maison.
Critique : I.T.
Dans "I.T.", le réalisateur irlandais John Moore s'aventure dans un genre nouveau pour lui, le thriller 2.0, avec bataille entre un hacker et un chef d'entreprise, arbitrée par un "nettoyeur" du Département d'état