Critique : Balada Triste
Décrit comme le film le plus original de la décennie selon le journal espagnol El Pais, Balada Triste est plutôt comme l'un des films les plus originaux de l'Histoire du Cinéma ! Une histoire poético-trash - oui, on invente toujours des mots...
Critique : Les confessions
"Les confessions" est un film politique qui se situe à mi-chemin entre le réalisme et une approche symbolique.
Berlinale 2020 : Surge
Ben Whishaw occupe une place de plus en plus importante au sein de sa génération d'acteurs polyvalents, une source intarissable de talents dont le cinéma britannique détient le secret au moins depuis l'époque de Laurence Olivier et consorts.
Arras 2019 : Passed by Censor
En ce moment, nous procédons chez nous à une grande opération de rangement de notre petite surface de vie parisienne, qui consiste entre autres à jeter à la benne de recyclage tous les très anciens relevés de comptes, factures et autres documents caducs.
Critique : là où chantent les écrevisses
C'est sans doute moins fréquent qu'il y a 20 ou 40 ans en arrière, mais il arrive heureusement que certains films susceptibles de plaire à ce qu'on appelle le "grand public" puissent grandement satisfaire les cinéphiles les plus pointus, même celles et ceux qui dégainent facilement l'insulte suprême d'académisme dès lors qu'un film s'avère facile à comprendre et esthétiquement magnifique ! C'est le cas de "Là où chantent les écrevisses" !
Critique : Captives
Malgré la froidure qui se dégage des images, cela fait chaud au cœur, de retrouver, de nouveau fidèle à lui-même, un réalisateur dont on a beaucoup apprécié des œuvres antérieures et qu'on avait un peu perdu de vie. Totalement passé inaperçu au dernier Festival de Cannes, Captives est un film … captivant qui vient prendre une place importance dans la filmographie d'Atom Egoyan.
Critique : Red State
Après de grosses productions pas franchement réussies (la dernière en date est Top Cops), Kevin Smith revient avec Red State, un film à petit budget. Red State, c'est le retour de Kevin Smith à ses premières amours : la satire voire même la croisade contre le fondamentalisme religieux qui, selon lui, gangrène son pays.
Blood Creek
Une touche de Romero, un soupçon de Mann et une pincée de Uwe Boll. On remue dans un shaker en y rajoutant quelques incohérences et on sert le tout sans état d’âme… Bienvenue à Town Creek.
Critique : The Box
The Box est un thriller fantastique de Richard Kelly sorti en 2009. Inspiré de la nouvelle Le Jeu du bouton (Button, Button) de Richard Matheson, The Box nous présente une intrigue tout aussi déjantée que celle de Donnie Darko, le premier long-métrage de Richard Kelly. Cependant, le succès n'était pas au rendez-vous pour The Box : intrigue trop compliquée ? Scénario trop fantastique ? Retour sur ce long-métrage singulier.
Critique : L’Ombre d’un doute
Parmi les admirateurs et spécialistes de l'œuvre de Alfred Hitchcock, il est généralement admis que sa période la plus riche en coups de maître a été la deuxième moitié des années 1950. Et comment contester cette grille d'appréciation suprême qui comprend des films quasiment parfaits comme Fenêtre sur cour, Sueurs froides, La Mort aux trousses et Psychose ?
Cannes 2019 : The lighthouse (Quinzaine)
Alors que l’on déplorait l’autre jour l’utilisation excessive des jumpscares dans Wounds de Babak Anvari, son compatriote américain, lui, fait tout le contraire et semble déjà avoir une patte dans le genre du cinéma d’horreur. Robert Eggers instaure, dans The Lighthouse, une ambiance infiniment pesante qui ne passe jamais par des plans dans lesquels des figures terrifiantes vous sautent brusquement au visage. On se sent à l’étroit pendant les 110 minutes qui composent le film et devant cette image carrée, le réalisateur ayant choisi un format assez particulier pour son nouveau film. Le sublime noir et blanc choisi par le cinéaste de 35 ans joue sur les perspectives et participe à la perte de notion d’espace-temps que nous procure le film. Le son, lui aussi très travaillé, exacerbe nos peurs. Ces dernières sont d’ailleurs primitives : peur de l’autre, peur du noir, peur de l’isolement, peur de l’oiseau, superstition etc. Robert Eggers les met parfaitement en scène et dresse, à partir d’une intrigue extrêmement simple, un somptueux et effroyable tableau
Critique : In the fade
Bien que, dans ce film qui se divise en trois chapitres distincts, le ton soit forcément différent d'un volet à l'autre, c'est toujours passionnant, c'est toujours très bien mis en scène, c'est toujours remarquablement interprété.



















