Le Rite
Le Rite est un film d'horreur réalisé par Mikaël Hafstrom à qui l'on doit Chambre 1408, Dérapage et The Drowning Ghost. Rien de très palpitant. Il était difficile de s'attaquer à un film sur l'exorcisme, d'autant plus que beaucoup se sont cassé les dents face au cultissime Exorciste de William Friedkin (1973).
Critique : Backcountry
Ce premier long-métrage de Adam MacDonald est une petite perle indépendante, un thriller très angoissant et subtil comme on n'en voit pas si souvent et ne devrait pas vous laisser indifférent...
Berlinale 2024 : A Different Man
On pourrait croire que tout a déjà été dit au cinéma sur la monstruosité de certaines déformations faciales. En fait, il aura suffi d'un seul film pour faire le tour de cette question pour le moins délicate. Sans vouloir rien enlever au génie de Elephant Man de David Lynch, nous devons toutefois reconnaître que A Different Man, présenté en compétition au Festival de Berlin, a pu faire sienne cette thématique d'une façon globalement ingénieuse.
Critique : Contagion
Ressortez les gels désinfectants et les masques de protection, Contagion se propage sur nos écrans. Le dernier film de Steven Soderbergh nous promet du grand spectacle sur fond de panique pandémique...
Fast and Furious 5
Ça y est, le grand rendez-vous des fans de tuning, de gros biscotos, de bastons et de jeunes filles siliconées est de retour. Fast and Furious revient pour un cinquième épisode, avec ce coup-ci et pour la première fois depuis le premier épisode, le retour de toutes les stars de la saga pour le plus grand plaisir des fans. Retour aux sources pour cette étonnante saga toujours très critiquée mais qui dure dans le temps.
Critique : Adoration
"Adoration" narre de façon convaincante une histoire d'amour très particulière entre deux adolescents tout en montrant que la frontière entre ce qu'on appelle folie et normalité est souvent très ténue.
PIFFF 2014 : Night Call
Après son double rôle dans Enemy, Jake Gyllenhaal revient avec une nouvelle performance sidérante dans ce film noir surprenant qui mêle le portrait d'un sociopathe qui ne vous demandera jamais de faire ce qu'il ne ferait pas lui-même à une satire féroce de la société américaine.
Critique : Nocturama (2ème avis)
On s’imagine à quel point la production de Nocturama a dû être compliquée. Écrit avant les attentats du 7 janvier, tourné avant ceux du 13 novembre, évoquer le sujet du terrorisme semble très sensible aujourd’hui : Made in France avait été déprogrammé, Salafistes interdit aux moins de 18 ans. Une forme de censure, d’autocensure ? Ce qui est sûr c’est que Nocturama n’en propose pas, et n’a d’ailleurs aucune raison de le faire (si tant est qu’il y ait des raisons valables de censurer, mais c’est un autre débat …). Outre le fait que les événements du film n’ont aucun rapport avec le massacre d’innocents, Nocturama est une œuvre sur la jeunesse plus que sur le terrorisme.
Trois mondes
Al, un jeune homme d’origine modeste, est sur le point d’épouser la fille de son patron et de succéder à ce dernier à la tête de sa concession automobile. Une nuit, après l’enterrement de sa vie de garçon, il renverse un inconnu mais, poussé par ses deux amis d’enfance, il abandonne le blessé et s’enfuit.
Le lendemain, rongé par la culpabilité, il décide de prendre des nouvelles de l’accidenté. Ce qu’il ignore, c’est que la nuit de l’accident, une jeune femme, Juliette, a tout vu depuis son balcon. Descendue porter secours à la victime, Juliette s’est mise en tête d’aider sa femme, Vera, une Moldave sans-papiers.
Mais lorsque Juliette reconnait dans un couloir de l’hôpital l’homme qu’elle a vu s’enfuir après l’accident, elle est incapable de le dénoncer…
Critique : Les confessions
"Les confessions" est un film politique qui se situe à mi-chemin entre le réalisme et une approche symbolique.
La Dame en noir
Arthur Kipps, jeune notaire à Londres, est obligé de se rendre dans le petit village perdu de Crythin Gifford pour régler la succession d’une cliente récemment décédée. Dans l’impressionnant manoir de la défunte, il ne va pas tarder à découvrir d’étranges signes qui semblent renvoyer à de très sombres secrets. Face au passé enfoui des villageois, face à la mystérieuse femme en noir qui hante les lieux et s’approche chaque jour davantage, Arthur va basculer dans le plus épouvantable des cauchemars…
Critique : Emilia Pérez (Deuxième avis)
Avec "Emilia Perez", son dixième long métrage, récompensé au dernier Festival de Cannes par le Prix du Jury et un prix d'interprétation féminine obtenu collectivement par les 4 têtes d'affiche du film,Jacques Audiard s'est écarté encore plus que d'habitude de tout ce qu'il avait déjà réalisé dans le passé tout en restant fidèle aux thèmes qui lui sont chers, la paternité et la transmission de la violence.



















