Bronson
Le réalisateur Nicolas Winding Refn revient avec un nouveau film choc après la trilogie Pusher et Inside Job. Le thème traité est encore une fois la violence avec comme sujet principal la vie de Charlie Bronson, le prisonnier le plus déjanté que l'Angleterre ait jamais connu.
Critique : Tunnel
En dehors de Hong Sang-Soo et de quelques films isolés par ci, par là, il est devenu très difficile pour les cinéphiles français de pouvoir visionner en salles du cinéma sud coréen, du moins en dehors des festivals. Cette réflexion s’applique tout particulièrement au cinéma de genre, qui, on le sait, a souvent du mal à se frayer un chemin dans nos salles, quel que soit le pays d’origine d’ailleurs. C’est pour cette raison qu'il était forcément excitant de voir un distributeur prendre le risque de sortir un film d’un réalisateur encore peu connu (son film précédent, l’excellent Hard Day, avait connu une sortie discrète début 2015 après avoir écumé tous les festivals spécialisés pendant 1 an), qui plus est, dans le registre du film catastrophe, sous genre dont raffolent les coréens mais dont les productions locales sortent ici au mieux en vidéo. Même en sachant que ce genre de film a souvent tendance à virer au mélo excessif pour le public français, on s’en frottait les mains d’avance, persuadés que l’on aurait droit à un maelström d’émotions comme les sud coréens en sont coutumiers dans leur cinéma si riche en ruptures de ton…
Critique : Trois jours et une vie
En Belgique et dans ses pays limitrophes, l'affaire Michel Fourniret avait défrayé la chronique au tournant du siècle. Cet ensemble de crimes affreux avait alors créé un climat d'angoisse collective, voire de psychose, son existence même rendant dès lors imaginables toutes les horreurs de façon concrète.
Vu sur MUBI : Première désillusion
La question de la culpabilité est traitée avec une élégance typiquement britannique dans ce film de l'après-guerre, encore disponible pendant une semaine sur la plateforme de vidéo par abonnement MUBI. Écrit par le principal moralisateur chrétien de l'époque Graham Greene, le scénario de Première désillusion a certes tendance à forcer le trait sur le rôle trouble des personnages.
Critique : Assaut
Tout en s'amusant à faire croire qu'il réalise un thriller, Adilkhan Yerzhanov reste fidèle à son cinéma décalé, loufoque et corrosif.
Vu sur OCS : Le Policeman
Au début des années 1980, la carrière de Paul Newman n'allait essentiellement nulle part. Le symbole incontournable d'une nouvelle forme de virilité dans les années '60, l'acteur avait eu beaucoup de mal à se réinventer au cours de la décennie suivante.
Critique : Le Boucher
Derrière la façade des convenances et des conventions bourgeoises grondent des instincts sauvages. Aucun réalisateur en France, voire dans le monde, n'a su mieux faire sienne cette thématique subtilement iconoclaste que Claude Chabrol.
5150, Rue des Ormes
5150, Rue des Ormes est un thriller québécois réalisé par Eric Tessier en 2009. Il s'agit de l'adaptation d'un roman de Patrick Senécal, le Stephen King Québécois (d'autres romans devraient être adaptés au cinéma prochainement : Les 7 jours du Talion et Le Vide). Eric Tessier avait déjà transposé Sur le seuil, un autre roman de l'écrivain, mais celui-ci n'a pas connu le succès espéré.
Critique : A second chance (pour)
Passionnant du début à la fin, "A second chance" apporte une nouvelle preuve du talent de Susanne Bier, un talent qui en fait une réalisatrice majeure de notre époque.
Dans la tourmente
Il n’est jamais agréable de sentir le devoir d’écrire des choses désagréables sur un film dont on est persuadé par ailleurs qu’il a été muri et réalisé avec sincérité et honnêteté. C’est pourtant ce qui va arriver !
Critique : Boîte noire
Pour des raisons diverses et variées, on n'aime pas trop prendre l'avion. Un film comme Boîte noire n'est pas près de nous faire changer d'avis. Pourtant, le quatrième long-métrage de Yann Gozlan – un réalisateur jusque là plutôt abonné aux films de genre – va bien au delà de la simple mise en garde contre les dangers inhérents au voyage par voie aérienne.
Critique Express : Le mohican
"Le mohican" est un film qui mérite d'être vu, à la fois par son côté politique, par le suspens généré par la situation de Joseph, par son interprétation et, bien sûr, par la beauté des paysages corses.



















