Cogan : Killing them softly
Lorsqu'une partie de poker illégale est braquée, c'est tout le monde des bas-fonds de la pègre qui est menacé. Les caïds de la mafia font appel à Jackie Cogan, un tueur à gages, pour trouver les coupables. Mais entre des commanditaires indécis, des escrocs de la petite semaine, des assassins fatigués et ceux qui ont fomenté le coup, Cogan va avoir du mal à garder le contrôle d'une situation qui dégénère...
Critique Express : Nitram
"Nitram" pâtit d'une réalisation trop paresseuse et souffre de la comparaison avec d'autres films sur le sujet des tueries de masse, comme "Elephant", de Gus Van Sant, "Bowling for Colombine", de Michael Moore, ou le trop peu connu "Polytechnique", de Denis Villeneuve.
Critique : Les 39 marches
Comme la plupart des cinéphiles le savent, avant de devenir le maître du suspense et l'une des figures incontournables du cinéma hollywoodien des années 1940, '50 et '60, Alfred Hitchcock avait appris son art dans son pays natal auprès d'une industrie du cinéma britannique alors en plein essor.
Critique(s) : Drive
Nicolas Winding Refn revient sur le devant de la scène avec Drive, un film d'action qui fait figure d'ovni dans la Sélection du Festival de Cannes 2011 tant il ne correspond pas aux critères rigoureux des films en compétition.
Critique : Companion
Rien n'est ce qu'il paraît être dans ce premier film bien plus proche du genre du thriller à tiroirs multiples que de celui de l'horreur à proprement parler. Sans vouloir trop vous en dévoiler, on peut considérer Companion comme une œuvre entièrement dans l'air du temps, qui réussit simultanément à se moquer des travers de notre époque.
Critique : 11 minutes
Il est fort probable qu'une seule et même personne peut se retrouver à donner un avis différent sur "11 minutes", selon son humeur du moment, selon son état de forme physique.
Critique : Nerve
Sorti cet été, Nerve ne prétend pas à des hauteurs de cinéma. Facilement comparable – et comparé - à The Game de David Fincher, cette production est bien loin du génie paranoïaque du film interprété par Michael Douglas. Ici il n’y a pas vraiment d'implication du spectateur, l’assistance reste extérieure aux tribulations des protagonistes. Pas assez impliqué, le spectateur regarde de loin la montée en puissance et en dangerosité des défis avec circonspection. En lieu et place d'un véritable feu d’artifice en guise d'apothéose, d'une idée inédite pour parfaire une affaire intéressante, Nerve se contente du minimum syndical et offre une fin attendue en demi-teinte. Nerve aurait dû complètement partir sur la critique sociale et les dangers du monde virtuel mais c'est une pseudo romance adolescente classique des productions pour teenagers qui est privilégiée. Et même si celle-ci fonctionne par moment (notamment la scène du magasin de luxe), elle s’écroule par la suite à cause de sa lenteur, de sa redondance et de son manque d’originalité. L’alchimie entre les protagonistes fonctionne néanmoins grâce à des comédiens plutôt rafraîchissants, à commencer par Dave Franco et Emma Roberts, malgré des personnages assez communs.
Dream House
Dream House est le 8ème film de Jim Sheridan, sorti en 2011. A 62 ans, le cinéaste spécialiste du drame (In the Name of the Father, Réussir ou mourir) se lance dans le thriller psychologique et signe le film le plus cher de sa carrière (55 millions de dollars). Alors, l'argent fait-il des miracles ?
Critique : 28 semaines plus tard
Film zombiesque, 28 semaines plus tard est la suite de 28 jours plus tard réalisé par Danny Boyle en 2002. En matière de suite, le cinéma d’horreur impose une règle : plus de sang, plus de cadavres...
The Veteran
La star grimpante Toby Kebell devient un héros placé au cœur d’une machination gouvernementale où mensonges, coups bas et délinquances vont lui mener la vie dure… Ne vous attendez pas à un film d’action explosif, vous serez déçus. En revanche, attendez-vous à un bon petit thriller plus ou moins bien ficelé.
Martyrs
Après le très moyen Saint-Ange, Pascal Laugier nous propose Martyrs, un long-métrage original et surprenant. Sorti en 2008, il s'inscrit dans la lignée d'autres métrages du même type, tels que Haute tension (Alexandre Aja), ou Frontières (Xavier Gens). Cette vague de bons films d'horreur apporte du renouveau à notre cinéma d'épouvante national.
Critique : Tuer un homme
Après la globalisation dans Huacho ou la maladie dans Près du feu, c’est la mort qui s’insinue cette fois dans le quotidien pour le troisième film d’Alejandro Fernandez Almendras inspiré d’un fait divers.



















