Berlinale 2023 : Irgendwann werden wir uns alles erzählen
Les grands sentiments ont d'emblée fait leur entrée en compétition au 73ème Festival de Berlin. Dès notre première journée complète de projections, nous nous trouvons en effet face à ce conte passionnel, situé dans une Allemagne encore en état de choc, quelques mois à peine après la chute du mur de Berlin.
Albi 2024 : Jane Austen a gâché ma vie
L'amour, l'amour, l'amour toujours ! Peu de thématiques ont à ce point exercé leur influence sur le cinéma que les tribulations romantiques. Et avant l'avènement du Septième art, les romans à l'eau de rose dominaient les cœurs du public, notamment grâce à l'autrice Jane Austen, l'une de ses représentantes les plus sophistiquées.
Critique Express : La Maman et la putain
La Maman et la putain, un des plus grands films du cinéma français, quasiment invisible dans de bonnes conditions depuis des années, fait son retour sur grand écran, qui plus est dans une copie restaurée 4K par Les films du Losange.
Critique : Une valse dans les allées
"Une valse dans les allées" s'avère être une émouvante valse à 3 temps autour de 3 personnages, Christian, Marion et Bruno. Une valse à laquelle participent également des transpalettes et des chariots élévateurs et les collègues de travail du trio. Un film qui s'attache à traiter les sentiments et les rapports sociaux de façon à la fois réaliste et poétique. De l'excellent cinéma !
Critique : Méduse
Pour son premier long métrage, Sophie Levy n'a pas choisi la facilité, mais le résultat lui donne raison. Pour le moins atypique, son voyage dans le monde de la jalousie est traité avec douceur et pousse les spectateurs à s'inviter dans les pensées intimes des trois protagonistes du film, interprétés par trois remarquables comédiens.
Critique : Ariane
Il n'y a pas que la différence d'âge entre les deux têtes d'affiche qui est bancale dans Ariane. Nullement dépourvue d'intelligence, cette comédie de Billy Wilder explore l'impossibilité d'un compromis entre deux conceptions diamétralement opposées de l'amour.
Critique : Passion (Ryusuke Hamaguchi)
Pour l'instant, le réalisateur japonais Ryusuke Hamaguchi n'est pas encore entré dans le cercle fermé des cinéastes de son pays, adulés par les cinéphiles français, auquel appartiennent Akira Kurosawa, Yasujiro Ozu et Kenji Mizoguchi, ainsi que plus récemment Takeshi Kitano et Hirokazu Kore-eda.
Critique express : Mi iubita mon amour
Sur l'idée de départ de parler d'une histoire d'amitié et de l'histoire d'amour entre Noémie et Gimi, le "scénario" du film a été pratiquement improvisé au jour le jour. A la vision de "Mi iubita mon amour", les qualités et les faiblesses inhérentes à ce type d'élaboration sont flagrantes, points forts et points faibles se succédant tout au long du film.
Arras 2019 : Deux (Filippo Meneghetti)
Le poids des secrets devient de plus en plus insoutenable dans ce drame intimiste, qui était hélas déjà le dernier film que nous avons pu voir à l'Arras Film Festival, où il fut présenté dans le cadre des « Découvertes européennes ».
Critique : Walk with me
Dans "Walk with me", Lisa Ohlin arrive habilement à faire naître une véritable émotion en faisant cohabiter l'eau et le feu, le monde de la danse et celui des militaires.
Critique : Adoration
"Adoration" narre de façon convaincante une histoire d'amour très particulière entre deux adolescents tout en montrant que la frontière entre ce qu'on appelle folie et normalité est souvent très ténue.
Critique : Bajirao Mastani
Bajirao Mastani
Inde : 2015
Titre original : -
Réalisation : Sanjay Leela Bhansali
Scénario : Prakash R. Kapadia, inspiré de Raau, de Nagnath S. Inamdar
Interprètes : Ranveer...