Critique Express : Différente
A plusieurs reprises, Lola Doillon s'était vue proposer de réaliser des projets sur le thème de l'autisme et les recherches qu'elle avait entreprises sur le sujet l'ont amenée à utiliser la moisson qu'elle avait faite dans le cadre du récit d'une histoire amoureuse qu'elle avait en tête.
Berlinale 2023 : Ingeborg Bachmann
Margarethe von Trotta fait des films hors du temps. Autrefois, quand ces distinctions critiques avaient encore un sens, on l'aurait sans doute classée parmi les auteurs. Car peu importent les modes formelles et les sujets d'actualité, la réalisatrice allemande reste imperturbablement fidèle à son style, marqué par une formidable rigueur germanique.
Critique Express : L’été l’éternité
Dans "L'été l'éternité", la peinture de la jeunesse est pleine de naturel, elle n'est ni forcée ni maniérée
Critique : là où chantent les écrevisses
C'est sans doute moins fréquent qu'il y a 20 ou 40 ans en arrière, mais il arrive heureusement que certains films susceptibles de plaire à ce qu'on appelle le "grand public" puissent grandement satisfaire les cinéphiles les plus pointus, même celles et ceux qui dégainent facilement l'insulte suprême d'académisme dès lors qu'un film s'avère facile à comprendre et esthétiquement magnifique ! C'est le cas de "Là où chantent les écrevisses" !
Critique : Le Bonheur est pour demain (Brigitte Sy)
Dans les années 1990, une fasciantion différente émanait-elle du monde des gangsters, ce mythe qui n'avait pas encore été sacrifié sur l'autel de toutes sortes de luttes idéologiques ? Par conséquent, est-ce qu'un hommage nostalgique à ces hors-la-loi fait sens trente ans plus tard, sans pour autant en tirer quelque conclusion rétrospective que ce soit ?
Critique : Retour de flamme
Bien aidé par Mercedes Morán et Ricardo Darín, le producteur Juan Vera réussit haut la main son examen de passage de réalisateur lorsqu'il se focalise sur les relations internes de ce couple, peintes avec beaucoup de naturel, sans aucune outrance.
Critique : Le bleu du caftan
Après "Adam", "Le bleu du caftan" prouve à nouveau le grand talent de Maryam Touzani, une réalisatrice experte dans l'art de l'utilisation des non-dits, une réalisatrice qui sait générer une émotion exempte de tout pathos, exempte de toute lourdeur.
Critique Express : The great departure
"The great departure" est un savoureux et très réussi mélange de "love story" et de "L'Inde pour les nuls".
Critique : La Fille à la valise
Ce n'est pas faire preuve d'un esprit cynique que d'affirmer que les plus belles histoires d'amour se finissent souvent mal. Au cinéma, bien entendu, et pas dans la vraie vie, où la mise en avant médiatique des féminicides nous rappelle ces derniers temps à quel point les choses peuvent dégénérer, quand le cœur n'y est plus.
Critique : Tu mérites un amour
Il reste encore pas mal de chemin à parcourir à Hafsia Herzi pour devenir une très bonne réalisatrice. Le premier pas pourrait consister à se débarrasser de l'influence Kechiche.
Critique : Elvira Madigan
La nature idyllique n'est qu'un leurre dans cette sombre histoire d'amour imaginée par Bo Widerberg dans son cinquième long-métrage. Pire encore, les images imprégnées en apparence d'une douce innocence contribuent à faire échouer le couple au cœur de Elvira Madigan.
Critique Express : Stars at noon
Une grande différence entre les 2 derniers films de Claire Denis : "Avec amour et acharnement" est médiocre, "Stars at noon" est carrément mauvais !



















