Critique : Les Olympiades
Jacques Audiard propose une étude intéressante sur la façon dont les nouveaux moyens de communication ont modifié les rapports intimes entre les êtres, qu'ils soient réellement de type amoureux ou pas.
Critique : Tomber pour Ali
"Tomber pour Ali" nous entraine à la découverte d'un amour véritable par un homme habitué au papillonnage, complétée avec bonheur par un volet documenté sur ce que vivent des réfugiés arrivés en Europe avec, parfois, un avantage à faire état de son appartenance à la communauté LGBT.
Critique : Les Choses qu’on dit les choses qu’on fait
L'amour, l'amour, l'amour toujours. Aucun autre sujet ne paraît préoccuper le cinéma français davantage que les éternels tourments du cœur, accompagnés d'une dose adéquate de battements de la libido, s'il vous plaît.
Revu sur OCS : Green Card
Comment se fait-il que nous n'avons pratiquement pas revisité cette comédie romantique exquise depuis sa sortie au début des années 1990 ? C'est désormais chose faite, grâce au replay d'OCS sur lequel Green Card sera encore disponible pendant une quinzaine de jours.
Critique : L’enfant rêvé
Grâce à d'excellents comédiens venant s'ajouter au thème de la paternité, grâce, également, à l'excellence de la photographie, et malgré quelques invraisemblances, "L'enfant rêvé" vient ajouter un maillon marquant à la filmographie de Raphaël Jacoulot.
Revu sur Disney+ : 10 bonnes raisons de te larguer
Première étape de notre parcours nostalgique à travers les films disponibles sur la plateforme par abonnement Disney +. On ne s'attend certainement pas à des chefs-d'œuvre cinématographiques, mais plutôt à des films grand public qui reflètent à leur façon l'époque à laquelle ils ont été produits.
Critique : L’histoire de ma femme
La réalisatrice hongroise Ildiko Enyedi a su rendre très digeste ce film de 2 h 49 sur la jalousie et sur l'importance de la confiance au sein d'un couple.
Critique Express : L’été l’éternité
Dans "L'été l'éternité", la peinture de la jeunesse est pleine de naturel, elle n'est ni forcée ni maniérée
Critique : Decision to leave
C'est avec la façon prétentieuse de raconter une histoire somme toute banale, en la délayant en plus jusqu'à plus soif, que tout s'écroule, quand bien même la distribution fait tout son possible, sans vraiment y arriver, pour faire passer la pilule.
Critique : 16 ans
Ce qu'on aime le plus dans ce film c'est la peinture des liens sentimentaux très forts qui se tissent entre Nora et Léo, malgré les obstacles, malgré les interdits.
Critique : L’Amour ouf
L'Amour ouf, film très ambitieux, s'affiche fièrement, sans hésitation, dans deux registres très différents : la comédie romantique et le thriller par moment particulièrement violent.
Critique : Fin de siècle
Un film qui, sans avoir l'air d'y toucher, aborde avec beaucoup de sensibilité un grand nombre de thématiques.
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Critique Express : Maoussi
Dans "Maoussi", on a le sourire aux lèvres la plupart du temps, et il n'y a aucune lourdeur dans tout ce qui peut être présenté comme un drame
Oscars 2026 : 84 pays en lice pour le Meilleur Film international
Suite et fin de notre tour de rattrapage des annonces en termes de prix de cinéma ayant eu lieu la semaine dernière avec celle des films en lice pour l’Oscar du Meilleur Film international. Leur liste a été annoncée vendredi dernier, le 21 novembre, de la part de l’Académie du cinéma américain par voie de communiqué de presse.
Critique Express : La voix de Hind Rajab
L'histoire de Hind Rajab fait aujourd'hui partie de l'histoire. Vous en connaissez peut-être la fin. Si vous ne la connaissez pas, vous la découvrirez en allant voir ce film magnifique, ce film déchirant, ce film indispensable.
Test Blu-ray 4K Ultra HD : Les 4 Fantastiques – Premiers pas
Les 4 Fantastiques : Premiers pas est le 37ème film du MCU, et le premier de la phase 6. Et pour bien marquer la rupture avec la phase précédente, le film prend grand soin de l'inscrire dans une logique de continuité jusqu’ici inédite.
Test Blu-ray 4K Ultra HD : Kingdom of Heaven
Ce qui frappe dans Kingdom of Heaven, c’est la manière dont Ridley Scott filme la foi comme une maladie chronique : invisible, douloureuse, et parfois contagieuse. Le film ne prend pas parti, il observe.
