Critique : Quand passent les cigognes
Le cinéma russe de l'époque de l'Union soviétique n'a pas vraiment bonne réputation en France et ailleurs en Europe de l'Ouest. A l'exception de quelques rares maîtres célébrés – en fait, il n'y en a qu'un seul avec lequel la communauté des cinéphiles occidentaux continue, voire rafraîchit périodiquement son histoire d'amour : Andreï Tarkovski – , l'essentiel de la production cinématographique de ces cinquante années passées derrière le rideau de fer ne paraît être guère plus qu'un instrument parmi d'autres de la propagande communiste.
Critique : Her Cardboard Lover
Même un réalisateur à la filmographie aussi prestigieuse que George Cukor n'était pas à l'abri d'un loupé par-ci, par-là. Alors qu'il avait plutôt bien négocié le passage des années 1930 aux années '40 avec ces deux classiques confirmés de la comédie pétillante que sont Femmes et Indiscrétions, le coup de mou n'allait pas se faire attendre longtemps.
Critique Express : Young hearts
Même si le réalisateur a choisi de destiner en priorité son film aux jeunes adolescents, les adultes y trouveront à coup sûr un grand intérêt.
Critique Express : Falcon Lake
un film sur un beau sujet qui, in fine, se révèle profondément ennuyeux.
Critique : suntan
Grâce à un scénario solide et intelligent, grâce à un bon travail de mise en scène et de mise en image, grâce à un duo de comédiens dont le naturel permet de s'attacher à leurs personnages, "Suntan" arrive à dégager un charme auquel on se laisse facilement prendre.
Critique : Méduse
Pour son premier long métrage, Sophie Levy n'a pas choisi la facilité, mais le résultat lui donne raison. Pour le moins atypique, son voyage dans le monde de la jalousie est traité avec douceur et pousse les spectateurs à s'inviter dans les pensées intimes des trois protagonistes du film, interprétés par trois remarquables comédiens.
Arras 2019 : Deux (Filippo Meneghetti)
Le poids des secrets devient de plus en plus insoutenable dans ce drame intimiste, qui était hélas déjà le dernier film que nous avons pu voir à l'Arras Film Festival, où il fut présenté dans le cadre des « Découvertes européennes ».
Critique : Tomber pour Ali
"Tomber pour Ali" nous entraine à la découverte d'un amour véritable par un homme habitué au papillonnage, complétée avec bonheur par un volet documenté sur ce que vivent des réfugiés arrivés en Europe avec, parfois, un avantage à faire état de son appartenance à la communauté LGBT.
Critique Express : Jeunesse en sursis
Pendant 2 heures, la réalisatrice empile une succession de petites scènes, le plus souvent sans aucun rapport les unes avec les autres, sans souci affiché de raconter une histoire.
Critique : Ema
C'est peut-être injuste : d'un réalisateur comme Pablo Larrain, on attend une grande réussite de chacun de ses films et on en arrive à considérer comme n'étant qu'une demi-réussite un film auquel on ne trouverait peut-être que des qualités chez un réalisateur débutant.
Critique : Decision to leave
C'est avec la façon prétentieuse de raconter une histoire somme toute banale, en la délayant en plus jusqu'à plus soif, que tout s'écroule, quand bien même la distribution fait tout son possible, sans vraiment y arriver, pour faire passer la pilule.
Critique : Nos plus belles années
Filer un parfait amour sur la durée n'est pas la seule chose impossible dans Nos plus belles années, considéré plutôt à juste titre comme un grand classique du cinéma romantique des années 1970. Car le septième long-métrage de Sydney Pollack nous paraît faire figure d'exemple – à dessein ou involontairement, peu importe – de la frilosité des films hollywoodiens à l'égard de quelque prise de position politique que ce soit.



















