Critique Express : La petite
Un film, qui aborde de façon honnête un sujet, la GPA, que le cinéma n'a que très rarement traité.
Critique : Les feuilles mortes
Dans la période bien noire que nous traversons, on a vraiment besoin de réalisateurs comme Aki Kaurismäki, de son humanisme, de son humour.
Critique : Le livre des solutions
On retrouve Michel Gondry avec plaisir dans un film très autobiographique dans lequel il n'hésite pas à se moquer de lui-même tout en rendant hommage à tous les gens, famille, collaborateurs, qui arrivent à supporter le rythme trépidant qu'il leur impose.
Critique Express : L’été dernier
Ayant racheté les droits du film danois "Dronningen", le producteur Saïd Ben Saïd a proposé à Catherine Breillat d'en faire un "remake".
Critique Express : Loup, y es-tu ?
On peut espérer que le succès de la série "En Thérapie" sur Arte donne envie à un grand nombre de spectateurs de se confronter aux passionnants dialogues entre soignants et patients exposés dans ""Loup, y es-tu ?".
Critique : Un automne à Great Yarmouth
Pour un réalisateur portugais, aller réaliser sur les terres de Ken Loach un film sur la condition ouvrière pouvait s'apparenter à un challenge à relever. Marco Martins a eu l'intelligence de refuser la confrontation directe en introduisant une forme d'onirisme parfois proche du cauchemar dans un réalisme bon teint.
Critique : The wasteland
"The wasteland" confirme que Ahmad Bahrami est un très grand réalisateur dont les choix esthétiques et les choix de mise en scène permettent de porter à un très haut niveau de cinéma des histoires au contenu plutôt banal.
Critique : Gran Turismo
Autrefois surveillée de près par les gardiens des normes et des valeurs culturelles, la distinction entre cinéma et jeux vidéo n'existe quasiment plus aujourd'hui. En termes financiers, les budgets investis dans la production de mondes virtuels et les recettes récoltées par eux ont depuis longtemps dépassé ceux du Septième art.
Critique Express : Banel & Adama
Ramata-Toulaye Sy souhaitait réaliser un film au caractère universel tout en le plaçant résolument dans la région d'origine de ses parents, et souhaitait aussi montrer de façon détournée la catastrophe climatique qui s'abat sur le continent africain. Malgré un fin un peu trop sibylline, le contrat est rempli !
Critique : Sages-femmes
Une superbe réalisation et un ensemble d'interprètes particulièrement impliqué.e.s.
Critique : Àma Gloria
Même si ce premier long métrage réalisé en solitaire est tout à fait honorable, on est en droit de se montrer déçu par rapport à ce qu'on pouvait attendre de l'histoire racontée par Marie Amachoukeli.
Critique : Buck et son complice
D'abord, dans les années 1950 et '60, l'acteur Sidney Poitier s'était façonné l'image mondialement connue du noble noir. Ainsi, il était devenu le moteur incontestable, quoique aseptisé, de l'avancement des droits civiques aux États-Unis. Dans des films réalisés sans exception par des hommes blancs, de renom, certes, tels que Joseph L. Mankiewicz, Richard Brooks, Stanley Kramer et Norman Jewison, il endossait la plupart du temps le rôle du jeune homme exemplaire, mis en difficulté dans sa vie quotidienne par le simple fait d'être afro-américain.