Cannes 2017 : In The Fade
In The Fade
Allemagne, France - 2017
Titre original : Aus dem Nichts
Réalisateur : Fatih Akın
Scénario : Fatih Akın
Acteurs : Diane Kruger, Numan Acar, Denis Moschitto
Distribution : Pathé Distribution
Durée...
Critique Express : Comme un prince
"Comme un prince" ne cherche pas à révolutionner l'histoire du cinéma mais c'est sans rougir qu'on peut le qualifier de "sympatoche.
Festival de Clermont 2015 : Deux documentaires Labo
Parmi les documentaires présentés dans le cadre de la compétition Labo, deux se font particulièrement écho, qui peuvent être mis en regard : l'un, S, recueille le témoignage d'une prostituée quand l'autre, Onder Ons (Parmi nous), rapporte ceux de trois adolescents pédophiles. Le second, outre la précieuse valeur de document qu'il partage à égalité avec le premier, explore le potentiel contemplatif voire métaphysique du genre documentaire.
Le Jour de la Grenouille
Alors qu’elle est sur le point de faire une découverte importante sur le site où elle travaille comme archéologue, Anna est victime d’un accident qui la plonge dans un coma profond. Des allers et retours entre le présent et le passé permettent de donner une identité à cette jeune femme passionnée, de sa rencontre avec un collègue en passant par ses rapports houleux avec sa mère alcoolique.
Critique : 68 Mon père et les clous
C'est à une triple fin de cycle que nous convie ce documentaire aussi simple que pertinent : la fin d'un mode de commerce de proximité avec ce magasin de bricolage qui devra laisser sa place à un énième supermarché, celle d'un parcours professionnel commencé une vie active plus tôt, après des engagements de jeunesse dont la radicalité ne se retrouve guère chez ce vieux patron au bord de la retraite et enfin, de façon plus discrète, le doux décrochement entre un père et son fils, l'un devant la caméra, l'autre vaillamment derrière elle.
Critique : Main basse sur la ville (autre avis)
Le film de Francesco Rosi s'inscrit dans la lignée du cinéma politique italien engagé des années 60-70.
Vous n’avez encore rien vu – la critique pour
Antoine d’Anthac, célèbre auteur dramatique, convoque par-delà sa mort, tous les amis qui ont interprété sa pièce "Eurydice". Ces comédiens ont pour mission de visionner une captation de cette œuvre par une jeune troupe, la compagnie de la Colombe. L’amour, la vie, la mort, l’amour après la mort ont-ils encore leur place sur une scène de théâtre ? C’est à eux d’en décider. Ils ne sont pas au bout de leurs surprises…
Critique : La Voie royale
Les Français et leurs grandes écoles, c'est une obsession empreinte d'ambiguïté dont le cinéma se fait régulièrement l'écho. Dans la plupart des cas, le combat à armes inégales entre l'élève aux aspirations et aux valeurs encore intactes et le rouleau compresseur de l'institution éducative se solde par l'échec cuisant du premier. Pendant longtemps, on pourrait croire que La Voie royale emprunte ce chemin tracé d'avance.
El Estudiante ou Récit d’une jeunesse révoltée
Roque, jeune provincial, commence des études à l’Université de Buenos Aires. Peu motivé, il passe son temps à séduire les filles et errer dans la fac. C’est en tombant amoureux de Paula, une jeune enseignante engagée, qu’il va rencontrer le militantisme et devenir proche du syndicat étudiant. Avec Alberto, ancien politique, il va apprendre les codes et devenir un leader pour enfin trouver sa voie…
Cannes 2017 : Vers la lumière
Naomi Kawase revient sur la croisette pour présenter Vers la lumière, une nouvelle romance entre deux être marginaux comme la réalisatrice à le secret. En sortant de la projection, un sentiment prédomine, et si Naomi Kawase remportait (enfin) la Palme d’or avec Vers la lumière ?
For Ellen
Joby, rock-star en herbe s’apprête à signer les documents qui entérineront son divorce. Il découvre que cette signature le privera définitivement de sa fille Ellen, âgée de six ans. Il va tenter, malgré l’inexpugnable ténacité de son épouse à le sabrer, de gagner le cœur de la gamine.
Critique : Un automne à Great Yarmouth
Pour un réalisateur portugais, aller réaliser sur les terres de Ken Loach un film sur la condition ouvrière pouvait s'apparenter à un challenge à relever. Marco Martins a eu l'intelligence de refuser la confrontation directe en introduisant une forme d'onirisme parfois proche du cauchemar dans un réalisme bon teint.