Critique Express : Panopticon
                    "Panopticon" est un premier long métrage prometteur                
            Critique : Mask (1985)
                    Biopic qui aura fait revenir Peter Bogdanovich sur le devant de la scène, Mask fait partie de ces films dramatiques dont on ne soupçonne pas immédiatement la minutie formelle. Véritable tourbillon d’émotions placé sous un gracieux voile de pudeur, le film, malgré sa parenté scénaristique évidente avec le film de David Lynch, constitue pourtant un anti Elephant Man par l’approche volontairement contenue de son réalisateur. Elephant Film a ainsi eu la judicieuse idée de proposer un superbe combo blu-ray / DVD proposant enfin la version Director’s Cut d’une œuvre longtemps amputée de ses éléments clefs. L’occasion de redécouvrir une belle ode à la différence soutenue par la relation fusionnelle bouleversante d’un fils et d’une mère.                
            Harold’s going stiff
                    Harold's going stiff est une petite comédie horrifique tout droit venue d'Angleterre. Il s'agit du premier film de Keith Wright qui signe également le scénario largement tourné vers le drame, le tout filmé à la manière d'un documentaire. Un film original qui traite du sujet de la maladie sous fond de virus qui zombifie les personnes âgées. Tout un programme !                
            Critique : Steve Jobs
                    Trois ans après Jobs, le premier biopic sur le gourou d'Apple (décédé en 2011) interprété par Ashton Kutcher, le film Steve Jobs sort le 3 février 2016. Une chose est certaine, Steve Jobs dispose de sérieux atouts avec un réalisateur talentueux, Danny Boyle (Trainspotting, Slumdog Millionaire), un scénario écrit par le génie Aaron Sorkin (Le Stratège, The Social Network) et disposant d'un casting bien supérieur à son concurrent (Michael Fassbender, Kate Winslet, Seth Rogen).                
            Zulu
                    Dans une Afrique du Sud encore hantée par l'apartheid, deux policiers, un noir, un blanc, pourchassent le meurtrier sauvage d'une jeune adolescente. Des Townships de Capetown aux luxueuses villas du bord de mer, cette enquête va bouleverser la vie des deux hommes et les contraindre à affronter leurs démons intérieurs.                
            Critique : Faute d’amour
                     Certes, dans les 128 minutes que dure "Faute d'amour", il y a des moments forts, il y a quelques plans magnifiques, mais, globalement, ce film souffre de longueurs inutiles et aurait beaucoup gagné à être raccourci de 30 minutes environ.                 
            Frissons (Shivers)
                    Frisson est le 3ème film de David Cronenberg et le 1er à avoir été distribué dans les cinémas. Il s’agit également de la première œuvre où l’on voit la véritable touche de l’artiste. Un long métrage peu connu du grand public car ayant eu un succès mitigé au box office. Un film particulier qui reste encore aujourd’hui un classique de l’épouvante et participe à la légende de Cronenberg : un réalisateur de films cultes.                
            Cannes 2014 : Bird People
                    Près de huit ans déjà après Lady Chatterley, César du meilleur film en 2007, Pascale Ferran revient avec un long-métrage d'une grande originalité dont il est préférable d'en savoir le moins possible pour l'apprécier à sa juste valeur.                
            Jack et Julie
                    Jack, un père de famille bien tranquille, voit sa vie bouleversée lorsque sa soeur jumelle débarque chez lui pour Thanksgiving avec l'intention de passer quelques temps chez son frère...                
            Critique : Steve Bannon – Le grand manipulateur
                    Un film intéressant car il nous introduit dans les coulisses des rapprochements qui s'opèrent au sein de l'extrême-droite européenne. Un film frustrant, car il laisse sans réponse un certain nombre d'interrogations.                
            Pop Redemption
                    Premier long-métrage du réalisateur et scénariste, Martin Le Gall. Souvent les premiers films contiennent beaucoup de choses voir trop. Pop Redemption contient ce qu'il faut pour montrer qu'il est bel et bien une comédie.                
            Critique Express : The great departure
                    "The great departure" est un savoureux et très réussi mélange de "love story" et de "L'Inde pour les nuls".                
             
			 
		