Critique : Bleeder
Alors que The Neon Demon, le dernier opus de Nicolas Winding Refn, devrait prochainement obtenir les faveurs d’une sortie sur support dvd-blu-ray, La Rabbia profite de cette actualité autour du réalisateur danois afin de rééditer son deuxième film, l’oublié Bleeder, ce dernier n’étant par ailleurs jamais sorti dans nos contrées. Lors du précédent festival de Cannes, The Neon Demon avait divisé les opinions.
Lonesome Jim
Les films relatant la dépression et la tristesse sont nombreux au cinéma : Dans Paris de Christophe Honoré, Mélancholia de Lars Von Trier, A Serious Man des frères Coen…
Critique : Belleville Tokyo
Après La Reine des Pommes et deux courts-métrages (Manù et Madeleine et le Facteur) et avant La Guerre est déclarée, Jérémie Elkaïm et Valérie Donzelli étaient dirigés dans l'un des rares films dont ils sont les interprètes sans en être ni les auteurs ni les réalisateurs.
The Wrestler
Mickey Rourke is back. Après une traversée du désert et un retour à Hollywood via Sin City, Mickey Rourke s'associe au réalisateur de Black Swan et Requiem for a dream pour un biopic de Randy " the ram " Robinson. Plongée dans le monde du catch mais surtout dans la vie d'un homme qui essaie de recoller les morceaux après un grave accident, avec à la clé une interprétation magistrale de Mickey Rourke.
Critique Express : Saint Omer
Film sur notre rapport à la maternité et sur les rapports mère-fille, "Saint Omer" continue également, dans l'esprit de la réalisatrice, de creuser la veine de ses films précédents, tous des documentaires : "Offrir au corps noir la possibilité de dire l'universel"
Critique Express : Women do cry
Ce film qui se veut très féministe est dédié à "nos mères". Franchement, ces pauvres mères doivent souffrir de voir leur cause si mal défendue !
Critique : Le client
Scénario primé, interprétation primée, et pourtant, ce qui ressort avant tout de "Le client", ce sont la beauté des plans, l'intelligence des cadrages, la précision de la mise en scène.
Critique : Ayka
A la vision de ce film, on ne peut pas s'empêcher de penser au cinéma des frères Dardenne, et, en particulier, à Rosetta, Palme d'or en 1999 : il y a 19 ans, ce film tourné caméra à l'épaule était novateur, aujourd'hui, cinématographiquement parlant, Ayka donne malheureusement une impression de déjà vu.
Cécile est morte
Cécile, une jeune fille qui se rend plusieurs fois de suite dans les bureaux de la Police Judiciaire pour se plaindre de visites nocturnes dans l'appartement qu'elle occupe avec sa tante, n'est guère prise au sérieux par la police, jusqu'au jour où elle est retrouvée assassinée.
Critique : Storia di vacanze
Avec sa voix off légèrement manipulatrice et ironique, le second long métrage des frères D’Innocenzo débute sous des auspices laissant croire au retour de la comédie féroce à l’italienne.
Critique : The Master
Freddie, un vétéran, revient en Californie après s’être battu dans le Pacifique. Alcoolique, il distille sa propre gnôle et contient difficilement la violence qu’il a en lui… Quand Freddie rencontre Lancaster Dodd – « le Maître », charismatique meneur d’un mouvement nommé la Cause, il tombe rapidement sous sa coupe...
Critique : Le Quartier du corbeau
Après un premier long-métrage largement improvisé (Le Péché suédois), Bo Widerberg réalise le film qui lui valut l'Oscar du Meilleur film en langue étrangère en 1965 et que les critiques citent encore comme l'un des meilleurs du cinéma suédois, Le Quartier du corbeau. Un an avant Amour 65, le jeune cinéaste se mettait déjà presque en scène, à travers la figure d'un jeune homme issu de la même ville ouvrière que lui (Malmö) et qui, dans les 1930, se rêve en écrivain.