Amador
Dans la lignée des films indé "connaissance du monde" voici Amador, nouvelle réalisation de Fernando León de Aranoa (Les lundis au soleil). Le film, prix du jury au festival de Valenciennes 2011, est une chronique sociale narrant un segment de vie d'une jeune péruvienne expatriée. Le film est distribué de justesse en France par Sophie Dulac, directrice des "Écrans de Paris", un groupe de salles indépendantes de la capitale. Attendez-vous tout de même à une exposition limitée.
Critique Express : L’affaire Collini
Ce que "L'affaire Collini" raconte est non seulement parfaitement crédible mais revêt également un caractère historique et politique très important, mettant en pleine lumière un énorme scandale de la politique judiciaire allemande, la loi Dreher.
Critique : Belle du Seigneur
Genève, 1935. Solal travaille à la Société des Nations. Séducteur affirmé, il s’éprend de la belle Arianne, une aristocrate protestante mariée à un de ses confrères, Adrien. Très vite, Arianne s’éprend à son tour de Solal. Leur amour aussi puissant que destructeur, les poussera inéluctablement vers une destinée tragique.
Critique : Les Camarades
Le cinéma italien des années 1960 n'était pas seulement l'âge d'or de la comédie savoureuse, aussi fraîche et populaire aujourd'hui qu'il y a un demi-siècle. Il œuvrait de même sans relâche à la création d'une conscience sociale, le reflet filmique d'une misère matérielle qui allait de pire en pire au fur et à mesure qu'on descendait des Alpes vers la Sicile.
Critique : Le Sang à la tête
Au plus tard au milieu des années 1950, Jean Gabin était devenu la figure paternelle à la fois par excellence et par défaut du cinéma français. Ses rôles ne variaient alors plus tellement jusqu'à la fin de son illustre carrière, vingt ans plus tard.












